Allers et retours

Safran

L’Etat français réduit sa position dans Safran. Au terme d’un placement privé, 13 millions d’actions, représentant 3,12% du capital, ont été cédées à des institutionnels. Le produit (448,5 millions d’euros) servira à financer de nouveaux investissements productifs via notamment des dotations en fonds propres de la Banque Publique d’Investissement (BPI). L’Etat restera le premier actionnaire de Safran, avec 27,08% de son capital, assure Bercy, ce qui lui permettra de maintenir son influence au sein des organes de gouvernance. Il entend par ailleurs demeurer actionnaire de référence à moyen terme. A mi-séance, l’action perdait 2,8%, à 34,50 euros.

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