Euronext bien parti pour acquérir LCH.Clearnet ?

Euronext bien parti pour acquérir LCH.Clearnet ? L’entreprise de marché est en négociation exclusive avec le London Stock Exchange Group (LSEG) et LCH.Clearnet Group en vue d’acquérir la chambre de compensation. Or, selon le Financial Times, LSEG serait sur le point de sceller l’accord pour un montant de 510 millions d’euros. En tout état de cause, comme l’a déjà précisé Euronext, « toute opération serait subordonnée à la clôture réussie de la fusion entre LSEG et Deutsche Börse AG ».

Rappelons que la Commission européenne a ouvert une enquête approfondie, en vertu du règlement de l’Union Européenne, afin de déterminer si le projet de concentration entre Deutsche Börse AG et London Stock Exchange Group réduirait la concurrence dans plusieurs domaines des infrastructures des marchés financiers. L’opération a été notifiée à la Commission le 24 août 2016. Celle-ci dispose d’un délai de 90 jours ouvrables (jusqu’au 13 février 2017) pour arrêter une décision.

Engie alerte l’AMF

Engie alerte l’AMF. Le spécialiste français de l’énergie a fait un signalement en début de semaine à l’Autorité des marchés financiers pour tentative de déstabilisation de l’entreprise, a déclaré jeudi une porte-parole à l’agence Reuters, confirmant des informations du site Internet de Paris Match. En cause : la publication d’articles de presse visant en particulier sa directrice générale Isabelle Kocher, susceptibles d’avoir impacté le cours de Bourse. Pour consulter l’article de Paris Match :

http://www.parismatch.com/Actu/Economie/Engie-fait-un-signalement-a-l-AMF-1148888

 

 

Actelion entre en négociations exclusives avec Johnson & Johnson

Actelion entre en négociations exclusives avec Johnson & Johnson. A la mi-décembre, le groupe pharmaceutique américain s’était pourtant retiré de la table des discussions, laissant la place à Sanofi, intéressé pour reprendre le spécialiste des traitements pulmonaires. Finalement, c’est Johnson & Johnson qui reprend la main avec cette entrée officielle en négociations exclusives. Mais, comme le précise Actelion, « rien ne garantit qu’une transaction découlera de ces discussions ». L’action reprend 6,4%, à 215 francs suisses, soit une capitalisation de 23,2 milliards.

Sanofi convoite Actelion

Sanofi convoite Actelion. Selon l’agence Bloomberg, qui cite des sources proches du dossier, le groupe pharmaceutique français serait en discussions avancées pour acquérir le laboratoire suisse, spécialisé dans le traitement des maladies pulmonaires. Au prix indiqué par l’agence, soit 275 dollars par action, Actelion serait valorisé 29,6 milliards de dollars. Actelion bondit de 9,27%, à 215,80 francs suisses.

Orange lorgne Canal Plus

Orange lorgne Canal Plus.  « Si Canal+ était à vendre, c’est certain qu’Orange s’y intéresserait », a indiqué Stéphane Richard, président de l’opérateur télécom, en marge d’une conférence de presse, au Maroc. Ajoutant : « Il y a beaucoup de raisons qui poussent à un rapprochement » entre les deux entreprises. Mais rien ne dit que Vivendi serait prêt à céder l’affaire. Le 9 novembre, lors de l’annonce des résultats pour les 9 premiers mois de l’année, Vivendi précisait que Canal+ avait repensé ses offres et son modèle de distribution en France pour dynamiser son parc d’abonnés. « Il a noué des partenariats stratégiques avec Free et Orange, annoncés par les opérateurs respectivement les 27 septembre et 5 octobre, autour des bouquets thématiques inclus dans les offres triple-play de ceux-ci. Cette stratégie nouvelle de distribution permet à Groupe Canal+ d’élargir considérablement son nombre d’abonnés en France tout en donnant aux chaînes distribuées une exposition plus importante ».

Actelion : Sanofi lorgne également le dossier

Actelion : Sanofi lorgne également le dossier. Selon l’agence Bloomberg, le groupe pharmaceutique français serait également intéressé pour reprendre le laboratoire suisse, qui a déjà été contacté formellement par l’américain Johnson & Johnson. Sanofi subit de ce fait quelques dégagements en Bourse (-1,7%, à 74,80 euros), alors qu’Actelion continue d’être bien orienté (+2,7%, à 208,20 francs suisses), portant sa capitalisation à 22,4 milliards de francs suisses, soit 20,7 milliards d’euros.

Genfit très entourée en Bourse

Genfit très entourée en Bourse. L’action de cette société biopharmaceutique, spécialisée dans le domaine des maladies métaboliques et inflammatoires, a bondi de 8%, à 19,50 euros, réduisant ainsi sa moins-value à 40% depuis le début de l’année. A l’origine de ce revirement, une information de l’agence Bloomberg selon laquelle Genfit étudierait différentes options stratégiques et notamment celle d’une vente, ce qui pourrait intéresser des groupes comme Sanofi, Novartis et Shire.

Burberry aurait rejeté les approches de Coach

Burberry aurait rejeté les approches de Coach. La célèbre griffe britannique aurait repoussé les avances non formelles du maroquinier américain Coach, selon The Financial Times, qui indique que les propositions combinaient à la fois cash et titres. En octobre dernier, Burberry avait suscité un regain d’intérêt en Bourse suite à un article du blog spécialisé Betaville qui révélait que Coach travaillait avec une banque d’investissement sur une éventuelle fusion.

Linde très entouré en Bourse

Linde très entouré en Bourse. L’action du fabricant allemand de gaz industriels bondit de 6,7%, à 160,20 euros. Linde a annoncé hier avoir reçu une nouvelle offre pour fusionner avec son concurrent américain Praxair, deux mois après l’échec d’une première tentative. « Linde a reçu une proposition révisée du groupe américain Praxair concernant une éventuelle fusion entre égaux », indique le concurrent d’Air Liquide dans un communiqué et ajoute que son directoire « examine la proposition ».

A la mi-septembre, Linde avait confirmé la fin des discussions préliminaires en vue d’une éventuelle fusion avec l’américain Praxair afin de créer le numéro un mondial du secteur, devant Air Liquide et Air Products, avec une capitalisation boursière d’environ 60 milliards de dollars.  Si la pertinence économique d’une fusion avait été confirmée lors des discussions, les deux parties n’avaient pas réussi à s’accorder sur « des détails, en particulier la gouvernance », comme l’avait précisé Linde.


Les Nouveaux Constructeurs au-dessus du prix de l’OPA

Les Nouveaux Constructeurs au-dessus du prix de l’OPA. A 17 heures, l’action du promoteur immobilier gagne 5,8%, à 37,03 euros, dans un volume de 3 198 titres, soit 2 euros au-dessus du prix de l’OPA simplifiée (35 euros), qui s’est terminée vendredi 10 novembre. Pour mémoire, depuis la clôture de l’offre, Premier Investissement détient désormais, directement et de concert avec Premier Associés, M. Olivier Mitterrand et ses enfants et la société civile Magellan SC, 94,22% du capital et 95,07% des droits de vote. Et Premier Investissement n’a pas l’intention de demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Time repousse les avances d’Edgar Bronfman Jr

Time repousse les avances d’Edgar Bronfman Jr. Selon le New York Post, le groupe de presse américain, éditeur des magazines People et Fortune, a rejeté une offre d’achat de l’homme d’affaires qui dirige désormais la firme de capital-investissement Accretive. Associé à l’homme d’affaires Léonard Blavatnik, à la tête de la holding Access Industries, et à l’investisseur israélien Ynon Kreiz, Edgar Bronfman Jr aurait proposé 18 dollars par action, selon le quotidien, soit une prime de 30,1% par rapport au cours de vendredi, valorisant Time à 1,78 milliard de dollars.

Duc en négociation avec Plukon

Duc en négociation avec Plukon. « Le groupe Duc entre en phase finale de négociations avec un acteur industriel pour une opération significative sur l’ensemble de son périmètre », avait indiqué le volailler français dont la cotation est désormais suspendue. Ajoutant : « Cela permettra d’assurer sa pérennité financière, et cette opération aura un impact significatif sur son capital ». Selon le journal Le Monde, l’acteur industriel serait le groupe néerlandais Plukon qui « négocie une entrée majoritaire au capital ». Il serait « prêt à investir 30 millions d’euros […] pour redonner une compétitivité aux outils industriels ».

Compagnie des Alpes (CDA) très entouré en Bourse

Compagnie des Alpes (CDA) très entourée en Bourse. L’action du n°1 mondial des remontées mécaniques, filiale de la CDC, s’adjuge 6,20%, à 17,86 euros, après avoir déjà gagné 3,19% la veille. Selon Le Figaro, le groupe chinois Fosun, via le Club Méditerranée, pourrait prendre dans un premier temps entre 8 et 10% du capital au début de l’année 2017 et, parallèlement, le fonds d’investissement britannique Permira pourrait se porter acquéreur de 15%.

La Compagnie des Alpes n’a pas tardé à réagir. Dans un communiqué laconique, la société « précise que, dans le cadre de sa recherche de partenariat, aucun schéma n’est à ce jour arrêté. Elle confirme que des discussions se poursuivent entre ses principaux actionnaires et des investisseurs potentiels ».

« La raison doit l’emporter sur l’émotion », avait expliqué Dominique Marcel, PDG de la CDA, dans un entretien aux Echos, le 22 juillet. « Nous travaillons sur plusieurs options, mais il n’a jamais été question de céder le contrôle à des Chinois. Je suis très attaché à ce que la Caisse continue de jouer un rôle majeur ». L’ordre de grandeur pour la part d’un investisseur chinois comme le groupe Fosun, propriétaire du Club Med, se situerait entre 10 et 15% du capital, reconnaissait Dominique Marcel.

Johnson & Johnson convoite Actelion

Johnson & Johnson convoite Actelion. Le groupe pharmaceutique américain aurait approché le laboratoire suisse en vue d’un éventuel rachat qui lui permettrait de renforcer son portefeuille de médicaments, selon une information de l’agence Bloomberg citant des sources proches du dossier. Les discussions seraient à un stade préliminaire et il ne peut y avoir aucune assurance qu’une transaction résultera de ces pourparlers. Au cours actuel de 158 francs suisses, en hausse de 1,87% ce jeudi, Actelion pèse 17 milliards de francs, soit 15,8 milliards d’euros.

Société Générale très entourée en Bourse

Société Générale très entourée en Bourse. A 11 heures, la banque au logo rouge et noir gagne 1,37%, à 40,33 euros, dans un volume étoffé. A l’origine de cet intérêt, l’évocation par l’agence de presse italienne Ansa d’un rapprochement entre la Société Générale et UniCredit. Cette rumeur est « une spéculation de marché sur laquelle la banque ne compte pas s’exprimer », a déclaré un porte-parole de la banque italienne.

Merrimack Pharmaceuticals très entouré sur le Nasdaq

Merrimack Pharmaceuticals très entouré sur le Nasdaq. En deux séances, l’action du laboratoire américain spécialisé dans l’oncologie a bondi de 24,3%, à 6,45 dollars, portant sa capitalisation boursière à 832 millions de dollars. A l’origine de cette flambée, l’information publiée par l’agence Reuters selon laquelle Merrimack Pharmaceuticals a mandaté des banques d’investissement (Credit Suisse et Bank of America) pour une « revue stratégique ». Cette mission pourrait déboucher sur la cession de certains actifs ou sur un partenariat, expliquent les sources interrogées. Mais il n’y a pas de certitude qu’elle se traduise par une transaction.

Delta Lloyd : NN Group souhaite faire une nouvelle offre

Delta Lloyd : NN Group souhaite faire une nouvelle offre. La compagnie d’assurances néerlandaise confirme aujourd’hui son intention de lancer une offre publique sur sa concurrente Delta Lloyd, estimant que le regroupement de Delta Lloyd et des activités néerlandaise et belge de NN Group est financièrement et stratégiquement bénéfique pour toutes les parties prenantes. Un projet d’avis d’offre sera soumis à l’AFM au plus tard le 28 décembre 2016, est-il précisé. Début octobre, Delta Lloyd avait reçu une offre non sollicitée de la part de NN Group au prix de 5,30 euros par action ordinaire, valorisant Delta Lloyd 2,4 milliards d’euros. Mais, eu égard aux termes et conditions énoncées, la direction avait considéré que la proposition de NN Group ne constituait pas une base acceptable et l’avait en conséquence rejeté.

Burberry très entourée à la Bourse de Londres

Burberry très entourée à la Bourse de Londres. Après avoir gagné jusqu’à 8%, l’action de la célèbre griffe britannique a clôturé à 1 495 pence, en hausse de 3,1%, soit une capitalisation de 665 millions de livres. Un article du blog spécialisé Betaville (https://www.betaville.co.uk/) prétend en effet que l’enseigne américaine Coach travaille avec une banque d’investissement à une éventuelle fusion avec Burberry. Or, selon des sources proches du dossier contactées par l’agence Reuters, « les deux enseignes n’ont pas engagé de discussions » en vue d’une telle opération.

 

Time Warner convoité par AT&T ?

Time Warner convoité par AT&T ? Selon The Wall Street Journal, le groupe de télécommunications serait en négociations avancées pour acquérir le groupe de médias, qui détient notamment les chaînes HBO et CNN et les studios WarnerBros. La veille, l’agence Bloomberg faisait déjà état de discussions au sujet d’une éventuelle fusion entre les deux parties au cours des dernières semaines. A 17h30 (heure française), à la Bourse de New York, l’action Time Warner gagne 7,50%, à 89,21 dollars, portant la capitalisation boursière à 71,3 milliards de dollars.

Ubisoft Entertainment cède du terrain

Ubisoft Entertainment cède du terrain. Vivendi n’envisage pas de lancer une offre publique d’achat hostile sur l’éditeur de jeux vidéo. Interrogé sur cette éventualité, Stéphane Roussel, directeur opérationnel de Vivendi et PDG de Gameloft, a répondu « non », avant d’ajouter « on a le temps, on a le choix ».

Twitter : Google toujours prétendant ?

Twitter : Google toujours prétendant ? Selon le site Recode.net, citant des sources proches du dossier, le géant de Mountain View ne prévoit pas de faire actuellement une offre sur Twitter. Pourtant, la semaine dernière, la chaîne de télévision américaine CNBC indiquait que le site de micro-blogging avait reçu des manifestations d’intérêt, notamment de la part de Google (groupe Alphabet) et de Salesforce.com, tout en précisant qu’une éventuelle opération n’était pas imminente. Pour l’heure, le marché est sensible à la nouvelle, en faisant plier la valeur de 15,7%, à 20,96 dollars, sur le Nasdaq. Pour consulter l’article de Recode.net :

http://www.recode.net/2016/10/5/13179604/sources-google-will-not-make-a-twitter-bid-and-apple-also-an-unlikely-suitor

Twitter : la spéculation repart de plus belle

Twitter : la spéculation repart de plus belle. Dans les premiers échanges sur le Nasdaq, l’action du site de micro-blogging s’envole de 20,5%, à 22,45 dollars, portant la capitalisation boursière à 15,3 milliards de dollars. Selon la chaîne de télévision américaine CNBC, Twitter aurait reçu des manifestations d’intérêt, notamment de la part de Google (groupe Alphabet) et de Salesforce.com, tout en précisant qu’une éventuelle opération n’était pas imminente.

Bayer relève son offre sur Monsanto

Bayer relève son offre sur Monsanto. Le géant allemand de la chimie et de la pharmacie tient à préciser que les négociations en vue de l’acquisition du groupe américain spécialisé dans les semences avancent. Bayer serait prêt désormais à offrir une contrepartie de 127,50 dollars par action uniquement dans le cadre d’une transaction négociée, après avoir déjà relevé son offre de 122 à 125 dollars, à la mi-juillet. Néanmoins, « il ne peut y avoir aucune assurance que les parties concluront un accord », tempère toutefois Bayer. Le marché l’entend de cette oreille : à New York, l’action Monsanto a terminé à 106,01 dollars, à 21 dollars en dessous du prix offert.

Poundland : Elliott Capital en mesure de contrarier l’OPA de Steinhoff

Poundland : Elliott Capital en mesure de contrarier l’OPA de Steinhoff. Le fonds activiste a porté en effet sa participation dans le capital de l’enseigne discount britannique à 22,7%, alors que celle-ci est sous le coup d’une OPA du groupe de distribution sud-africain, maison mère de Conforama. Steinhoff a d’ores et déjà relevé son offre de 5 pence à 227 pence, le 11 août, valorisant Poundland 610 millions de livres, mais a tenu à préciser que cette dernière proposition était définitive. Or Steinhoff, qui détient déjà 23,6% de Poundland, doit obtenir le soutien de 75% des actionnaires pour réussir son offre. Le risque d’un échec est donc important si Elliott Capital demandait un nouveau relèvement de prix.

Agrium confirme des discussions avec PotashCorp

Agrium confirme des discussions avec PotashCorp. Les deux groupes canadiens d’engrais ont confirmé chacun de leurs côtés qu’ils étaient en discussions préliminaires en vue d’une éventuelle fusion entre égaux. Agrium comme Potash précisent toutefois qu’« il ne peut y avoir aucune assurance qu’une transaction résultera de ces discussions ». Sur le New York Stock Exchange, Agrium gagne 7,2%, à 95,96 dollars américains, pour une capitalisation de 13,2 milliards, alors que Potash bondit de 10,8%, à 17,79 dollars, pour une capitalisation de 14,9 milliards.

Linde confirme des discussions

Linde confirme des discussions préliminaires en vue d’une fusion avec Praxair. Les deux groupes de gaz industriels envisagent de se rapprocher en vue de créer le numéro un mondial du secteur, devant Air Liquide (qui a acquis récemment Airgas) et Air Products, avec une capitalisation boursière d’environ 60 milliards de dollars. « Ces discussions sont en cours et n’ont pas encore abouti à des résultats concrets ou à des accords », tient toutefois à préciser le groupe allemand Linde. « En conséquence, il est actuellement impossible de prévoir si une transaction se concrétisera ».

Tronics Microsystems : la cotation est toujours suspendue

Tronics Microsystems : la cotation est toujours suspendue. Cette entreprise leader dans le domaine des nano & microsystèmes à haute valeur ajoutée est engagée, ainsi que certains de ses principaux actionnaires, dans des discussions avec un investisseur stratégique en vue d’une éventuelle prise de contrôle de la société. Si cette transaction se concrétisait, sous réserve de l’obtention des autorisations règlementaires requises, cet investisseur lancerait une offre publique d’achat visant les actions de la société cotée sur Alternext. Tronics Microsystems avertit qu’il ne peut y avoir aucune certitude quant à l’issue des discussions en cours, qui peuvent ou non aboutir à une OPA, ou quant aux délais, au prix ou aux termes pouvant être convenus. Tronics Microsystems informera en temps voulu les investisseurs de la réalisation ou non de cette transaction. Une communication sur l’état d’avancement des discussions pourrait intervenir d’ici à la première quinzaine d’août.

Hershey très entourée à la Bourse de New York

Hershey très entourée à la Bourse de New York. L’action du groupe agro-alimentaire américain, spécialisé dans la fabrication de confiseries, bondit de 18,4%, à 115 dollars, portant sa capitalisation à près de 25 milliards de dollars. A l’origine de cette effervescence, un article du Wall Street Journal selon lequel Mondelez International (ex-Kraft Foods), présent dans les secteurs du biscuit et du chocolat, aurait adressé une offre d’achat au management d’Hershey.

AccorHotels très entouré

AccorHotels très entouré à la Bourse de Paris. A 13 heures, l’action du groupe hôtelier gagne 4,7%, à 39,69 euros dans un volume déjà conséquent de 1,4 million de titres. A l’origine de cet accès de fièvre, une information du Figaro selon laquelle le groupe chinois JinJiang, qui a franchi récemment le seuil de 15%, « vise 29% du capital », soit une participation juste en dessous du seuil de déclenchement d’une offre publique. Et, à partir de sources concordantes, le quotidien ajoute que « JinJiang a mis sur la table, au printemps, une offre de rachat des 11,08% détenus, de concert par le fonds Colony Capital et la société d’investissement Eurazeo ».

Havas très entouré à la Bourse

Havas très entouré à la Bourse de Paris. A 11 heures, l’action du groupe de conseil en communication gagne près de 4%, à 7,307 euros. Dans un entretien publié ce matin aux Echos, Vincent Bolloré, actionnaire de référence de Vivendi et président du groupe Bolloré qui détient 60% d’Havas, n’exclut pas un rapprochement à l’avenir. « Il est évident qu’un jour il y aura quelque chose entre Vivendi et Havas », tout en précisant que, pour l’instant, il ne s’agit que d’une réflexion et non d’un plan.

Zodiac Aerospace très entourée

Zodiac Aerospace très entourée à la Bourse de Paris. A 11 heures, l’action de l’équipementier aéronautique gagne 5%, à 20 euros, dans un volume de 4 millions de titres, après avoir bondi de 14% à l’ouverture. A l’origine de cet emballement, une information de l’agence Bloomberg selon laquelle Safran envisagerait de lancer une offre sur Zodiac Aerospace, tout en précisant que les discussions sont à un stade préliminaire et pourraient ne pas se concrétiser. « Le groupe ne commente pas les rumeurs de marché », a déclaré en substance une porte-parole de Safran.

TiVo très entouré sur le Nasdaq

TiVo très entouré sur le Nasdaq. L’action du spécialiste des enregistreurs vidéo digitaux bondit de 20,3%, à 9,21 dollars, portant sa capitalisation à 904 millions de dollars. A l’origine de cette flambée, un article du New York Times selon lequel TiVo serait en discussions avancées avec le groupe californien Rovi (ex-Macrovision) pour une transaction qui combinerait du cash et des titres.

Burberry très entourée à la Bourse de Londres

Burberry très entourée à la Bourse de Londres. L’action du groupe britannique, spécialisé dans la confection de vêtements et d’accessoires haut de gamme, bondit en fin de matinée de 5,4%, à 1 445 pence. Selon une information du Financial Times, Burberry cherche à se prémunir contre une éventuelle OPA après l’entrée à son capital d’un mystérieux investisseur qui aurait acquis une participation de près de 5%. Et ce d’autant que le titre a baissé de 22% sur un an. Investisseurs privés, groupe rival dans le luxe ? Toujours est-il que « Burberry est l’une des rares marques de luxe sans contrôle familial », de l’avis des analystes qui, en cas d’OPA, pourrait être évalué à 8 milliards de livres, ou 17 livres par action, selon la banque Macquarie.

EuropaCorp de nouveau très entouré

EuropaCorp de nouveau très entouré. A midi, alors que l’indice CAC 40 cède 3,4%, le titre du studio de cinéma de Luc Besson gagne 4%, à 4,42 euros. La démission du directeur général du groupe, Christophe Lambert (à ne pas confondre avec l’acteur du même nom), qui cède sa place à Marc Shmuger, ancien d’Universal Pictures et de Sony Pictures, relance les spéculations sur l’entrée au capital d’un partenaire stratégique, avec, le cas échéant, une sortie de la cote à la clé. « Une banque américaine, Moelis, a été mandatée », indiquait, il y a tout juste un mois, le quotidien Les Echos. Ajoutant : « Plusieurs noms circulent : des groupes chinois – EuropaCorp travaille déjà avec le chinois Fundamental Films – ou, plus proche de nous, le groupe Vivendi ».

Autogrill très entouré

Autogrill très entouré à la Bourse de Milan. En début d’après-midi, l’action du groupe italien de restauration sur les aires d’autoroutes bondit de 9,9%, à 6,87 euros, mais reste encore à 22,2% en dessous de son niveau du début de l’année. Selon l’agence Reuters, qui cite des personnes proches du dossier, la famille Benetton, qui contrôle la société, recherche un partenaire et pourrait, le cas échéant, céder une partie de sa participation d’ici la fin de l’année.

Twitter : la spéculation se dégonfle

Twitter : la spéculation se dégonfle.  A 18 heures (heure de Paris), l’action du site de micro-blogging cède 7,2% sur le Nasdaq, à 16,62 dollars, effaçant ainsi la totalité de ses gains engrangés la veille (+6,55%), ce qui porte le recul du titre à 60% depuis un an. Le site The Information avait indiqué lundi que l’investisseur Marc Andreessen, co-fondateur de Netscape, et le fonds Silver Lake Partners seraient prêts à s’allier pour acquérir la société californienne. Les intéressés n’ont pas commenté, mais il est vrai que la faiblesse des cours expose Twitter à une OPA hostile. La société californienne publiera ses résultats annuels, le 10 février prochain.

Vivendi lorgne BeIn

Vivendi lorgne BeIn pour sauver Canal+. Selon Libération, le groupe présidé par Vincent Bolloré « veut racheter la chaîne sportive des Qataris pour relancer son groupe de télé à péage, en perte de vitesse ». « Deux schémas d’alliance sont envisagés à ce stade, précise le quotidien. Le premier, de nature commerciale, ferait de Vivendi le distributeur exclusif de BeIn Sports ». Dans l’autre schéma, plus ambitieux, « Il s’agirait d’une acquisition pure et simple de la partie française de BeIn Sports. Sa valeur est estimée à 500 millions d’euros par Natixis. Payée en actions plutôt qu’en cash, la somme permettrait aux Qataris de prendre en échange 8 % de Canal +. Ou même de demander une participation à l’étage au-dessus, dans Vivendi ».

Dow Chemical et DuPont discutent d’une fusion

Dow Chemical et DuPont discutent d’une fusion. Selon The Wall Street Journal, les deux groupes de chimie auraient entamé des négociations en vue d’une fusion entre égaux, Dow Chemical et DuPont pesant chacun 58 milliards de dollars en Bourse. Cette opération, si elle se réalisait, donnerait naissance à un géant de la chimie, numéro deux mondial du secteur derrière l’allemand BASF, qui pourrait ensuite se scinder en plusieurs activités : l’agrochimie, la chimie spécialisée et les segments plastiques. Dow et DuPont se sont refusés pour le moment à tout commentaire.

Suez Environnement très entouré en Bourse

Suez Environnement très entouré en Bourse. L’action du numéro deux mondial du traitement de l’eau et des déchets a bondi de 4,4% ce mardi, à 17,89 euros dans un volume conséquent de 4,1 millions de titres. A l’origine de cet engouement, une information de La Lettre de L’expansion selon laquelle Engie (ex-GDF-Suez), qui détient 33,7% du capital, aurait demandé à des banques d’étudier une prise de contrôle du groupe. Dans une note dont fait état l’agence Reuters, le courtier Bryan Garnier juge une telle opération totalement dénuée de sens. « Engie cherche maintenant à se concentrer principalement sur la croissance organique dans des domaines très spécifiques (marchés émergents, gaz naturel liquéfié, énergies renouvelables, services énergétiques) et n’a plus l’ambition de créer un conglomérat composé d’un mélange d’activités « utilities » avec des synergies limitées ».

Apache Corporation rejette une offre non sollicitée

Apache Corporation rejette une offre non sollicitée. Selon l’agence Bloomberg, la compagnie pétrolière américaine aurait repoussé une offre de 18 milliards de dollars émanant d’un acquéreur dont l’identité n’a pas été révélée. Apache travaillerait aujourd’hui avec la banque Goldman Sachs pour organiser sa défense. A mi-séance, la valeur bondissait de 11,3%, à 53,06 dollars, portant sa capitalisation à 20 milliards de dollars, en hausse de 46,8% depuis le début de l’année.

Allergan et Pfizer confirment discuter

Allergan et Pfizer confirment discuter d’un rapprochement. Suite aux informations données dans le Wall Street Journal et le Financial Times, les deux laboratoires pharmaceutiques ont déclaré jeudi 29 octobre avoir ouvert des discussions en vue d’une éventuelle fusion. Allergan a toutefois précisé que rien n’était acquis. Si cette opération se réalisait, elle donnerait naissance au plus important groupe pharmaceutique mondial, avec une capitalisation de 330 milliards de dollars, devant Johnson & Johnson et ses 278 milliards de dollars.

Telecom Italia : Xavier Niel rejoint Vivendi

Telecom Italia : Xavier Niel rejoint Vivendi au tour de table. Selon l’agence Bloomberg, le président d’Iliad (Free) a acquis à titre personnel 11% du capital de l’opérateur italien, soit un montant proche de 1,7 milliard d’euros. Cette prise de participation a été réalisée à hauteur de 6% en actions et de 5% en produits dérivés. « Ni Iliad, ni ses filiales ne tiennent directement ou indirectement des actions ou droits dans Telecom Italia », précise un porte-parole d’Iliad à l’agence Reuters.

Cette prise de participation intervient au moment même où Vivendi continue sa montée en puissance pour détenir 20,03% du capital. Le groupe de médias avait d’abord reçu, le 24 juin dernier, 1,11 milliard d’actions ordinaires de Telecom Italia (soit 8,24 % du capital), en échange de 4,5 % du capital de Telefonica Brasil, conformément à la possibilité qui lui avait été donnée lors de la cession de GVT à Telefonica. Puis le groupe a acquis des actions supplémentaires sur le marché pour devenir l’actionnaire de référence du premier opérateur fixe et mobile en Italie. A la Bourse de Milan, Telecom Italia profite de cette effervescence pour gagner 6,2%, à 1,22 euro, soit une hausse de 38,7% depuis le 1er janvier.

Dell aurait des vues sur EMC

Dell aurait des vues sur EMC. Le troisième fabricant mondial de PC derrière Lenovo et HP aurait entamé des discussions en vue du rachat du spécialiste du stockage de données, si l’on en croit la presse américaine. Selon la chaîne de télévision CNBC, Dell pourrait proposer plus de 27 dollars par action EMC, à comparer à un dernier cours de 23,59 dollars. Citant des sources proche du dossier, CNBC indique que la réussite de la transaction nécessiterait un financement de 40 milliards de dollars.

Mariage en vue dans la bière ?

Mariage en vue dans la bière ? Anheuser-Busch InBev (AB InBev), plus grand brasseur au monde (avec entre autres les marques Leffe, Stella Artois, Jupiter, Hoegaarden, Corona, Budweiser, etc.), a confirmé avoir contacté son concurrent SABMiller en vue d’un rapprochement amical. Le groupe belgo-brésilien, dont le siège est à Louvain, précise toutefois qu’il ne peut pas garantir que cette approche débouchera sur une offre publique ou un accord. A mi-séance, l’action AB InBev gagne 8,6%, à 102, 60 euros, alors que SABMiller s’envole de plus de 20%.

Gilead Sciences : une émission obligataire avant une acquisition ?

Gilead Sciences : une émission obligataire avant une acquisition ? Le laboratoire pharmaceutique américain vient d’annoncer pour le 14 septembre le lancement d’un emprunt de 10 milliards de dollars en six tranches, avec des maturités allant de 2018 à 2046. Gilead entend utiliser le produit de cette émission aux fins générales de l’entreprise : remboursement de la dette, fonds de roulement, paiement des dividendes, rachat d’actions en circulation…. Néanmoins, dans une note, les analystes de Jefferies estiment que cette opération pourrait être le prélude à une acquisition majeure dans le secteur des biotechnologiques, avec, parmi les cibles potentielles, Medivation, Baxalta, Incyte, Biomarin Pharmaceuticals et Vertex Pharmaceuticals.

Berkshire Hathaway lorgne sur Precision Castparts

Berkshire Hathaway lorgne sur Precision Castparts. Selon The Wall Street Journal, le fonds de Warren Buffett pourrait mettre la main sur l’équipementier aéronautique, fournisseur de Boeing et Airbus, qui affichait vendredi à New York une capitalisation de 26,7 milliards de dollars. Ce qui en ferait la plus grosse acquisition de son histoire. Berkshire Hathaway fait déjà partie du tour de table avec une participation de 3%.

RSA : vers une offre de Zurich Insurance Group ?

RSA : vers une offre de Zurich Insurance Group ? Lors de la présentation de ses résultats semestriels, l’assureur suisse a confirmé son intérêt pour son concurrent britannique, mais a prévenu qu’il n’était pas disposé à payer un prix excessif. « Nous estimons qu’une telle transaction pourrait nous apporter des avantages significatifs ainsi qu’à nos investisseurs en terme de complémentarité des activités de RSA avec nos propres opérations ainsi qu’en termes financiers », a ainsi déclaré Martin Senn, directeur général de Zurich. « Mais toute utilisation du capital devra satisfaire aux même exigences que celles que nous appliquerions à n’importe quel autre investissement ». Selon The Telegraph, les conseils financiers de Zurich plancheraient sur une offre à 525 pence par action RSA, valorisant la cible 7,7 milliards d’euros.

Micron Technology dans l’œil de Tsinghua Unigroup

Micron Technology dans l’œil de Tsinghua Unigroup. Après le Wall Street Journal, de nouvelles sources font état d’une offre imminente du conglomérat technologique chinois sur le fabricant de mémoires américain. Au prix avancé (21 dollars par action), l’OPA fait ressortir une prime de 19,3% sur le dernier cours de lundi (17,60 dollars), valorisant Micron 23 milliards de dollars. Ce qui constituerait la plus importante OPA chinoise sur une entreprise américaine. L’offre pourrait être formulée dès mercredi, a indiqué une source proche de Tsinghua à l’agence Reuters.

K+S très entouré à la Bourse de Francfort

K+S très entouré à la Bourse de Francfort. Le producteur allemand de potasse s’envole de 18%, à 38 euros, après avoir reçu une offre de rachat de la part du fabricant canadien d’engrais Potash Corp of Saskatchewan. Le prix n’a pas été communiqué, mais pourrait s’établir autour de 40 euros, selon différentes sources, ce qui représente une prime de 38% par rapport au cours de clôture de jeudi. Il s’agit de la deuxième tentative de Potash pour mettre la main sur K+S, qui exploite des mines de potasse et de sel à destination des secteurs agricoles et alimentaires.

EuropaCorp : vers un retrait de la cote ?

EuropaCorp : vers un retrait de la cote ? La valeur a été très entourée mercredi, en gagnant 5,57%, à 5,50 euros, dans un volume de 245 747 titres, le quadruple de la veille. Ce qui porte son avance à 26,44% depuis le début de l’année. Selon la Lettre de l’Expansion, Luc Besson et Christophe Lambert, respectivement président et directeur général du studio de cinéma, envisageraient de retirer le titre de la cote en rachetant le flottant qui s’élève actuellement à 34,18%. « Conseillés par HSBC, ils négocieraient avec un partenaire financier le rachat de la part du capital d’EuropaCorp, qui est coté à la Bourse de Paris (34%) », écrit l’hebdomadaire.

Diageo s’envole sur des rumeurs d’OPA

Diageo s’envole sur des rumeurs d’OPA. A mi-séance, l’action du numéro un mondial des spiritueux gagne près de 7%, à 1880,50 pence. A l’origine de ce regain d’intérêt, la publication d’un article dans l’hebdomadaire brésilien Veja faisant état d’un intérêt supposé de Jorge Paulo Lemann, l’homme le plus riche du Brésil, via le fonds de capital-investissement 3G Capital. La rumeur est prise au sérieux par le marché, car ce fonds s’est illustré ces dernières années dans des opérations liées à Burger King, Heinz, Anheuser-Busch InBev ou encore Kraft Foods.

Intel sur le point d’acquérir Altera ?

Intel sur le point d’acquérir Altera ? Selon le Wall Street Journal, le géant américain des puces informatiques devrait annoncer lundi 1er juin l’opération qui valoriserait le groupe à 16,26 milliards de dollars. Le prix supposé de 54 dollars par action ferait ressortir une prime de 10,5% sur le cours de clôture d’Altera vendredi soir. Intel n’a pas souhaité faire de commentaires pour le moment. Il reste que, face à la hausse des coûts de production, l’industrie des semi-conducteurs est engagée dans une course à la taille, comme en témoigne l’acquisition de Broadcom par Avago technologies.

Cellectis très entouré

Cellectis très entouré en Bourse. L’action du groupe français de biotechnologie bondit de 7,2% en fin de matinée, à 39,40 euros, soit un gain de 33% en cinq séances. Selon le Financial Times, Cellectis serait en discussion en vue d’une cession avec plusieurs groupes et notamment Pfizer qui détient déjà 9,47% du capital.

Galeria Kaufhof

Galeria Kaufhof : pourparlers en vue d’une cession. Selon le Handelsblatt, le holding autrichien Signa, maison mère de Karstadt, serait prêt à racheter Galeria Kaufhof, propriété du groupe de distribution Metro, pour un montant de 2,9 milliards d’euros. Dans un communiqué, Metro indique ne pas commenter des « spéculations autour d’une possible vente de Galeria Kaufhof ». Il confirme cependant des « discussions » en cours, sans préciser le nom des intéressés.

 

Avon Products : une OPA sujette à caution

Avon Products : une OPA sujette à caution.  A la suite d’un avis financier annonçant une offre de la part d’une structure se faisant appeler PTG Capital Partners, l’action du groupe de cosmétiques américain s’est envolée de 19,6% à Wall Street, à 7,98 dollars, avant de perdre l’essentiel de ses gains. Tout laisse à penser qu’il s’agit d’une manipulation. Avon Products a d’abord indiqué qu’il n’avait pas reçu d’offre. L’OPA, elle-même, paraît peu crédible, puisque le prix proposé s’élèverait à 18,75 dollars par action, soit une prime de 181% par rapport au cours de la veille. « Des appels aux numéros de téléphone figurant dans le document de PTG n’ont pas reçu de réponse », indique de son côté l’agence Reuters. Ajoutant : « Le communiqué comporte en outre des paragraphes provenant du site internet du fonds de capital investissement TPG Capital pour en décrire l’auteur » et « comporte de multiples fautes d’orthographe », « ce qui soulève encore plus de doutes sur l’authenticité de l’offre », conclut Reuters.

Delhaize et Ahold discutent d’une fusion

Delhaize et Ahold discutent d’une fusion. Les deux groupes de distribution ont entamé des discussions préliminaires sur un possible rapprochement, rapporte le quotidien belge L’Echo. Ce n’est pas une première pour les intéressés. En 2006-2007, Delhaize et Ahold avaient déjà mené des négociations avancées. A 13 heures, l’action Delhaize s’envole de 15,4%, à 83,29 euros, portant sa capitalisation à 8,6 milliards.

Syngenta : retour au calme

Syngenta : retour au calme.  Après avoir été activement recherché en fin de semaine (+16,2%, à 77,92 dollars, le 1er mai), l’action du groupe suisse, spécialisée dans la chimie et l’agroalimentaire, a fait l’objet de prises de bénéfices (-7,6%, le 4 mai), puis s’est stabilisé hier, à 72,42 dollars. Les analystes sont partagés sur les rumeurs d’un éventuel intérêt du groupe Monsanto. Certains les trouvent crédibles dans la mesure où Syngenta apporterait des activités complémentaires et permettrait à Monsanto de se développer hors du continent américain. D’autres estiment au contraire que le regroupement des deux entités subirait les foudres des autorités antitrust.

Time Warner Cable

Time Warner Cable : Comcast renoncerait à son projet d’acquisition. Face à l’opposition des autorités de la concurrence, le câblo-opérateur américain devrait annoncer prochainement la nouvelle, rapporte Bloomberg TV. Il y a un peu plus d’un an, les conseils d’administration des deux groupes, numéros un et deux américains du secteur, avaient approuvé un accord en vue de donner naissance à un géant riche d’une trentaine de millions d’abonnés, soit près de 30% du marché de la télévision payante aux Etats-Unis. Dans cette perspective, chaque action Time Warner Cable devait être échangée contre 2,875 actions nouvelles Comcast, valorisant le titre 158,82 dollars, soit au total une valeur de 45,2 milliards de dollars.

Twitter : la spéculation fait long feu

Twitter : la spéculation fait long feu. Après avoir gagné mardi 4%, à 52,87 dollars, l’action du site de micro-blogging n’avance plus mercredi, à 16 h 30, que de 0,5%, à 53,14 dollars. La veille, le titre avait profité de rumeurs, relayées notamment par l’hebdomadaire Barron’s, selon lesquelles Twitter aurait engagé des conseillers pour se défendre d’une approche hostile. Il n’en reste pas moins que la valeur s’adjuge 48% depuis le début de l’année, portant sa capitalisation à 34 milliards de dollars.

Clariant dans la mire d’Evonik

Clariant dans la mire d’Evonik.  Selon le Financial Times, le groupe chimique allemand a étudié récemment un certain nombre de dossiers, dont le suisse Clariant, mais aucune décision n’a encore été prise quant aux modalités d’une telle opération. Des sources ont néanmoins déclaré à l’agence Reuters qu’il ne fallait pas s’attendre à la conclusion prochaine d’un accord. En attendant, l’action Clariant gagne 8,4%, à 18,74 euros, portant la capitalisation à 6,2 milliards d’euros.

 

Pirelli bientôt sous pavillon chinois ?

Pirelli bientôt sous pavillon chinois ? Pressé par la Consob, Camfin, le principal actionnaire du fabricant de pneumatiques italien avec 26,2 % du capital, a confirmé être en négociation avec un partenaire industriel en vue de vendre sa participation. Le prix serait proche de 15 euros l’action, valorisant le groupe de pneumatiques à 7,1 milliards d’euros, tout en précisant qu’« à ce stade, aucun accord n’a été atteint ». Selon le Corriere della Sera, il s’agirait du groupe chinois China National Chemical Corp. Une fois cette cession réalisée, une OPA en bonne et due forme suivrait logiquement au même prix. Vendredi, l’action Pirelli gagnait 5,5 % à 15,51 euros.

Freescale

Freescale à la recherche d’un acquéreur ? Dans son édition du 13 février, le New York Post indique que le spécialiste américain des semi-conducteurs aurait mandaté des banques d’affaires pour étudier cette question. Le marché est disposé à le croire d’autant que l’agence Reuters avait cité récemment Samsung comme possible repreneur de cette ancienne filiale de Motorola : à Wall Street, l’action Freescale Semi bondit de 7,8 %, à 37,41 dollars, soit une capitalisation de 11,4 milliards de dollars.

Alcatel-Lucent très entouré

Alcatel-Lucent très entouré sur des rumeurs de fusion avec Nokia Networks. Peu avant 15 heures, la valeur bondit de 7,9%, à 2,89 euros, dans un volume très étoffé (plus de 36 millions de titres échangés). Selon le journal allemand Manager Magazin, l’équipementier télécoms français aurait engagé des pourparlers avec le groupe finlandais en vue d’un rapprochement ou d’une éventuelle fusion. Joint par Reuters, Alcatel-Lucent s’est refusé à tout commentaire, tandis que personne n’était joignable dans l’immédiat chez Nokia Networks.

CGG : l’Etat pas convaincu

CGG : l’Etat ne serait pas convaincu par l’offre de Technip. En dépit de sa position officielle de neutralité, l’Etat, présent au capital des deux entreprises via Bpifrance, s’interroge sur la pertinence de ce rapprochement, rapporte latribune.fr. Au surplus, « le projet de Technip de ne conserver qu’une partie de CGG éveille des craintes pour l’emploi », ajoute le site. D’autant que chez la cible, on rappelle que, « à Massy dans l’Essonne, la circonscription du Premier ministre Manuel Valls, environ 400 salariés travaillent dans la branche Acquisition que Technip souhaite céder ». Résultat : à 15h45, l’action CGG dévisse de 13,73%, à 6,99 euros. Un cours inférieur de 15,8% au prix que Technip est prêt à offrir aux actionnaires (8,30 euros).

Smith & Nephew

Smith & Nephew : vers une OPA de Stryker ? Selon des sources citées par l’agence Bloomberg, l’entreprise américaine, l’un des leaders mondiaux du marché de l’orthopédie, avec une capitalisation de 34 milliards de dollars, envisagerait de lancer une offre sur son concurrent britannique. L’intéressé n’a pas encore commenté l’information, mais son titre s’apprécie de 3,4%, à 1 128 pence.

Montupet

Montupet toujours très recherché en Bourse. A mi-séance, la valeur gagne 3%, à 57,37 euros, portant son avance à 14,5% en cinq séances et à 78,5% depuis le début de l’année. Selon l’agence Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, l’équipementier automobile, épaulé par la banque d’investissement Jefferies Group, examine l’éventualité d’une vente. Le chiffre de 700 millions d’euros est avancé par l’une des personnes contactées, à comparer à une capitalisation de 618 millions.

Criteo

Criteo flambe de près de 20% sur des rumeurs d’OPA. Selon des sources de marché, le spécialiste du ciblage publicitaire, introduit en octobre 2013 sur le Nasdaq, pourrait faire l’objet d’une offre de rachat de la part de Publicis. Après sa fusion avortée avec Omnicom, le groupe français prendrait sa revanche avec une société qui a pris une sérieuse avance technologique avec ses algorithmes de prédiction, permettant à ses clients de livrer des bannières pertinentes et personnalisées, en temps réel. Au cours de 36,22 dollars, Criteo vaut désormais 2,1 milliards de dollars. Les deux groupes intéressés ne souhaitent pas commenter les rumeurs de marché.

Lorillard

Reynolds American sur le point de fusionner avec Lorillard ? Selon la chaîne de télévision CNBC, qui fait suite une information de l’agence Reuters début juillet, l’opération entre les deux groupes de tabac serait imminente, ce qui a eu pour effet de propulser l’action Lorillard à 64,41 dollars jeudi, en hausse de 5,3%. Déjà, en mars, selon le Financial Times, le géant américain du tabac (Camel, Lucky Strike, Pall Mall, Kool, Winston…) envisageait d’acquérir son compatriote et numéro 3 du secteur (Newport, Maverick, Old Gold, Kent, True, Satin et Max), très en pointe sur le marché des cigarettes électroniques, dont la taille est appelée à être multipliée par 5 d’ici 2017, si l’on en croit les analystes de Wells Fargo. Au cours actuel, Lorillard pèse 23,3 milliards, à comparer à une capitalisation de 33 milliards pour Reynolds American.

CGG

CGG s’envole sur des rumeurs d’OPA. A 15 h 30, l’action du spécialiste des services géophysiques bondit de 11,2%, à 10,93 euros. Selon un trader en poste à Paris, « la rumeur d’une offre de Baker Hughes se répand sur le marché », comme le rapporte l’agence Reuters. A moins que CGG soit en situation de remporter un gros contrat en Inde. Le géant américain des services pétroliers a, en tout cas, les moyens d’acquérir une telle cible. Baker Hughes pèse, en effet, 30,7 milliards de dollars à Wall Street, à comparer au 1,9 milliard d’euros de capitalisation pour CGG. Fidèle à son habitude, un porte-parole de CGG a indiqué que le groupe ne commentait pas les rumeurs.

Protective Life

Dai-ichi Life lorgne sur Protective Life. Selon l’agence de presse Kyodo, la compagnie d’assurances nipponne serait en négociation avancée pour acquérir le contrôle de son homologue américaine pour la bagatelle de 5 milliards de dollars. « Il est vrai que nous envisageons d’acheter une société américaine d’assurance-vie, mais aucune décision n’a été prise pour l’instant », a réagi Dai-ichi Life dans un communiqué. Si l’on en croit le quotidien Nikkei, une augmentation de capital de 200 milliards de yens (1,44 milliard d’euros) serait lancée pour financer l’opération. A Wall Street, Protective Life gagnait en séance 10,3%, à 57,70 dollars.

AstraZeneca

AstraZeneca : Pfizer repart à la charge. Le géant américain de la pharmacie étudie actuellement toutes les options en vue de prendre le contrôle du groupe anglo-suédois, numéro deux du secteur au Royaume-Uni (derrière GlaxoSmithKline). Pfizer confirme lundi qu’il a, par deux fois, fait des approches (l’une en janvier 2014, l’autre le 26 avril dernier) qui ont été à chaque fois repoussées par AstraZeneca. La première proposition, combinaison d’espèces et d’actions de la nouvelle entité, représentait une valeur indicative de 46,61 livres (soit 76,62 dollars) par action AstraZeneca et une prime d’environ 30% sur le cours de l’action, le 3 janvier 2014 (35,86 livres). A Londres, la valeur s’adjuge 14,55% en fin de matinée, à 46,73 livres.

Pfizer

Pfizer envisage une offre géante sur AstraZeneca. Selon le Sunday Times, qui cite notamment des sources bancaires, le géant américain de la pharmacie aurait approché le groupe anglo-suédois, numéro deux du secteur au Royaume-Uni (derrière GlaxoSmithKline) en vue de le racheter dans une transaction évaluée à 60 milliards de livres sterling, soit près de 73 milliards d’euros. Des conversations informelles auraient eu lieu entre les deux laboratoires, toujours selon le journal dominical, mais la « cible » se montrerait résistante aux arguments avancés.

Suez Veolia

Suez Environnement et Veolia Environnement très entourés. Les deux groupes de services aux collectivités sont portés par une note d’Exane BNP Paribas dans laquelle le broker envisage la possibilité d’une fusion. « Nous estimons qu’il est maintenant opportun pour le management de réexaminer le dossier d’une fusion », estime ainsi Exane BNP Paribas. « Il y a deux ans, Suez Environnement et Veolia ont mis fin à de brèves discussions de fusion. Beaucoup de choses ont changé très récemment, alors que la pression des concurrents s’intensifie, en particulier de la part des acteurs asiatiques », est-il observé. Ajoutant : « Les commentaires pro-industriels du nouveau premier ministre français suggèrent un possible soutien politique. Nous pourrions voir […] la CDC échanger sa participation dans Veolia et Suez contre Veolia France Water ». Autrement dit, Suez-Veolia pourrait être le prochain projet du groupe GBL d’Albert Frère après avoir accompagné le mariage entre Lafarge et Holcim.

Colas

Colas : des actionnaires exigent un rachat. Le constructeur de routes, filiale à 96,6% du groupe Bouygues, va-t-il faire l’objet d’une offre publique de retrait en bonne et due forme ? C’est en tout cas ce que demande un groupe d’actionnaires qui fédère plus du quart du flottant, par l’entremise de l’avocat Julien Visconti, comme l’a révélé Le Figaro. Après avoir écrit en début d’année à Bouygues, visiblement sans succès, l’avocat s’est tourné vers l’AMF pour contraindre la maison mère à lancer une offre sur sa filiale, en faisant valoir que la liquidité n’est pas au rendez-vous.

Pour mémoire, le groupe Bouygues a porté son contrôle de 56,82% à 96,47% au cours de l’été 2000, après avoir lancé une OPE, dirigée par Rothschild & Cie Banque et le Crédit Lyonnais, à raison d’une action Colas pour une action Bouygues. En 2013, Colas a dégagé un résultat net, part du groupe, de 312 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 13 049 millions. La structure financière est solide, avec un niveau de capitaux propres de 2,5 milliards. Au cours actuel de 146,95 euros, en hausse de 19,5% depuis le 1er janvier, Colas est valorisé près de 4,8 milliards d’euros en Bourse.

Sopra

Sopra et Steria : mariage en vue ! La cotation des deux sociétés de services informatiques a été suspendue sur Euronext Paris dans l’attente de la publication d’un communiqué. Selon des informations de presse, Steria (1,75 milliard de chiffre d’affaires pour 8,9 millions de résultat net en 2013) et Sopra (1,35 milliard de chiffre d’affaires  pour 71,4 millions de bénéfice net) réfléchissent à un rapprochement « entre égaux ». Les conseils d’administration des deux groupes ne se sont pas encore prononcés sur l’opération, mais pourraient se réunir dans la journée.