Lafarge

Lafarge : rumeurs de fusion avec Holcim. Selon l’agence Bloomberg, citant des sources proches du dossier, les deux groupes cimentiers seraient en discussion en vue de constituer un géant franco-suisse des matériaux de construction, dont la capitalisation dépasserait les 50 milliards de dollars. Les négociations seraient encore au stade préliminaire, sachant par ailleurs que les questions de concurrence sont susceptibles de compliquer une telle union, précise l’agence. A 17 heures, Lafarge gagne 7,3%, à 63,14 euros, tandis que Holcim s’adjuge 3,3%, à 77,55 francs suisses.

Rémy Cointreau

Rémy Cointreau activement recherché. Après avoir gagné 11,2% en séance, le titre du groupe de spiritueux conserve vendredi une avance de 4,6%, à 15 heures, à 61,63 euros. A l’origine de cette flambée, la publication d’un article sur un blog (http://betaville123.blogspot.fr/), dont la crédibilité n’est pas « Triple A », qui fait état de l’intérêt de l’américain Brown-Forman. Ce groupe familial, propriétaire de la marque Jack Daniel’s, travaillerait, selon le blog, avec plusieurs banques dont Goldman Sachs sur une éventuelle offre sur le groupe contrôlé par la famille Hériard Dubreuil. Le site tient à préciser qu’aucune discussion formelle n’a eu lieu entre les deux groupes et que la probabilité d’un rapprochement est aujourd’hui « très faible ».

Mylan

Mylan s’intéresse de près à Meda. Selon une information du Financial Times, le groupe américain, spécialisé dans les traitements génériques, pourrait mettre la main sur son concurrent suédois Meda. Des contacts auraient eu lieu entre les deux intéressés, sachant que Mylan n’a pas exclu en février dernier de réaliser des opérations de croissance externe. Dans l’attente d’un communiqué, la cotation de Meda est aujourd’hui suspendue à la Bourse de Stockholm, à 96,90 couronnes suédoises, en hausse de 32,1% sur les six derniers mois.

Air Berlin

Air Berlin : vers une montée dans le capital d’Etihad Airways. Selon le magazine WirtschaftsWoche, la compagnie des Emirats Arabes Unis, qui détient déjà 30% des actions, pourrait porter sa participation à 49,9%. Cette montée interviendrait à la faveur d’un retrait de la cote de la deuxième compagnie allemande (derrière Lufthansa). Certains actionnaires minoritaires, comme la famille turque Sabanci, céderaient leurs titres, mais Air Berlin resterait contrôlée par des investisseurs allemands pour préserver sa nationalité. Etihad mène aussi des négociations pour prendre une participation dans Alitalia. Réponse d’ici le 27 mars, date de publication des résultats d’Air Berlin. A Francfort, la valeur gagne 4,33%, à 2,19 euros.

Lorillard

Lorillard : Reynolds American en passe de lancer une OPA ?  Selon le Financial Times, le géant américain du tabac (Camel, Lucky Strike, Pall Mall, Kool, Winston…) envisagerait d’acquérir son compatriote et numéro 3 du secteur (Newport, Maverick, Old Gold, Kent, True, Satin et Max), très en pointe sur le marché des cigarettes électroniques, dont la taille (2 milliards d’euros) est appelée à être multipliée par 5 d’ici 2017, si l’on en croit les analystes de Wells Fargo. Le quotidien économique avance même le nom de Lazard comme banque d’affaires pour étudier ce rapprochement éventuel. Au cours actuel de 55,57 dollars (+3,7%), Lorillard pèse 20 milliards, à comparer à une capitalisation de 29 milliards pour Reynolds American.

Rexel

Rexel lorgnerait sur Anixter International. Selon l’agence de presse Bloomberg, le groupe français, leader mondial de la distribution de matériel électrique, serait sur les rangs dans le processus de cession du groupe américain qui aurait mandaté la banque d’affaires Goldman Sachs en ce sens. La cible est de taille : sur la base du dernier cours (106,86 dollars), la société, basée à Glenview dans l’Illinois, capitalise près de 3,5 milliards de dollars, à comparer aux 5,2 milliards d’euros de Rexel.

Tesla Motors

Apple s’intéresse à Tesla Motors, spécialisée dans la construction de véhicules électriques. Selon le San Francisco Chronicle, le directeur des fusions & acquisitions de la firme à la pomme, Adrian Perica, a rencontré l’an dernier le directeur général de Tesla, Elon Musk. L’intéressé a confirmé jeudi avoir eu des contacts avec Apple, mais n’a pas précisé la nature des conversations, tout en estimant très improbable un scénario d’acquisition. Après la publication de résultats trimestriels meilleurs que prévu, l’action Tesla a bondi de 8,4%, à 209,97 dollars, en hausse de 72% sur 3 mois.

OTE

Deutsche Telekom bientôt majoritaire dans OTE ? Selon le quotidien grec To Víma, l’opérateur télécoms allemand serait sur le point de porter sa participation de 40 à 50%, en rachetant les parts détenus par l’Etat grec (6%) et du fonds de pension IKA (4%). Soit un débours de 608 millions d’euros compte tenu de la capitalisation actuelle de l’ex-monopole grec des télécommunications (6 077 millions). Deutsche Telekom bénéficie en effet d’un droit de préemption pour acquérir les parts de l’Etat grec, mais celui-ci n’a pas encore confirmé son désengagement.

Sikorsky

Sikorsky bientôt hors du giron de United Technologies ? Selon le New York Times et Defense News, le premier équipementier aéronautique mondial envisagerait une cession de sa division hélicoptères, fabricant du célèbre Black Hawk. Avec les coupes claires dans les budgets de la défense un peu partout dans le monde, le marché des hélicoptères, très concurrentiel, traverse en effet une passe difficile. Si ces bruits se confirmaient, il restera à trouver l’acquéreur qui devra plaire… au Pentagone.


Wartsila

Vers une OPA de Rolls-Royce sur Wärtsilä ? Selon le quotidien Helsingin Sanomat, le motoriste britannique se préparerait à lancer une offre sur le groupe finlandais, spécialisé dans les générateurs électriques et moteurs pour bateaux. Rolls-Royce serait prêt à offrir au moins 50 euros par action, valorisant Wärtsilä 9 milliards d’euros. Début janvier, les deux intéressés avaient annoncé avoir eu des pourparlers en vue d’un rapprochement, mais les discussions avaient échoué. A la Bourse d’Helsinki, vers 12h30 (heure de Paris), le titre progressait de 2,43%, à 41,69 euros.

GDF Suez

GDF Suez étudie la possibilité de réaliser des acquisitions d’envergure. Selon des sources contactées par l’agence Reuters, Talisman Energy, compagnie canadienne pétrolière et gazière, qui capitalise près de 12 milliards de dollars, faisait partie des cibles, permettant au groupe présidé par Gérard Mestrallet de changer de dimension dans l’amont. Mais les deux parties ne sont pas parvenues à s’entendre. En revanche, selon les sources de Reuters, l’électricien américain AES serait toujours dans le viseur de GDF Suez, et notamment sa filiale présente en Amérique latine, AES Gener.

Scor

MutRé dans le giron de Scor ? Selon le site de La Lettre de l’Assurance, le premier réassureur français, présidé par Denis Kessler, s’apprêterait à lancer une offre sur MutRé, la société de réassurance détenue en parité avec la Matmut et la Mutualité Française. « Le groupe dirigé par Daniel Havis souhaiterait en effet se délester des actions qu’il détient dans cette société spécialisée dans la réassurance du secteur de l’économie sociale », précise le site, en ajoutant que « L’information devrait être officialisée très rapidement ». Scor n’a pas encore réagi à ces éléments.

Schmolz

OPA imminente de Renova sur Schmolz+Bickenbach. La société de l’homme d’affaires russe Viktor Vekselberg a acquis, via sa filiale Venetos Holding, 20,46% du capital auprès de la famille fondatrice du groupe sidérurgique germano-suisse. Aussi, Renova devrait lancer une offre au prix de 2,85 francs suisses, valorisant Schmolz+Bickenbach 340 millions. En début d’année, suite à des rumeurs insistantes, le conseil d’administration avait indiqué, par la voix de son président, Hans-Peter Zehnder, n’avoir « aucune information sur une tentative de rachat par des investisseurs financiers ». Ajoutant : « L’actionnaire principal du groupe, qui détient environ 43% des actions, ne s’attend pas non plus à un changement »…

SAB Miller

OPA à 80 milliards dans la bière ? Ce n’est qu’une rumeur de marché relayée par le Financial Times, mais rien n’interdit de l’analyser, explique Capital. « Depuis quelques jours, les milieux financiers bruissent autour d’un possible rachat de SAB Miller (qui possède notamment Pilsner, Miller, Lion Lager…) par AB InBev (Leffe, Budweiser, Stella..). Un deal gigantesque à 80 milliards de dollars qui marquerait la fin d’une séquence de vingt années d’OPA ininterrompues dans le marché mondial de la bière », précise le site internet. « Pourquoi ce deal marquerait la fin du processus ? Tout simplement car après ce mouvement, il n’y aurait plus aucun groupe de bière à racheter. Et dans un ultime acte de cette course au gigantisme, il s’agirait d’un mariage entre survivants, le numéro un mondial absorbant le numéro deux ».

Nokia

Microsoft aurait envisagé de mettre la main sur Nokia. Selon le Wall Street Journal, le géant américain des logiciels était en discussion avancée avec le fabricant finlandais en vue d’acquérir son activité de terminaux mobiles. Mais ces négociations auraient achoppé en raison du prix demandé et des incertitudes sur la capacité du groupe à regagner des parts de marché notamment face à Samsung et Apple.

Kabel

Vodafone lorgne Kabel Deutschland. Le groupe britannique a confirmé avoir approché Kabel Deutschland (KD) de manière informelle en vue d’une possible offre. KD, de son côté, a confirmé cette approche, en précisant toutefois : « Il n’y a aucune certitude qu’une offre sera lancée ni sur les conditions dans lesquelles cette offre pourrait être faite ». Déjà, en février, des sources avaient indiqué à l’agence Reuters que Vodafone étudiait la possibilité d’une OPA afin de se renforcer en Allemagne. L’enjeu est de taille : au cours actuel (81,99 euros, en hausse de 45% depuis le début de l’année), la capitalisation de KD s’élève à 7,25 milliards d’euros, sans compter l’éventuelle prime de contrôle.

Club Méditerranée

Le Club Méditerranée cote au-dessus du prix d’OPA. Après avoir gagné 22,38% dans la séance de lundi, l’exploitant de villages de vacances s’échange aujourd’hui à 17,10 euros, soit 10 centimes de mieux que le prix offert par le tandem franco-chinois, constitué de Fosun Property Holdings et d’Axa Private Equity. Certains investisseurs tablent apparemment sur une majoration de prix qui pourrait intervenir après la remise du rapport de l’expert indépendant. « Cette offre ne nous paraît pas très généreuse, mais elle constitue une porte de sortie pour les minoritaires et elle tient compte d’un business plan marqué par la dégradation des marchés », estime pour sa part Gilbert Dupont. Pour en savoir plus, se reporter à l’article en Une de notre site.

Saks

Le groupe Saks s’envole à Wall Street. Selon le New York Post, qui cite une source proche du dossier, le propriétaire de la chaîne américaine de grands magasins Saks Fifth Avenue aurait mandaté la firme Goldman Sachs pour étudier diverses options, et notamment une vente de la société qui possède de beaux actifs immobiliers. Parmi les repreneurs éventuels, on trouve les grands noms du private equity comme KKR et Leonard Green & Partners. A 15,5 dollars, l’action Saks, cotée sur le Nyse, s’adjuge 30,8% en trois séances, portant sa capitalisation à 2,3 milliards de dollars.

Maroc Telecom

Maroc Telecom : la décision de Vivendi se fait attendre. Ahmad Julfar, directeur général d’Etisalat, premier opérateur télécoms des Émirats arabes unis, attend toujours un retour, comme il l’a indiqué en marge d’une conférence à Dubaï. Vivendi a reçu le 24 avril deux offres de reprise engageantes pour sa participation de 53% dans l’opérateur marocain qui dispose d’un parc de 33 millions de clients. Ces deux propositions proviennent donc d’Etisalat, qui fait figure de favori, et du qatari Ooredoo (ex- Qatar Telecom). A mi-séance, Maroc Télécom reste stable, à 9,99 euros.

Euronext

Euronext suscite des convoitises. Selon le site Financial News, Peter Randall, l’ancien président de Chi-X Europe et d’Equiduct, cherche à monter un consortium de fonds pour racheter les marchés continentaux de Nyse Euronext, Paris, Amsterdam, Bruxelles et Lisbonne. Ces derniers devraient en effet s’introduire en Bourse dans les premiers mois de 2014 à la faveur du rachat de Nyse Euronext par l’Intercontinental Exchange (ICE). Contacté par L’Agefi, Peter Randall, ne souhaite pas commenter les révélations du site d’information. « Qu’il y ait une opportunité est très clair pour moi », assure-t-il toutefois au quotidien digital. A ses yeux, « la libéralisation des marchés a prouvé que les Bourses n’avaient pas besoin d’une base de coûts très importante. Il affirme qu’il existe des possibilités d’amélioration de la technologie et de développement du financement des PME en Europe ».

Vodafone

Des actionnaires de Vodafone plaident pour une fusion ou une OPA. Alors que des rumeurs (démenties) laissent entendre que l’américain Verizon Communications envisage de racheter les parts de Vodafone (45%) dans leur coentreprise Verizon Wireless, plusieurs actionnaires, contactés par Reuters, s’inquiètent du prix pour cette transaction. Au lieu des 100 milliards de dollars, payé moitié en cash, moitié en titres, ils réclament la bagatelle de 120 à 135 milliards. « Sans vouloir être trop brutal, il ne restera pas grand chose à Vodafone si la participation dans Verizon Wireless n’existe plus », a confié Ralph Brook-Fox, gérant d’Ignis Asset Management, l’un des premiers actionnaires institutionnels de Vodafone. « Je crois que l’hypothèse d’une fusion ou d’une OPA globale pourrait en définitive être la solution la plus acceptable, encore que ce ne soit pas une priorité des discussions à l’heure actuelle ».

ENRC

Eurasian Natural Resources Corporation dans l’attente d’une OPA ? Après son envolée de vendredi (+26,6%), le groupe minier, qui opère principalement au Kazakhstan, continue d’être très entouré à la Bourse de Londres, en conservant un gain de 16,6% sur les cinq dernières séances. Alexander Machkevitch, qui détient déjà 14,5% du capital, a annoncé vouloir former un consortium pour lancer une offre sur le groupe qui capitalise la bagatelle de 3,6 milliards de livres sterling. Le conseil d’administration d’ENRC a toutefois précisé qu’il n’avait reçu jusqu’à présent aucune proposition tendant à accréditer l’hypothèse d’une OPA. En tout état de cause, une telle offre ne pourra prospérer qu’avec l’accord de l’Etat du Kazakhstan.

BMC Software

BMC Software dans le giron de firmes de capital-investissement ? Selon l’agence Reuters, l’éditeur de logiciels américain devrait recevoir le 22 avril prochain deux offres de rachat émanant de deux consortiums concurrents : l’un formé par KKR, TPG Capital et Thomas Bravo, l’autre par Bain Capital et Golden Gate Capital. Selon les sources citées, le prix serait compris entre 45 et 49 dollars par action, ce qui valorise le groupe de Houston (Texas) entre 6,5 et 7 milliards. Sur le Nasdaq, le cours s’est aligné sur l’offre la plus basse, en hausse de 13,5% depuis le début de l’année.

ArtPrice

ArtPrice flambe dans la perspective d’une étude favorable. A mi-séance, l’action du leader mondial des banques de données sur l’art gagne 15,3%, à 28,69 euros, dans un volume de 240 650 titres. A l’origine, la parution d’une étude de Bryan Garnier, jeudi 18 avril, qui alimente les rumeurs d’intérêt de la part d’investisseurs et de gérants de fonds. « Nous avons reçu de nombreuses demandes d’investisseurs asiatiques que nous avons renvoyées vers des sociétés de Bourse en France », a précisé à l’agence Reuters Thierry Ehrmann, président fondateur d’Artprice.

Vodafone

Vodafone bientôt sous le coup d’une OPA ? Selon un blog du Financial Times, Verizon Communications et AT&T travailleraient de concert sur un projet d’offre visant l’opérateur télécoms britannique, numéro deux mondial du secteur derrière China Mobile. Vodafone suscite l’appétit en raison de ses parts de marché et notamment de sa participation de 45% dans Verizon Wireless, premier opérateur mobile aux Etats-Unis, qui compte plus de 98 millions de clients particuliers. Il n’en fallait pas plus pour propulser l’action Vodafone à la Bourse de Londres, qui gagne 4,7%, à 195,30 pence, portant ses gains à 26,45% depuis le début de l’année.

Siparex

Siparex Croissance, vers une 6ème OPRA ? Après l’accord de ses différents organes de contrôle, la société de capital-investissement devrait déposer, mardi 2 avril, une nouvelle offre publique de rachat d’actions d’un montant de 15 millions d’euros au prix unitaire de 29 euros. Soit une prime de 6,5% sur le dernier cours coté. Ce prix est à rapprocher de l’actif net réévalué au 30 juin dernier, qui s’est établi à 29,63 euros par action. Depuis 2006, Siparex a déjà lancé cinq OPRA qui, ajoutées aux dividendes versés, représentent près de 130 millions retournés aux actionnaires.

Masters Blenders

Joh. A. Benckiser (JAB) envisage une OPA sur D.E. Masters Blenders. La société d’investissement allemande, contrôlée par la famille Reimann, qui détient déjà une participation de 15%, discute d’une éventuelle offre sur le groupe néerlandais, propriétaire du café Douwe Egberts. « Le prix indicatif par action ordinaire de D.E. Masters proposé par JAB est de 12,75 euros, après dilution complète et sous condition d’une conclusion positive de la procédure de consultation des comptes », indique la société par voie de communiqué. Ce qui valoriserait ce spécialiste du café et du thé quelque 7,6 milliards d’euros. Le marché a immédiatement réagi, en propulsant l’action au niveau du prix offert, soit 12,17 euros, en hausse de 26,7%.

Swiss Life

Swiss Life sous le coup d’une OPA d’Allianz ? L’action du groupe suisse, l’un des leaders sur le marché de la prévoyance financière, gagnait jusqu’à 3%, à 11 heures, avant de conserver une avance de 1,2%, à mi-séance. A l’origine de ce regain d’intérêt, des rumeurs évoquées par des opérateurs sur une éventuelle offre de l’allemand Allianz. Interrogées, les deux parties ont refusé de commenter ces bruits. Ce n’est pas la première fois que le marché parie sur une offensive suisse du géant de l’assurance. En janvier 2010, un site internet annonçait déjà une OPA imminente…

Life Tech

Roche lorgnerait sur Life Technologies. Selon plusieurs sources citées par la presse américaine, le groupe suisse ferait partie des candidats au rachat de cette société biotechnologique, avec le soutien de KKR, Hellman & Friedman et Blackstone. Basée à Carlsbad, en Californie, mais présent dans plus de 180 pays, Life Tech se consacre à fournir les produits les plus innovants dans les domaines de la recherche scientifique, l’analyse génétique et les sciences appliquées, avec 5 000 brevets et licences qui couvrent tout le spectre biologique. Au cours de 63,58 dollars sur le Nasdaq, en hausse de 29,5% depuis le début de l’année, sa capitalisation s’élève à 10,8 milliards.

Nicox

Nicox, la rumeur Pfizer est de retour. L’action de cette valeur biopharmaceutique s’adjuge 6,7% à mi-séance, à 3,47 euros, soit un gain de 48,8% depuis le 1er janvier. A l’origine de ce nouvel accès de fièvre, l’éventualité d’une OPA (encore et toujours) de la part du groupe américain. « L’idée est assez logique d’autant qu’après la phase 3 de son traitement sur le glaucome, si les résultats sont bons, le groupe sera en bien meilleure position pour monnayer un rachat ou un partenariat commercial », explique ainsi un vendeur actions à l’agence Reuters. En tout état de cause, le capital est très éclaté. Le fonds stratégique d’investissement reste le premier actionnaire avec 5,4 % devant des fonds étrangers, la part du public atteignant près de 80 %.

UBS

UBS lorgnerait sur Banca Intermobiliare di Investimenti e Gestioni. Selon le quotidien italien Il Sole 24 Ore, le premier groupe bancaire suisse serait actuellement en négociation pour acquérir la banque italienne, contrôlée par Veneto Banca. Aucune des parties intéressées n’a souhaité commenté l’information. A la Bourse de Milan, le cours de Banca Intermobiliare (Code IT0000074077) a bondi ce matin de 9,55%, à 1,95 euro, avant d’être réservé à la hausse. La Banque qui siège à Turin, valorisée 278,63 millions d’euros, devrait publier ses résultats 2012, le 26 mars prochain.

Vueling

IAG va-t-il relever son OPA sur Vueling ? Le marché semble y croire dans la mesure où le cours de la compagnie aérienne espagnole à bas prix (7,79 euros) dépasse largement le prix offert par International Airlines Group (7 euros). Jusqu’à présent, la maison mère de British Airways et d’Iberia, qui détient déjà 45,85% du capital, avait exclu tout relèvement de prix. Mais cette position pourrait évoluer. D’abord, parce que Vueling a publié des résultats flatteurs pour 2012, avec un bénéfice net en hausse de 173%, à 28,3 millions d’euros. Ensuite, parce que le conseil d’administration a rejeté en bloc sa proposition. Réponse d’ici le 8 avril, date de clôture de l’offre.

Best Buy

Best Buy ne suivra pas l’exemple de Dell. Selon The Wall Street Journal, Richard Schulze, le fondateur et ancien président de Best Buy, aurait mis un terme aux discussions en vue de racheter le groupe d'électronique grand public. Richard Schulze, qui détient déjà 20% du capital, avait présenté cet été une offre indicative entre 24 et 26 dollars par action, valorisant Best Buy autour de 8,5 milliards de dollars. Mais, faute de financements nécessaires, il a dû se résoudre à jeter l’éponge.

Heinz

Le délit d’initié sur Heinz prend forme. Selon le New York Times, les enquêteurs ont relevé des transactions suspectes sur les contrats d’options, la veille de l’annonce de l’acquisition du géant de l’agroalimentaire par le fonds de Warren Buffett, associé au fonds 3G Capital. Selon deux sources informées, il s’agirait d’un « produit dérivé complexe qui a transité par Londres via un compte de Goldman Sachs à Zurich »…

Maroc Telecom

Maroc Telecom cédé d’ici la fin avril 2013 ? C’est du moins l’espoir que caresse le groupe Vivendi à l’égard de sa participation de 53%, valorisée actuellement 4,5 milliards d’euros par le marché. Dans ce cadre, « Etisalat, premier opérateur télécoms des Émirats arabes unis, accélère. Il a mandaté BNP Paribas et la banque marocaine Attijariwafa pour le conseiller financièrement », croit savoir Le Figaro. Ajoutant : « Il fait aujourd’hui figure de favori, même si deux autres candidats, Qatar Telecom et l’opérateur telecom sud-coréen KT Corp., sont également sur les rangs ». A mi-séance, Maroc Telecom gagne 2,6%, à 9,82 euros, soit une baisse de 1,9% depuis le début de l’année. En prenant l’hypothèse d’une prime de 25% sur la moyenne des cours des 3 derniers mois, le prix d’une éventuelle OPA ressortirait à 12 euros par action.

CME Group

CME Group aurait approché la Deutsche Börse. Selon plusieurs sources citées par l’agence Bloomberg, le Chicago Mercantile Exchange, l’un des principaux marchés à terme américains, aurait contacté l’entreprise de marché allemande, à la fin de l’année 2012, en vue de réaliser une fusion. Et ce, peu de temps avant que l’InterContinentalExchange (ICE) annonce son offre sur NYSE Euronext. En début d’année, la possibilité de reprendre Euronext ne semblait guère émouvoir la Deutsche Börse, qui avait déjà essayé à trois reprises de prendre le contrôle de son concurrent. « L’attractivité de l’activité de négociation d’actions a fortement diminué », expliquait ainsi un cadre dirigeant, sous couvert d’anonymat, à l’agence Reuters.

Gardner Denver

KKR lorgnerait sur Gardner Denver (GDI). Si l’on en croit plusieurs médias anglo-saxons, la célèbre firme d’investissement américaine serait prête à lancer une OPA sur ce groupe industriel, spécialisé dans les compresseurs, ventilateurs, pompes, bras de chargement et systèmes à carburant. Le prix proposé pourrait atteindre 75 dollars par action, indique l’agence Bloomberg, soit une prime de 11% sur les cours actuels. Ce qui valorise cette entreprise, créée en 1859, quelque 3,7 milliards de dollars.

Office Depot

p style= »text-align: justify; »>Office Depot et OfficeMax discutent en vue d’une éventuelle fusion. Selon The Wall Street Journal, les deux groupes américains de fournitures de bureau seraient en discussions avancées pour s’unir face à la concurrence des distributeurs en ligne. L’opération, qui pourrait être annoncée d’ici la fin de la semaine, se réaliserait via un échange de titres dont les modalités ne sont pas encore connues. Depuis le début de l’année, Office Depot gagne près de 40% (et pèse désormais 1,3 milliard de dollars) contre un gain de 10% pour OfficeMax (dont la capitalisation atteint 930 millions).

Maurel et Prom

p style= »text-align: justify; »>Maurel et Prom intéresserait Pertamina. Selon le Sunday Telegraph, citant des sources proches du dossier, ce groupe pétrolier indonésien serait en discussion avec cette « junior » pétrolière, présente principalement en Afrique et en Amérique Latine. Le quotidien britannique va jusqu’à avancer le nom de la banque conseil (Société Générale) et le prix indicatif proposé (19 euros). Ce qui n’a pas manqué de faire progresser l’action jusqu’à 15 euros en début de séance, loin toutefois du prix évoqué. Les rumeurs, il est vrai, ne manquent pas : ces derniers mois, les noms de Royal Dutch Shell et de Sinopec ont déjà été avancés. Maurel et Prom n’a pas souhaité commenter.

Heinz

Rachat de H.J. Heinz : la SEC enquête sur un éventuel délit d’initié. La veille de l’annonce de l’acquisition du géant de l’agroalimentaire par le fonds de Warren Buffett, associé au fonds 3G Capital, l’autorité de régulation américaine aurait observé des mouvements suspects sur les contrats d’option. Rappelons que, selon les termes de l’accord, les actionnaires de Heinz recevront 72,50 dollars en cash par action ordinaire, dans une transaction évaluée à 28 milliards de dollars, y compris la prise en charge de la dette. Soit une prime de 20% sur le cours de clôture du 13 février.

Loewe

Apple aurait les yeux de Chimène pour Loewe. Selon des rumeurs de marché, la marque à la pomme serait en passe de lancer une OPA sur le fabricant allemand de téléviseurs haut de gamme. Et ce, à un prix de 4 euros par action ! Fort logiquement, l’action Loewe a flambé en Bourse, gagnant 40% en cinq séances, à 3,50 euros. Des rumeurs similaires, rapportées au printemps dernier par le blog AppleInsider.com, faisaient déjà état d’un possible intérêt d’Apple. « Les dirigeants de Loewe n’ont actuellement aucune information sur le fait qu’Apple souhaite devenir actionnaire de Loewe AG », a déclaré en substance un porte-parole de la société.

First Solar

First Solar très recherchée sur le Nasdaq. L’action (code FSLR) vient de s’adjuger près de 11% en deux séances, suite aux rumeurs d’une éventuelle offre de la part du conglomérat General Electric. Ce n’est pas la première fois que de tels bruits circulent sur ce fabricant de panneaux photovoltaïques. Déjà, en 2010, Siemens avait été présenté comme un possible repreneur de cette société indépendante devenue l’un des leaders mondiaux, avec une capitalisation proche de 3 milliards de dollars. Une chose est sûre, fin janvier, First Solar a rejeté une mini-offre de TRC Capital, qui court jusqu’au 22 février, portant sur 2,3% du capital, au prix de 30 dollars par action.

Sanofi

Sanofi/Bausch & Lomb : no comment. Lors d’une conférence téléphonique, le directeur général de Sanofi, Christopher Viehbacher, s’est refusé à tout commentaire concernant la rumeur d’un éventuel intérêt pour ce spécialiste des soins oculaires. Selon lui, Sanofi a aujourd’hui atteint une taille critique, même s’il n’exclut pas des acquisitions à caractère stratégique comprises entre 1 et 2 milliards d’euros. Début janvier, l’agence Bloomberg avait indiqué que le groupe français comme Johnson & Johnson, Abbott Laboratories et Merck étaient susceptibles de reprendre l’entreprise contrôlée actuellement par la société de capital-investissement Warburg Pincus.

Dell 7

L’américain Dell sur le point de quitter le Nasdaq. Selon différentes sources concordantes, le troisième fabricant mondial d’ordinateurs derrière Hewlett-Packard et Lenovo serait proche d’un accord avec un consortium, emmené par Michael Dell, son fondateur, qui détient toujours 15,7 % du capital, et le fonds Silver Lake Partners. Le prix avancé serait compris entre 13 et 14 dollars par action, valorisant le groupe basé à Round Rock (Texas) autour de 23,5 milliards de dollars. Le secteur souffre de la concurrence très rude des tablettes. Mais, dans la mesure où Dell garde un niveau élevé de cash, un rachat par LBO est tout à fait plausible, aux yeux des analystes. Sur les cinq dernières séances, l’action a gagné 4,5 % pour s’établir à 13,63 dollars.

Buffett

Warren Buffett aurait fait une offre d’achat sur Nyse Euronext. Selon la chaîne de télévision CNBC, l’homme d’affaires aurait déposé en novembre 2012, via son fonds Berkshire Hathaway, une proposition pour acquérir le premier groupe mondial de places boursières. Mais le prix aurait été inférieur aux 8,2 milliards de dollars avancés par l’Intercontinental Exchange (ICE). Ce projet était conditionné, semble-t-il, à la vente des activités européennes de produits dérivés. A la suite de l’offre de l’ICE, Perella Weinberg Partners aurait de nouveau contacté Berkshire Hathaway, alias « Société A », mais celle-ci s’est refusée à améliorer les termes de son offre.

Lenovo

Lenovo s’intéresse de près au fabricant du Blackberry, Research in Motion. « Nous examinons toutes les possibilités, RIM et beaucoup d'autres », a déclaré hier Wong Wai Ming, directeur financier du géant chinois, à l'agence Bloomberg en marge du Forum économique mondial de Davos. Ajoutant : « Nous n'hésiterons pas si une bonne opportunité se pr

Nicox 2

La spéculation continue sur Nicox. Après avoir flambé de 16,10 % mardi, dans un volume de 12,9 millions de titres (soit 17,7 % du capital !), le titre continue sur sa lancée, en gagnant 4 % mercredi en début d’après-midi, à 3,44 euros. Depuis le début de l’année, cette société biopharmaceutique s’adjuge ainsi 47 % et porte son avance à 183 % sur 1 an glissant. Hier, des rumeurs circulaient sur une possible OPA de la part de l’américain Pfizer, qui détient déjà 1,87 % des actions (voir Le Journal des OPA N°18). Un porte-parole de Nicox s’est refusé à tout commentaire, précisant en substance qu’il ne s’agissait pas d’une information, mais d’une rumeur de marché. Pfizer n’a pas souhaité non plus réagir à ces mouvements spéculatifs.

Nicox

La spéculation reprend sur Nicox. Mardi, en début d’après-midi, l’action de cette société biopharmaceutique a gagné jusqu’à 16 %, à 3,3 euros, dans un volume d’échanges inhabituel, soit une hausse supérieure à 40 % depuis le début de l’année. Selon des opérateurs, le groupe pourrait faire l’objet d’une OPA de la part de l’américain Pfizer, qui d

HP

Hewlett-Packard vers une cure d’amaigrissement ? Si l’on en croit le Wall Street Journal, le géant informatique américain aurait reçu des marques d’intérêt pour sa filiale Autonomy Corp., acquise l’an dernier pour 10,2 milliards de dollars. Dans les actifs visés, figurerait également la société de haute technologie EDS, reprise en 2008 pour près de 14 milliards. Rappelons que la société Autonomy fait actuellement l’objet d’une enquête de la part du Département de la Justice américaine, en raison des irrégularités comptables relevées par HP à la suite à son acquisition. Le fait que son concurrent Dell soit en discussion avec des fonds d’investissement accélère sans doute les éventuelles discussions. A Wall Street, l’action s’est adjugée 4 %.

Schmolz

Le soufflé Schmolz+Bickenbach est retombé. Sur des rumeurs de reprise par un groupe d’investisseurs, citées par le quotidien Handelsblatt, le groupe sidérurgique germano-suisse avait gagné plus de 8 % en une séance. Mais depuis les démentis de la direction, le titre a reperdu en cinq séances les gains acquis, affichant désormais une baisse de 55 % sur un an. « Le conseil d'administration n'a aucune information sur une tentative de rachat par des investisseurs financiers », avait affirmé son président Hans-Peter Zehnder au journal dominical SonntagsZeitung. Ajoutant : « L'actionnaire principal du groupe, qui détient environ 43% des actions, ne s'attend pas non plus à un changement ». La Bourse, visiblement, l’a entendu.

Dell

L’américain Dell bientôt sorti du Nasdaq ? Selon des sources proches du dossier citées par l’agence Bloomberg, le troisième fabricant mondial d’ordinateurs derrière Hewlett-Packard et Lenovo serait en discussion avec des fonds d’investissement, tels que TPG et Silver Lake Partners. Ce qui n’a pas manqué de faire bondir l’action de près de 13 %, à 12,29 dollars. Le secteur souffre en effet de la concurrence très rude des tablettes, comme en témoigne la baisse des ventes de PC durant les fêtes de fin d’année, une première depuis 5 ans. Dell n’échappe pas à la règle et, malgré le retour de son fondateur Michael Dell à la direction opérationnelle, lequel détient toujours près de 15 % du capital, rien n’y fait. Selon le cabinet IDC, ses ventes ont ainsi chuté de 21 % au 4ème trimestre 2012. Dans la mesure où le groupe garde un niveau élevé de cash, un rachat par LBO est tout à fait plausible, aux yeux des analystes. Dell, en tout cas, fidèle à son habitude, ne commente pas ces informations.

Orpea

Orpea figurerait parmi les repreneurs potentiels de Senior Living Group, croit savoir le quotidien financier flamand De Tijd. Selon les informations publiées, la société d’investissement Waterland Private Equity se préparerait à céder le groupe de maisons de retraite belge qu’elle contrôle à 100 %. Senior Living Group exploite actuellement 6 100 lits agréés, répartis sur 43 maisons de repos, ce qui en fait le plus important opérateur privé en Belgique. Or, dans ce secteur, le groupe Orpea, leader européen de la prise en charge de la dépendance (avec 38 348 lits sur 410 établissements) ne cache pas ses ambitions de développement. On en saura sans doute plus à l’issue de la publication des résultats du dernier exercice de SLG. Mais aucune des parties prenantes n’a pour l’instant confirmé, ni infirmé ces informations.

Atlantia

Atlantia discute avec Gemina en vue d’un rapprochement. Selon des sources proches du dossier, la société autoroutière italienne souhaiterait mettre la main sur celle qui contrôle Aeroporti di Roma (ADR). Le rapprochement des deux entités, chacune contrôlée par Sintonia, holding contrôlé par la famille Benetton, permettrait à ADR de déployer un projet de 2,5 milliards d'euros d'investissements pour relancer l'aéroport de Fiumicino.  « Les paramètres seront définis d'ici fin janvier », a déclaré l'une des sources. Ajoutant : « Il pourrait y avoir une offre publique d'échange pour Gemina ou un échange d'actions. Il existe deux ou trois options ». A suivre.

Sanofi

Sanofi s’intéresserait au spécialiste des soins oculaires Bausch & Lomb. C’est du moins ce que rapporte l’agence Bloomberg News, citant des proches du dossier. Mais le groupe pharmaceutique français ne serait pas le seul dans la course. Johnson & Johnson, Abbott Laboratories et Merck (et sans doute Pfizer) seraient également sur les rangs pour reprendre l’entreprise créée en 1853 et contrôlée actuellement par la société de capital-investissement Warburg Pincus. Cette dernière, qui siège au 450 Lexington Avenue, à New York, souhaiterait organiser le premier tour d’offres d’ici fin janvier, selon l’agence, avec l’objectif d’obtenir la bagatelle de 10 milliards de dollars.

faurecia

Faurecia pourrait sortir du périmètre de Peugeot. C’est du moins ce qui circule dans les salles de marché et provoque une poussée de fièvre de la fille et de la mère. L’équipementier a ainsi gagné 5,3 % lundi et s’adjuge près de 10 % en cinq séances. Dans une note d’analyste, CM-CIC Securities estime que le constructeur automobile pourrait vendre sa participation (57,4 %), actuellement valorisée 850 millions d’euros en Bourse, pour un montant estimé entre 1,2 et 1,5 milliard. Et ce, après avoir déjà réduit son contrôle en 2009. Le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, a d’ailleurs estimé dimanche que le constructeur pourrait devoir aller « plus loin » dans les mesures engagées depuis quelques mois pour assurer sa survie. Noms évoqués pour la reprise : le canadien Magna ou le coréen Hyundai Mobis.