Sword Group : Eximium pointe au-delà des 20%. Par suite d’acquisitions en Bourse et hors marché, Eximium, contrôlée par M. Michel Baulé, détient désormais 20,38% du capital et des droits de vote de cette société de conseil, de service et de software. Eximium n’envisage pas de prendre le contrôle de Sword Groupe et n’a pas non plus l’intention de solliciter un poste d’administrateur.
Archives pour la catégorie Chut ! On ramasse…
Ubisoft : Vivendi dépasse les 20%
Ubisoft : Vivendi dépasse les 20%. Par suite d’acquisitions en Bourse, le groupe de médias et de contenus a franchi le seuil de 20% et détient désormais 20,10% du capital et 17,77% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo. Vivendi envisage de poursuivre ses achats en fonction des conditions de marché, mais n’envisage pas de déposer une offre publique ni d’en acquérir le contrôle. Néanmoins, Vivendi souhaite une recomposition du conseil d’administration d’Ubisoft en vue notamment d’y obtenir une représentation cohérente avec sa position actionnariale. L’action Ubisoft termine à 31,15 €, en hausse de 0,78%, mais en baisse de 5,3% sur la semaine.
Cast : DevFactory continue de monter
Cast : DevFactory continue de monter dans le capital. A la suite d’achats en Bourse, cette société, basée à Dubaï et contrôlée par M. Joseph Liemandt, détient désormais 15,12% du capital et 13,57% des droits de vote de l’éditeur de logiciels. A cette occasion, DevFactory a déclaré à l’AMF agir seule et envisager de procéder à des acquisitions d’actions Cast en fonction des opportunités du marché, sans prendre le contrôle de la société. Enfin, elle va demander une nouvelle fois la nomination d’un représentant au conseil d’administration. A 3,37 euros, l’action gagne Cast gagne 5% en une semaine et 11,6% depuis le début de l’année.
Ubisoft : Vivendi continue de monter dans le capital
Ubisoft : Vivendi continue de monter dans le capital. Le groupe de médias et de contenus Vivendi a poursuivi ses acquisitions sur le marché pour détenir 17,73% du capital et 15,66% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo. Vivendi envisage de poursuivre ses achats en fonction des conditions de marché, mais n’envisage pas de déposer une offre publique sur Ubisoft ni d’en prendre le contrôle. Néanmoins, Vivendi souhaite une recomposition du conseil d’administration en vue, notamment, d’y obtenir une représentation cohérente avec sa position actionnariale.
Gameloft : Amber pointe à près de 15%
Gameloft : Amber pointe à près de 15%. Par suite d’acquisitions en Bourse, le concert composé des sociétés Amber Capital UK LLP et Amber Capital Italia SGR SpA, agissant pour le compte de fonds dont elles assurent la gestion, détient désormais 14,62% du capital et 13,17% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo.
Scor : Covéa monte dans le capital
Scor : Covéa monte dans le capital. Le leader de l’assureur dommages en France, avec ses marques MAAF, MMA et GMF, a acquis 5,64% du capital de Scor, portant ainsi sa participation à 7,67% (représentant 7,94% des droits de vote). Covéa, actionnaire du 1er réassureur français depuis 2003, souligne que « cet investissement est celui d’un actionnaire de long terme, soucieux de la pleine indépendance et de la totale autonomie opérationnelle de Scor ». Ainsi, au cours des trois prochaines années, Covéa ne dépassera pas le seuil de 10% du capital, sauf évolution significative de la stratégie ou de la structure actionnariale susceptible de porter préjudice à ses intérêts, ou changement des instances de gouvernance de Scor.
Hi-Media : Benjamin Jayet dépasse les 15%
Hi-Media : Benjamin Jayet dépasse les 15%. L’homme d’affaires, qui a décidé d’assigner en justice Cyril Zimmermann, le PDG du spécialiste de la monétisation de l’audience sur Internet, pour « abus de gestion », a franchi en hausse le seuil de 15% des droits de vote pour détenir 16,48% du capital et 15,68% des droits de vote. Dans un courrier adressé à l’AMF, il déclare avoir l’intention, en fonction du contexte de marché et sous réserve de la situation de la société, de poursuivre ses achats durant les six mois à venir, sans pour autant acquérir le contrôle de Hi-Media. Néanmoins, Benjamin Jayet a l’intention de peser sur la stratégie « en raison de la situation dégradée de la société » et a demandé en conséquence la nomination de BJ Invest en qualité d’administrateur, ainsi que la nomination de trois autres administrateurs indépendants lors de prochaine assemblée générale qui se réunira le 3 mai 2016.
Lafuma : Calida Holding porte sa participation
Lafuma : Calida Holding porte sa participation à 71,55%. Cette société cotée à la SIX Swiss Exchange, actionnaire majoritaire de Lafuma depuis décembre 2013, vient d’acquérir les participations de Comir et Soparcif, deux actionnaires historiques minoritaires de Lafuma. Avec cette transaction réalisée au prix de 16 € par action, Calida augmente sa participation, acquérant 11,63% du capital et dépassant le seuil des deux-tiers, lui conférant ainsi la majorité qualifiée. Concomitamment, Comir SAS représentée par M. Christian Haas démissionne de ses fonctions d’administrateur.
Séché Environnement : Joël Séché se renforce
Séché Environnement : Joël Séché se renforce. Par suite d’une acquisition hors marché, le président de cet acteur du traitement des déchets a informé l’AMF qu’il détenait, directement et indirectement, par l’intermédiaire de la société Groupe Séché qu’il contrôle, 49,14% du capital et 58,20% des droits de vote : 21,67% directement et 27,48% via Groupe Séché. Au cours des derniers mois, la participation de Joël Séché a évolué de la manière suivante : 48,50% au 17 juin 2015, 48,82% au 5 novembre 2015 et donc 49,14% au 23 mars 2016.
Gameloft : la famille Guillemot poursuit ses achats
Gameloft : la famille Guillemot poursuit ses achats. Le groupe familial Guillemot, qui avait franchi récemment le seuil de 20% du capital de l’éditeur de jeux vidéo, détient désormais 21,23% du capital et 29,26% des droits de vote. Dans leur dernière déclaration d’intention, les membres du concert indiquaient prendre « les mesures nécessaires pour éviter une prise de contrôle hostile par des personnes qui pourraient remettre en cause la stratégie et la vocation mondiale de Gameloft ».
Elior Group : la Caisse du Québec prend
Elior Group : la Caisse du Québec prend une participation de 6,55%. La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) annonce une prise de participation minoritaire dans l’un des leaders mondiaux des services de restauration destinés aux établissements scolaires, aux entreprises et aux établissements de santé. Suivant cette transaction, la Caisse sera représentée au conseil d’administration du groupe.
« A titre d’investisseur de long terme, nous cherchons des occasions d’appuyer des entreprises qui œuvrent dans des secteurs résilients aux cycles économiques et qui procurent, dans la durée, des rendements intéressants pour nos déposants. Notre investissement dans Elior Group est bien aligné avec cette stratégie », affirme Andreas Beroutsos, premier vice-président, Placements privés et infrastructures de la Caisse. Avec cette prise de participation dans l’entreprise, nous pourrons notamment mettre à profit notre réseau et notre connaissance du marché nord-américain afin de favoriser la croissance mondiale d’Elior Group. »
Accor : JinJiang pointe à plus de 10%
Accor : JinJiang pointe à plus de 10%. Le groupe hôtelier chinois a franchi, via deux de ses filiales, Rubyrock Capital et Golden Apple Capital, le seuil de 10% et détient désormais 11,70% du capital et 10,21% des droits de vote du groupe français. JinJiang n’exclut pas d’acquérir d’autres actions selon les conditions du marché, mais n’envisage pas de prendre le contrôle d’Accor. Par ailleurs, le groupe chinois n’exclut pas non plus de demander la nomination d’un ou plusieurs représentants au conseil d’administration et de participer à la définition de la stratégie de la société.
Gameloft : la famille Guillemot se renforce
Gameloft : la famille Guillemot se renforce. Le groupe familial Guillemot a franchi en hausse le seuil de 20% du capital de l’éditeur de jeux vidéo et détient désormais 20,29% du capital et 28,42% des droits de vote. Les membres du concert envisagent de poursuivre leurs achats d’actions Gameloft visées par l’OPA de Vivendi en fonction des conditions de marché, mais pas de prendre le contrôle de Gameloft. Néanmoins, ils « ne s’interdisent pas de le faire et prendront les mesures nécessaires pour éviter une prise de contrôle hostile par des personnes qui pourraient remettre en cause la stratégie et la vocation mondiale de Gameloft ».
Gameloft : la famille Guillemot se renforce
Gameloft : la famille Guillemot se renforce. La société européenne Guillemot Brothers, contrôlée à 100% par la famille Guillemot, a franchi le seuil de 10% du capital pour détenir 10,20% du capital et 13,32% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo. En conséquence, le groupe familial Guillemot détient désormais 18,99% du capital et 27,26% des droits de vote. Guillemot Brothers n’envisage pas de prendre le contrôle de Gameloft, mais ne s’interdit pas de le faire. Ajoutant : elle « prendra les mesures nécessaires pour éviter une prise de contrôle rampante par des personnes qui pourraient remettre en cause la stratégie et la vocation mondiale de Gameloft SE au détriment de l’intérêt de la société et de tous ses actionnaires ».
Coheris : DevFactory franchit un seuil
Coheris : DevFactory franchit un seuil. Cette société, située aux Emirats Arabes Unis et contrôlée par M. Joseph Liemandt, a franchi le seuil de 20% et détient désormais 20,60% du capital et 19,80% des droits de vote de l’éditeur de logiciels. DevFactory déclare qu’en fonction de la décote par rapport à son estimation de la valeur intrinsèque de Cohéris, elle envisage de procéder à des acquisitions en fonction des opportunités du marché, mais sans prendre le contrôle de la société.
Egide : Sigma Gestion pointe à plus de 15%
Egide : Sigma Gestion pointe à plus de 15%. Cette société agissant pour le compte de fonds dont elle assure la gestion détient désormais 15,47% du capital et 15,37% des droits de vote du spécialiste des boîtiers pour composants électroniques. Sigma Gestion envisage de poursuivre ses acquisitions, mais sans vouloir acquérir le contrôle d’Egide. Elle envisage toutefois de demander sa nomination comme administrateur. Sigma Gestion est détenue à hauteur de 96,20% par la société Financière Sigma, elle-même détenue à hauteur de 41,50% par Sigma Investissement, à hauteur de 22,50% par M. Emmanuel Simonneau et à hauteur de 18% respectivement par MM. Vincent Lachene et Guillaume Hemmerlé.
Cast : DevFactory dépasse les 10%
Cast : DevFactory dépasse les 10% du capital. A la suite d’achats en Bourse, cette société, basée à Dubaï et contrôlée par M. Joseph Liemandt, détient désormais 11,49% du capital et 10,01% des droits de vote de l’éditeur de logiciels. A cette occasion, DevFactory a déclaré à l’AMF agir seule et envisager de procéder à des acquisitions d’actions CAST en fonction des opportunités du marché, sans prendre le contrôle de la société. Enfin, elle va demander une nouvelle fois la nomination d’un représentant au conseil d’administration de CAST lors de la prochaine assemblée générale.
Gameloft : la famille Guillemot se renforce
Gameloft : la famille Guillemot se renforce. Face à la monté en puissance de Vivendi dans le capital, le groupe familial Guillemot a décidé de riposter en franchissant le seuil de 25% des droits de vote pour détenir 16,63% du capital et 25,11% des droits de vote. Les membres du concert envisagent de poursuivre leurs achats en fonction des conditions de marché, mais n’envisagent pas de prendre le contrôle de l’éditeur de jeux vidéo. Néanmoins, ils ne s’interdisent pas de le faire et prendront les mesures nécessaires « pour éviter une prise de contrôle rampante par des personnes qui pourraient remettre en cause la stratégie et la vocation mondiale de Gameloft au détriment de l’intérêt de la société et de tous ses actionnaires ».
Ubisoft Entertainment : Vivendi grignote encore
Ubisoft Entertainment : Vivendi grignote encore. Après avoir acquis des actions sur le marché, le groupe de médias a franchi en hausse le seuil de 10% des droits de vote et détient désormais 11,52% du capital et 10,15% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo. Vivendi indique que ses intentions sont identiques à celles déclarées lors du franchissement en hausse du seuil de 10% du capital.
Gameloft : Vivendi continue de monter dans le capital
Gameloft : Vivendi continue de monter dans le capital. Le groupe a franchi en hausse le seuil de 15% et détient désormais 13 207 079 actions, soit 15,53% du capital et 13,73% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo (contre 10,20% précédemment). Dans un communiqué en date du 5 octobre, Gameloft prenait acte de la prise de participation de Vivendi « qui n’a pas été sollicitée », avant de préciser : « Nous rappelons la volonté du groupe de rester indépendant, stratégie qui lui a permis en 16 ans de devenir un leader mondial du jeu mobile et, depuis 2015 un acteur important et en forte croissance de la publicité sur mobiles ». Sur les neuf premiers mois de 2015, Gameloft a publié un chiffre d’affaires de 190,7 millions d’euros, en hausse de 14% à données publiées et de 6% à taux de change constant. A 1 heure de la clôture, la valeur gagnait 2,3%, à 5,34 euros.
Gameloft toujours activement recherché
Gameloft toujours activement recherché en Bourse. En fin de matinée, l’action de l’éditeur de jeux bondit de 9,96%, à 5,30 euros, soit un gain de 19,91% sur les cinq dernières séances (+58,7% depuis le 1er janvier). A l’origine de cette flambée, on trouve les déclarations de Vivendi qui, dans un communiqué, n’a pas écarté la possibilité d’une prise de contrôle sur les six prochains mois. Selon le groupe, qui détient déjà 10,20% du capital, l’investissement dans le secteur d’activité de Gameloft participe d’une vision stratégique de convergence opérationnelle entre les contenus et les plates-formes de Vivendi et les productions dans le domaine des jeux vidéo.
Zodiac Aerospace : le FSP entre au capital
Zodiac Aerospace : le FSP entre au capital. Après avoir pris un ticket dans Seb et Arkema, le Fonds Stratégique de Participations, géré par le groupe Edmond de Rothschild, annonce son entrée dans le capital du leader mondial des équipements et des systèmes aéronautiques, pour un montant de 350 millions d’euros (moins de 4%). En tant qu’investisseur de long terme, le FSP envisage d’accompagner Zodiac Aerospace dans son développement et de participer à sa gouvernance. A l’occasion de cette nouvelle prise de participation, le FSP et ses fondateurs – BNP Paribas Cardif, CNP Assurances, Crédit Agricole Assurances (via sa filiale Predica), et Sogécap (groupe Société Générale) – annoncent également avoir été rejoints par deux nouveaux actionnaires, à savoir Groupama et Natixis Assurances.
Séché Environnement rachète ses propres titres
Séché Environnement rachète ses propres titres. Le groupe a conclu ce jour avec la CDC, un contrat par lequel elle acquiert auprès de cette dernière, 777.138 actions Séché Environnement, soit 9% de ses propres actions, par voie de bloc hors marché, en vue de les annuler, dans le cadre de son programme de rachat d’actions autorisé par son assemblée générale le 28 avril 2015.
Cette opération est réalisée pour un prix total de 23.422.939 euros, soit 30,14 euros par action correspondant au cours de clôture de l’action au 20 mai 2015. Les actions rachetées par Séché Environnement auprès de la CDC seront annulées dans les meilleurs délais. L’achat des titres est financé par prélèvement sur la trésorerie et par tirage sur une ligne de crédit disponible de Séché Environnement, qui pourra donc poursuivre ses projets de développement sans obérer sa solidité financière.
Concomitamment, par la signature ce jour d’un contrat d’acquisition, Amarosa, la holding familiale de M. Joël Séché, a acquis hors marché auprès de la CDC, un bloc additionnel de 172.697 actions représentant 2 % du capital de Séché Environnement, au même prix de 30,14 euros par action.
Il est précisé que dans le cadre de ces opérations, l’AMF a octroyé à Joël Séché et Amarosa une dérogation à l’obligation de déposer un projet d’offre publique. Joël Séché et Amarosa s’obligent solidairement vis-à-vis de la CDC, à ne pas engager, pendant une période de 12 mois à compter de la réalisation des cessions, un certain nombre d’opérations portant sur le capital de la société (offre publique, transfert du contrôle, perte du contrôle exclusif, OPRA).
Société des Bains de Mer
Société des Bains de Mer : LVMH prend un ticket. Selon une information exclusive de Nice Matin, le leader mondial du luxe serait désormais dans le tour de table de l’établissement à hauteur de 5%, « voire un petit peu plus », comme l’a confirmé une source proche du dossier, en compagnie de Galaxy Entertainment Group, hôtelier de luxe et casinotier de Macao, qui « a lui aussi signé à un tout petit peu moins de 5 % ». L’État monégasque reste l’actionnaire majoritaire à hauteur de 69,9%.
Air France-KLM
L’Etat annonce l’acquisition de titres Air France-KLM. La loi du 29 mars 2014 visant à reconquérir l’économie réelle prévoit que, sauf décision contraire des assemblées générales, les actionnaires qui conservent leurs titres pendant au moins deux ans sont récompensés par l’octroi de droits de vote doubles. Dans un contexte où une résolution s’opposant à leur introduction sera soumise au vote des actionnaires d’Air France-KLM lors de la prochaine assemblée générale de l’entreprise, prévue le 21 mai, l’Etat, qui détient 15,88% du capital d’Air France-KLM, a souhaité se donner les moyens de soutenir l’adoption des droits de vote doubles par Air France-KLM, explique Bercy. 5,1 millions de titres Air France-KLM (au maximum), représentant 1,7% du capital, sont donc acquis pour un prix compris entre 33,15 millions d’euros et 45,9 millions d’euros.
Explosifs et Produits Chimiques
Explosifs et Produits Chimiques : Candel & Partners au-dessus de 5%. Cette société par actions simplifiée, contrôlée par M. Allan Green, a franchi en hausse ce seuil pour détenir 5,31% du capital et 3,50% des droits de vote. En 2014, le groupe a renoué avec les bénéfices (2,3 millions d’euros) après plusieurs années marquées par des restructurations importantes et des frais de développement significatifs sur les zones en croissance (Afrique et Moyen Orient). A 458 euros, l’action retrouve ses plus hauts niveaux, en hausse de 56,7% en un an.
CGG
CGG : la Financière de l’Echiquier monte dans le capital. La société de gestion a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,63% du capital et 5,06% des droits de vote du spécialiste des services géophysiques.
Millimages
Millimages : M. Roch Lener monte dans le capital. Cet homme d’affaires détient, directement et indirectement, par l’intermédiaire de Kid Media Management qu’il contrôle, 92,09% du capital et 95,51% des droits de vote. Ce franchissement de seuils résulte d’une acquisition d’actions hors marché et d’une diminution du nombre total de droits de vote de la société Millimages.
Altamir
Altamir : Amboise monte dans le capital. Et ce n’est pas fini ! Cette société en nom collectif a franchi en hausse le seuil de 25% et détient désormais 25,01% du capital et des droits de vote. À cette occasion, le concert formé par Amboise SNC et Apax Partners contrôlées par M. Maurice Tchenio, n’a franchi aucun seuil, et détient, au 23 septembre 2014, 25,63% du capital. Le concert a l’intention d’accroître sa participation dans Altamir dans les 6 prochains mois pour la porter de 25,01% à un maximum de 28%. Néanmoins, Amboise SNC n’envisage pas de prendre le contrôle d’Altamir, dont le gérant est Altamir Gérance et dont M. Maurice Tchenio est le président.
CGG
CGG : la Financière de l’Echiquier se positionne. Par suite d’acquisitions en Bourse, la société de gestion a franchi en hausse, le 26 août, le seuil de 5% du capital et détient désormais 5,14% du capital et 4,68% des droits de vote de cette société.
Club Méditerranée
Club Méditerranée : Credit Suisse franchit les 5%. La banque, dont le siège est à Zurich, détient désormais 5,56% du capital et 5,01% des droits de vote de l’exploitant de villages de vacances. Le déclarant précise toutefois que sa détention d’actions est liée principalement à la couverture de Contract for difference (CFD) initiés par des clients.
Tour Eiffel
Tour Eiffel : la SMABTP détient plus de 25% du capital. Ce franchissement de seuils résulte d’acquisitions de titres sur le marché et hors marché, dans le cadre de l’offre publique au prix de 58 € par action. La société mutuelle détient désormais 1 586 243 actions Tour Eiffel, soit 25,29% du capital et des droits de vote.
Prowebce
Prowebce : ProwebClub franchit les 95%. Cette société par actions simplifiée détient désormais 95,32% du capital et 93,96% des droits de vote de cette plateforme de communication et de gestion. ProwebClub est détenue à hauteur de 23,63% par M. Patrice Thiry et certains membres de sa famille, Edmond de Rothschild Investment Partners (17,95%), Iris Capital (17,95%), les associés Business Angels (M. Tom Collison, Ventures Capital AB et M. Bertrand Berullier) (14,92%), Edenred (9,95%) et Secafi DSE (8,13%).
Tour Eiffel
Tour Eiffel : la SMABTP monte dans le capital. La société mutuelle du Bâtiment et des Travaux Publics a franchi en hausse, le 1er juillet 2014, le seuil de 5% des actions de la société foncière et détient désormais 332 380 actions, représentant 5,31% du capital et des droits de vote.
Foncière Paris Nord
Foncière Paris Nord : Jean-François Ott dépasse les 10%. La société de droit luxembourgeois Ott Properties et la société de droit chypriote Vandomia Enterprises Company Limited, qu’il contrôle, détiennent désormais ensemble 11,13% du capital.
Altamir
Altamir : Amboise SNC et Apax Partners montent à 25%. Le concert formé par ces deux sociétés (contrôlées par Maurice Tchenio) ne compte pas s’arrêter là. Dans les 12 prochains mois, ces actionnaires ont l’intention d’accroître leur participation pour la porter à un maximum de 27%. Néanmoins, Altamir étant une société en commandite, ces transactions n’ont pas pour objet de prendre le contrôle de la société, dont le gérant est Altamir Gérance et dont Maurice Tchenio est le président.
Systar
Systar : Axway Software dépasse les deux tiers du capital. Dans le cadre de son OPA simplifiée, qui se termine le 11 juin prochian, l’éditeur de logiciels a porté sa participation à 66,68%. Le prix proposé (5,97 € ) fait ressortir une prime de 17,3% sur le cours avant l’annonce et de 55,2% sur la moyenne des 3 mois précédents.
Club Méditerranée
Club Méditerranée : les franchissements de seuils se multiplient. Le 27 mai, la société de droit suisse UBS a porté sa participation à 5,62% du capital. Et, le 29 mai, la société anglaise Polygon Global Partners, agissant pour le compte de clients dont elle assure la gestion, a déclaré détenir le même pourcentage (5,62%). Ce dernier mouvement résulte d’une acquisition de « contract for difference » (CFD) sans échéance.
Société Foncière Lyonnaise
Société Foncière Lyonnaise : le Qatar monte dans le capital. Le concert constitué par les sociétés DIC Holding et Qatar Holding a franchi en hausse les seuils de 20% pour détenir 22,19% du capital et des droits de vote. Qatar Holding et DIC Holding envisagent de poursuivre leurs acquisitions selon les opportunités qui se présenteront. Cependant, ils n’ont pas l’intention de prendre le contrôle de SFL.
Club Méditerranée
Club Méditerranée : UBS franchit un seuil. Suite à une acquisition hors marché, le groupe bancaire détient désormais 5,80% du capital et 5,22% des droits de vote de l’exploitant de villages de vacances. Pour mémoire, la société d’investissement BI-Invest a acquis récemment 6,5% du capital, via Strategic Holdings, avec l’objectif de monter à 9 ou 10% du capital, au risque de faire échouer l’OPA de Gaillon Invest, qui mène l’opération pour le compte d’Ardian et de Fosun.
Foncière Inea
Foncière Inea : MM Puccini monte dans le capital. Cette société civile, contrôlée par Malakoff Médéric Prévoyance, a franchi en hausse les seuils de 5% et 10% pour détenir 14,15% des actions et 10,03% des droits de vote de cette foncière. Dans un courrier adressé à l’AMF, l’acquéreur prévoit d’arrêter ses achats.
SFL
Société Foncière Lyonnaise : Crédit Agricole franchit les 10%. La banque, via Prédica, Crédit Agricole Assurances, Dolcea Vie, Crédit Agricole Life Insurance Company, Cali Europe et Care qu’elle contrôle, détient désormais 12,64% du capital et des droits de vote. L’acquisition a été réalisée au titre de l’actif général de Prédica, dans le cadre de sa politique d’investissement. Selon son analyse et sa politique d’investissement, Crédit Agricole Assurances et ses filiales envisagent éventuellement de poursuivre leurs achats, mais excluent d’acquérir le contrôle de SFL.
Innate Pharma
Innate Pharma : Novo Nordisk pointe à plus de 10%. Cette société de droit danois a franchi ce seuil symbolique pour détenir 11,07% du capital et des droits de vote. Cette montée résulte de l’augmentation de capital réservée à Novo Nordisk. Le prix de souscription des 600 000 actions émises a été entièrement payé par Novo Nordisk par compensation avec une créance liquide et exigible sur Innate Pharma résultant de l’accord de licence relatif à l’anti-NKG2A. Novo Nordisk n’envisage pas d’augmenter sa participation, ni de prendre le contrôle d’Innate Pharma.
SFL
Société Foncière Lyonnaise : le Qatar s’y intéresse ! DIC Holding, contrôlée par The Amiri Diwan of the State of Qatar, a franchi en hausse le seuil de 5% du capital pour détenir 8,55% du capital et 8,64% des droits de vote de cette foncière. Au 31 mars 2014, les revenus locatifs consolidés de SFL ont diminué légèrement à 36,4 M€ contre 37,3 M€ un an plus tôt. SFL a commercialisé avec succès environ 10 000 m² de surfaces au premier trimestre 2014, dont notamment 6 000 m² de bureaux pré-commercialisés sur le 90 Champs-Elysées et 1 400 m² loués sur le Washington Plaza. Le loyer facial moyen des bureaux parisiens de ces commercialisations ressort à 675 €/m² et l’économique à 586 €/m². Le taux d’occupation physique des immeubles en exploitation est resté stable à 82,2% au 31 mars 2014.
Alcatel Lucent
Alcatel Lucent : Capital Group franchit les 10%. Cette société, agissant en qualité d’« investment adviser » pour le compte de fonds, détient désormais 10,09% du capital et 9,93% des droits de vote. L’acquisition des titres s’inscrit dans le cadre normal de son activité de société de gestion de portefeuille, précise la société basée à Los Angeles. Ajoutant qu’elle « n’agit pas de concert avec un tiers et n’a pas l’intention de prendre le contrôle d’Alcatel Lucent ».
Selectirente
Selectirente : Moneta Asset Management franchit les 5%. Cette société, agissant pour le compte de fonds dont elle assure la gestion, détient désormais 6,06% du capital et des droits de vote de cette foncière. Moneta Asset Management détient également 19 050 obligations convertibles ou échangeables en actions nouvelles ou existantes (Océanes) exerçables à tout moment jusqu’au 1er janvier 2020. Au 31 décembre 2013, l’actif net réévalué par action de Selectirente qui découle des expertises ressort à 77,58 € droits inclus, soit une hausse de 7,1%. L’actif net réévalué par action hors droits ressort à 69,84 €, en progression de 6,7% sur un an.
Belvédère
Belvédère : KKR pointe à 8,58%. La célèbre société d’investissement américaine vient de franchir le seuil de 5% et détient plus de 2,2 millions d’actions du groupe de spiritueux. Ce franchissement résulte de l’agrégation des participations gérées par les sociétés Echo Holdings L.P. et Avoca Capital Holdings (toutes deux contrôlées au plus haut niveau par la société KKR & Co. L.P.), lesquelles étaient préalablement désagrégées en vertu des dispositions du II de l’article L. 233-9 du code de commerce.
Theradiag
Theradiag très entouré sur Alternext. En cinq séances, la société spécialisée dans le diagnostic in vitro et le théranostic a gagné 21,2%, à 7,03 euros (+ 102% depuis le 1er janvier), dans un volume d’échange représentant 15% du capital. Theradiag a annoncé aujourd’hui avoir été sélectionné comme partenaire d’Abirisk, le premier consortium pharmaceutique et académique dédié au monitoring des biothérapies. Ce consortium va étudier les risques liés à l’immunogénicité des traitements innovants avec les tests Lisa-Tracker de Theradiag. Avant d’être sélectionnée, Theradiag a procédé à plus de 5 000 analyses dans le cadre de tests de validation afin de répondre aux critères de fiabilité et de sensibilité. Une bonne nouvelle pour le premier actionnaire de Theradiag, Truffle Capital, qui détient un peu plus de 40% du capital.
Orapi
Orapi : CM-CIC pointe à près de 25%. CM-CIC Investissement a franchi en hausse différents seuils pour détenir 23,34% du capital et 17,64% des droits de vote du leader français de l’hygiène professionnelle. Ce franchissement résulte d’une acquisition d’actions, préalablement détenues par la Financière MG3F, qui s’inscrit dans le cadre d’une réduction de capital de cette société. CM-CIC Investissement n’envisage pas d’accroître sa participation, ni de prendre le contrôle de la société Orapi.
BCP
Banque Centrale Populaire : la CIMR pointe à 5%. Le Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) précise que la Caisse Interprofessionnelle Marocaine de Retraites a acquis 50 000 actions BCP, au cours unitaire de 192 dirhams, soit un peu plus de 5% du capital. Dans les douze mois qui suivent ce franchissement de seuil, la CIMR envisage de poursuivre ses achats sur la valeur BCP.
Mauna Kea
Mauna Kea Technologies très entouré. A midi, la valeur gagnait près de 22%, à 13,71 euros, dans un volume d’échange représentant 3% du capital. Ce leader dans le domaine de la biopsie optique a obtenu l’autorisation réglementaire 510(k) de la Food & Drug Administration (FDA) pour l’utilisation du Cellvizio en urologie. La biopsie optique par Cellvizio peut désormais être utilisée aux Etats-Unis pour une série d’applications en urologie, notamment pour l’imagerie de la vessie durant les procédures de cystoscopie ainsi que des uretères, dans lesquels les biopsies traditionnelles sont très difficiles à réaliser et manquent d’efficacité.
Les États-Unis représentent l’un des principaux marchés mondiaux pour les procédures d’urologie, rappelle Mauna Kea Technologies. Le cancer de la vessie est la cinquième forme de cancer la plus courante. D’après les estimations du National Cancer Institute pour 2013 aux Etats-Unis, 500 000 personnes vivraient avec le cancer de la vessie, pour 72 570 nouveaux cas, la maladie ayant été la cause de 15 210 décès. En 2011, le marché américain du matériel médical dédié à l’urologie représentait 4,4 milliards de dollars, représentant 57% du marché mondial.
PCAS
PCAS : Michel Baulé pointe à 22,72%. Par l’intermédiaire de son holding Eximium, cet entrepreneur a même franchi le seuil de 25% des droits de vote. Michel Baulé précise à l’AMF qu’il entend poursuivre éventuellement ses achats en fonction des conditions du marché, mais n’envisage pas de prendre le contrôle de la société. Le 20 février, PCAS a annoncé un chiffre d’affaires consolidé 2013 en recul de 3,6 %. Néanmoins, le résultat net est ressorti à 3,5 millions d’euros contre 3 millions d’euros un an plus tôt. Selon PCAS, « Les mesures d’amélioration de la productivité ainsi que les efforts commerciaux […] devraient permettre d’améliorer les performances économiques du groupe en 2014 ». Prochain rendez-vous : l’assemblée générale des actionnaires, qui se tiendra le 23 avril 2014, à Longjumeau.
Montaigne Fashion Group
Montaigne Fashion Group (MFG) : Philippe Gellman se renforce. Ce « serial entrepreneur », comme il se désigne lui-même, vient de franchir le seuil de 5% pour détenir 9,96% du capital et 9,70% des droits de vote de cette enseigne de vêtements haut de gamme pour femmes. La Financière du Phœnix qu’il contrôle a acquis hors marché 7 000 000 actions MFG auprès de la société Jekiti Mar Capital et a signé une promesse de vente portant sur 7 300 000 actions.
Egide
Egide : Sopalia Compagnie Financière se renforce. Cette société holding, contrôlée par M. François de Suarez d’Aulan, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,74% du capital et 5,69% des droits de vote du spécialiste du boîtier hermétique pour composants électroniques.
Cibox Interactive
Cibox Interactive : Pierre Fournier se renforce. Cet investisseur a franchi en hausse différents seuils pour détenir désormais 10,29% du capital et des droits de vote de ce spécialiste des périphériques informatiques. Le 18 février, la société a annoncé un chiffre d’affaires de 5 822 K€ pour le quatrième trimestre 2013, en hausse de 35% sur la même période de l’année précédente. Au total, le chiffre d’affaires annuel 2013 affiche ainsi une progression de 10%, à 14,8 millions.
PCAS
PCAS : Nactis Flavours renforce ses positions. Cette société, contrôlée à 93,18% par Hervé Lecesne, a franchi en hausse, indirectement par l’intermédiaire de la société Nactis SAS qu’elle contrôle, le seuil de 5 % pour détenir 5,13% du capital et 4,14% des droits de vote. Le 6 février, PCAS a annoncé un chiffre d’affaires en recul de 3,6% en 2013, à 164,9 millions d’euros, compte tenu d’un sensible retrait des ventes au 4e trimestre. En conséquence, le résultat opérationnel courant 2013 s’inscrira en retrait par rapport à l’année 2012, mais le résultat net devrait être supérieur à celui de l’année 2012. Tous ces chiffres seront dévoilés jeudi 20 février.
Oeneo
Oeneo : la Financière de l’Echiquier se renforce. La société, agissant pour le compte de fonds dont elle assure la gestion, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,02% du capital et des droits de vote du fabricant de tonneaux et de bouchons (ex-Sabaté Diosos). A l’issue de son OPA cet été, Andromède, holding de la famille Hériard Dubreuil, qui contrôle Rémy Cointreau, avait porté son contrôle de 37,92% à 52,22% du capital. Pour mémoire, Andromède offrait 3,20 euros par action Oeneo, soit une prime de 21,9% sur la moyenne pondérée des 3 derniers mois.
Nanobiotix
Nanobiotix très entourée sur Nyse Euronext. En deux séances, près de 40% du capital de cette pionnière en nanomédecine a changé de mains, permettant au titre de s’envoler de 193%, à 22,80 euros ! A l’origine de cette flambée, l’annonce d’une nouvelle avancée clinique dans son essai sur le sarcome des tissus mous (tumeurs malignes). Le comité d’experts indépendants a fait une évaluation très positive des dernières données issues de la phase pilote. NBTXR3, le produit de Nanobiotix, démontre un profil de tolérance très bon, peu fréquent en oncologie. Aussi il pourrait faire l’objet d’un marquage CE dès 2016, ce qui constitue une perspective anticipée au regard de l’estimation initiale de la société, qui visait une mise sur le marché en 2017.
Par ailleurs, Nanobiotix poursuit sa stratégie de partenariats pour le développement et l’accès au marché de NBTXR3 en dehors de l’Europe. En Asie, la société a déjà conclu un premier partenariat d’un montant maximum de 57 millions de dollars avec la société taïwanaise PharmaEngine. Le programme devrait démarrer au second trimestre 2014 avec deux indications, le cancer rectal et le cancer de la bouche, localement avancés. Pour son développement aux États-Unis, comme annoncé dès l’introduction en Bourse, Nanobiotix estime qu’avant la fin de l’année 2014, elle pourrait démarrer un partenariat avec un acteur pharmaceutique afin d’assurer le développement et la commercialisation de NBTXR3.
Innate Pharma
Innate Pharma très entourée. En une seule séance, plus de 17% du capital a changé de mains, permettant au titre de s’envoler de 31,8%, à 10,12 €, soit une hausse de 104% depuis le début de l’année ! A la mi-janvier, Fidelity et Wellington Management Company avaient franchi respectivement en hausse les seuils de 5% et 10% du capital. Aujourd’hui, c’est Goldman Sachs qui a tiré le marché avec une recommandation d’achat et un objectif de cours de 18 euros à douze mois, en raison notamment du potentiel de l’anticorps Lirilumab, licencié à Bristol-Myers Squibb.
Trigano
JP Morgan Asset Management monte dans le capital de Trigano. Cette société de gestion, qui agit pour le compte de clients sous mandat, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,03% du capital et 3,24% des droits de vote du spécialiste des véhicules de loisirs. Pour le 1er trimestre 2013/2014, qui court du 1er septembre au 30 novembre 2013, la société a annoncé récemment un chiffre d’affaires de 221,6 millions d’euros, en hausse de 21,5% (+ 2,9% à périmètre constant).
La situation financière de Trigano reste caractérisée par des fonds propres importants (356 millions d’euros au 31 août 2013) et un faible niveau d’endettement. Pour 2014, la société rendre l’entreprise plus compétitive. Cela va se traduire par un redimensionnement de la capacité de production et par des réductions d’effectifs des fonctions supports en particulier pour les « business units » et activités déficitaires.
Hybrigenics
Hybrigenics très entourée sur Alternext. Après Bioalliance Pharma, c’est au tour de ce groupe biopharmaceutique de flamber en Bourse dans un volume inhabituel. Qu’on en juge : la valeur gagne 25,4%, à 2,10 euros, à mi-séance, avec près du quart du capital échangé. A l’origine de cette envolée subite, l’annonce par la société de la décision de la Commission Européenne de désigner l’inécalcitol comme médicament orphelin pour le traitement de la leucémie lymphoïde chronique (LLC), confirmant ainsi l’opinion favorable émise par le Comité des Médicaments Orphelins de l’Agence Européenne du Médicament.
Le bénéfice clinique doit maintenant être significativement démontré lors de la phase suivante du développement de l’inécalcitol dans la LLC. Le statut de médicament orphelin donne accès à la procédure d’assistance par le Comité des Médicaments Orphelins pour la conception concertée du protocole de la future étude clinique de Phase III. Ce statut garantit également à Hybrigenics 10 années d’exclusivité en cas de commercialisation sur les marchés pharmaceutiques de l’Union Européenne.
Le Noble Age
Jousse Morillon Investissement monte dans le capital du Noble Age. Par une acquisition hors marché, cette société de gestion a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 9,86% du capital et 6,07% des droits de vote de ce spécialiste des résidences médicalisées. En novembre dernier, Le Noble Age a annoncé un chiffre d’affaires en hausse de 27,1%, à 240,6 millions d’euros, sur les neuf premiers mois de l’année 2013. Prochain rendez-vous, le 11 février, pour le chiffre d’affaires annuel.
Bioalliance Pharma
Bioalliance Pharma très entourée. En deux séances, plus de 40% du capital de ce laboratoire dédié aux produits orphelins en cancérologie a changé de mains, permettant au titre de s’envoler de 23,6%, à 6,80 € (+ 36,8% en cinq séances). A l’origine de cette flambée, le fait que la Food and Drug Administration (FDA), l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, a accordé le statut « Fast Track » au produit Validive dans la prévention et le traitement de la mucite orale, pathologie très invalidante induite par la radiothérapie ou la chimiothérapie.
« En conférant ce statut, la FDA confirme la sévérité de la mucite orale, le besoin d’un traitement efficace et le potentiel de Validive à répondre à ce besoin », explique Bioalliance Pharma. « L’obtention de ce statut est un élément clé pour le développement de Validive qui permettra d’optimiser les discussions et les délais d’évaluation par la FDA alors que nous finalisons en ce moment même notre étude clinique internationale de phase II. Validive est le deuxième produit le plus avancé de notre programme de produits orphelins en oncologie, moteur de croissance de la société dont le potentiel de ventes est estimé entre 200 et 400 millions d’euros ».
Store Electronic
Tikehau Capital Partners renforce sa position dans Store Electronics System. Cette société d’investissement a franchi en hausse les seuils de 15% du capital et des droits de vote du leader des systèmes d’étiquetage électronique de gondole destinés à la grande distribution. Tikehau n’a pas l’intention de prendre le contrôle de la société, mais envisage de poursuivre ses achats, en fonction des opportunités de marché. Le 13 janvier, SES a annoncé un chiffre d’affaires 2013 de 82,5 M€ en croissance de 31% et table pour 2014 sur la poursuite de la dynamique de croissance du chiffre d’affaires et du résultat opérationnel. Les résultats annuels seront annoncés le 19 mars. A mi-séance, la valeur gagne 1%, à 15,36 euros, en hausse de 25,8% sur 3 mois.
Innate Pharma 2
Innate Pharma suscite l’appétit.Après Fidelity, qui détient désormais 6,04% du capital de cette société biopharmaceutique, c’est au tour de Wellington Management Company de franchir le seuil de 10%. Cette société de Boston, qui agit pour le compte de clients dont elle assure la gestion, détient 10,08% du capital et des droits de vote. Wellington Management Company précise toutefois qu’elle n’agit pas de concert avec un tiers et n’a pas l’intention de prendre le contrôle d’Innate Pharma. A 15 heures, la valeur gagne 4,37%, à 9,08%, en hausse de 83% depuis le 1er janvier.
Innate Pharma
Fidelity renforce sa position dans Innate Pharma. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5 %. Il détient désormais 6,04% du capital et des droits de vote de cette société biopharmaceutique développant des médicaments d’immunothérapie innovants pour le traitement du cancer et des maladies inflammatoires. En novembre, Innate Pharma a levé 20,3 millions d’euros dans le cadre d’un placement privé effectué auprès d’investissements américains. 7,6 millions de nouvelles actions ont été souscrites au prix de 2,67 euros par action. Aujourd’hui, le titre fait l’objet de prises de bénéfices, à… 8 euros, soit un quasi-triplement des cours depuis cette opération.
Colocal Group
Goldman Sachs se renforce dans Solocal Group (ex Pages Jaunes). La banque d’investissement, par l’intermédiaire de Goldman Sachs International et Goldman Sachs & Co, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,15% du capital et 4,55% des droits de vote du numéro un de la communication locale. Pour 2013, le Groupe a abaissé légèrement ses objectifs : chiffre d’affaires attendu autour de 1 milliard d’euros et marge brute opérationnelle attendue autour de 420 millions. Néanmoins, Solocal a confirmé sa priorité à la réduction du niveau d’endettement. 2014 sera une année de profonds changements avec l’accélération de la transformation digitale et des investissements, en particulier dans le domaine commercial. Dans ce contexte et compte tenu d’un environnement économique incertain, les perspectives attendues pour 2014 sont : décroissance du chiffre d’affaires entre -3% et -6%, marge brute opérationnelle normalisée attendue entre 355 millions et 375 millions d’euros. En matinée, le titre restait stable à 1,13 euros, mais en hausse de 3,7% sur cinq séances.
Bourbon
La Financière de l’Echiquier se renforce dans Bourbon. La société, agissant pour le compte de fonds dont elle assure la gestion, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,02% du capital et des droits de vote du groupe spécialisé dans les prestations de services pétroliers offshore. A mi-séance, le titre était bien orienté, avec un gain de 1,9%, à 20,28 euros.
Mauna Kea
The Capital Group monte dans Mauna Kea Technologies. Cette société de gestion basée à Los Angeles, qui agit en tant qu’« investment adviser », a franchi le seuil de 5% pour détenir désormais 6,42% du capital et 4,81% des droits de vote de ce leader dans le domaine de la biopsie optique. Le 13 juin, la société a annoncé la signature d’un partenariat de distribution exclusif pour le Cellvizio au Japon avec Amco pour une durée de 5 ans. « Cet accord constitue le franchissement d’une étape clé vers l’obtention de l’autorisation de commercialisation sur le deuxième marché le plus important au monde en dispositifs endoscopiques, après les Etats-Unis », avait souligné Mauna Kea. La valeur s’adjuge aujourd’hui 1,3%, à 9,19 euros.
Rubis
La Société Générale achète des actions Rubis en Bourse. La banque au logo rouge et noir a franchi le seuil de 5% pour détenir 5,13% du capital de cet opérateur indépendant spécialisé dans l’aval pétrolier et chimique. A mi-mai, Rubis a annoncé un chiffre d’affaires de 787 millions d’euros pour le 1er trimestre 2013, en hausse de 13,4 %. « Globalement, la période a été marquée par des effets climatiques erratiques en Europe et des contraintes d’approvisionnement dans la zone Caraïbes. Par ailleurs, le reflux prononcé des prix d’approvisionnement (propane : – 14 %), a généré une configuration de rentabilité favorable », expliquait le groupe. Prochain rendez-vous : l’assemblée générale mixte, qui se tiendra le 7 juin 2013. A 46,95 euros, l’action s’effrite quelque peu (-0,3%), soit un recul de 9,38% depuis le début de l’année.
Altran
Harris Associates L.P. achète des titres Altran en Bourse. Cette société de gestion américaine, domiciliée à Chicago, et contrôlée par Natixis, a franchi en hausse le seuil de 5% de ce leader mondial du conseil en innovation et ingénierie avancée. Lors de l’assemblée générale du 28 juin 2013, le conseil d’administration va proposer le versement d’un dividende de 9 centimes d’euro par action. Ce versement sera prélevé sur le compte « primes d’émission » figurant au bilan de la société au 31 décembre 2012. A mi-séance, l’action est stable à 5,89 euros, en hausse de 2,4% sur l’année.
Riber
Jacques Kielwasser achète des titres Riber en Bourse. Cet entrepreneur a franchi directement et indirectement, par l’intermédiaire de la société Ormylia qu’il contrôle, le seuil de 15% des titres de ce fabricant de machines d’épitaxie par jets moléculaires. Il devient ainsi le deuxième actionnaire devant ISA (Noël Goutard), qui contrôle 28,6% du capital. Jacques Kielwasser envisage d’acquérir d’autres actions, limitées à des quantités non significatives, en fonction des opportunités de marché, mais n’envisage pas de prendre le contrôle de la société. A 2,99 euros, à mi-séance, l’action Riber affiche un gain de 7,2% depuis le début de l’année.
Arkema
Fidelity Investments achète des titres Arkema en Bourse. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,37% capital du groupe chimique. Fidelity reste de peu le premier actionnaire devant Greenlight Capital (5,3%) et les salariés (4,9%). Au 1er trimestre 2013, le résultat net courant a baissé de 21,1%, à 97 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires de 1 563 millions (-3,7%). Prochain rendez-vous, le 4 juin, avec l’assemblée générale des actionnaires, au Palais des Congrès de Paris. En attendant, la valeur reste stable, à 78,6 euros, sur la séance comme depuis le début de l’année.
Ipsos
Fidelity Investments achète des titres Ipsos en Bourse. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5% du capital de la société d’études internationales. Fidelity reste toutefois le deuxième actionnaire loin derrière LT Participations, holding des fondateurs d’Ipsos (Jean-Marc Lech et Didier Truchot), qui détient 26,17% du capital et 37,52% des droits de vote. Prochain rendez-vous, le 24 juillet après Bourse, avec la publication des résultats du 1er semestre 2013. En attendant, la valeur progresse de 0,7% à mi-séance, à 28,26 euros, en quasi-stabilité depuis le début de l’année.
Alten
International Value Advisers achète des titres Alten en Bourse. Cette société américaine domiciliée à New York, qui agit pour le compte de clients et de fonds sous gestion, a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,18% du capital du leader européen de l’ingénierie et du conseil en technologies. IVA conforte sa position d’actionnaire de référence derrière le PDG d’Alten, Simon Azoulay (24,85%, hors la participation détenue par le holding SGTI qu’il contrôle) et Fidelity (5,98%). Prochain rendez-vous : l’assemblée générale prévue pour le 19 juin. En attendant, la valeur reste stable, à 28,93 euros, en avance de 10,6% depuis le début de l’année.