Archives pour la catégorie Paroles de Pros

Les positions de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées, etc.). Quelques mouvements ont été réalisés au cours du mois de décembre. « Nous avons réduit notre position sur Latécoère (malgré l’avertissement sur les résultats pour l’exercice 2019, nous restons confiants quant à la capacité du groupe à poursuivre son redressement, même si ce dernier risque d’être décalé dans le temps), expliquent les gérants dans leur reporting mensuel. Par ailleurs, nous avons soldé deux positions : DIA (environnement de la distribution alimentaire déflationniste en Espagne combinée à une structure financière très tendue) et Tom Tailor (le redressement est loin d’être acquis et la vente de Bonita, société largement déficitaire, n’est toujours pas réalisée) ». Au 31 décembre 2018, Talence Situations Spéciales est investi à hauteur de 92,1% en actions avec 35 valeurs en portefeuille. Principales positions : Coface (4,7%), Danieli (4,4%), Carrefour (4,2%), Axa (4%) et Tele2 (3,96%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, s’est replié de 7,7% en décembre. « Au cours du mois écoulé, nous avons vendu l’intégralité de la position en Natixis suite à l’avertissement sur ses revenus générés en Asie provoqué par des produits dérivés. Accor a fait l’objet d’un allègement en raison de la dégradation de la conjoncture en France au quatrième trimestre, pays contributeur à hauteur de 22% au résultat opération­nel du groupe. Notre investissement en Altran a été renforcé dans la baisse excessive du titre », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Nous entamons l’année 2019 avec un portefeuille investi à hauteur de 93%. La vigilance reste de mise dans cet environnement de marché marqué par une forte aversion au risque comme le prouve la prime de risque actions qui avoisine 7,5%, niveau le plus élevé depuis mi-2012 ». Principales lignes à fin décembre 2018 : Elior Group (4,9%), Orange (4,7%), Publicis Groupe (4,6%), Carrefour (4,4%), NRJ Group (4,2%) et Fnac Darty (4,1%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Alexandre Voisin et Michel Saugné, affiche toujours un retard sur l’indice CAC 40 dividendes nets réinvestis depuis le début de l’année. Aucun mouvement d’achat ou de renforcement de position n’a été effectué en novembre. Le fonds a cédé sa ligne X-Fab « dans un contexte de forte dégradation de l’activité, partiellement due à la faiblesse de sa société sœur Melexis, dans la lignée des problèmes rencontrés chez tous les équipementiers automobiles », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. De même, Odyssée C a vendu l’essentiel de sa position en Vallourec « dans la perspective d’une publication à risque qui a eu lieu le 15 novembre après Bourse. Le consensus nous paraissait effectivement beaucoup trop ambitieux ». Au 30 novembre 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Sanofi (3,83%), Natixis (3,78%), Korian (3,70%), Alstom (3,50%) et Rémy Cointreau (3,45%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En novembre, le fonds n’a pas pris de nouvelles positions, mais s’est renforcé sur Daimler. A l’inverse, il a vendu ses titres Ceconomy et allégé ses positions sur Koninklijke DSM et Chocoladefabriken Lindt. Au 30 novembre 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Meggitt (4,1%), Qiagen (4,04%), Aéroports de Paris (4,02%), Smith & Nephew (4%) et Bouygues (3,88%).

Les positions de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées, etc.). Plusieurs mouvements ont été réalisés au cours du mois de novembre. « Nous avons réduit notre exposition sur Vallourec (nous restons confiants sur le redressement de la société, mais ce dernier pourrait prendre plus de temps qu’anticipé) et sur Air France-KLM (prise de bénéfices partielle après la réaction positive liée à la reprise du dialogue entre les salariés et la direction), expliquent les gérants dans leur reporting mensuel. Enfin, nous nous sommes renforcés en Ipsos et CGG ». Au 30 novembre 2018, Talence Situations Spéciales est investi à hauteur de 92,3% en actions avec 37 valeurs en portefeuille. Principales positions : Coface (4,3%), Axa (4%), Carrefour (4%), Danieli (3,7%) et LafargeHolcim (3,6%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, s’est replié de 2,5% en novembre. « Parmi les meilleures contributions mensuelles figurent des dossiers ayant retrouvé des couleurs après un parcours difficile depuis le début de l’année (Nexans, Vilmorin) ou bien des sociétés à caractère défensif telles qu’Orange et Veolia. Les replis de Vallourec et Solocal expliquent à eux seuls 70% de la baisse mensuelle du fonds», expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « La probabilité d’une augmentation de capital suite à la dégradation des résultats au troisième trimestre et des perspectives prudentes pour la fin de l’année nous ont incités à céder Vallourec, tandis que l’exposition en Solocal a été allégée en raison d’une période de transition plus longue et difficile que prévue ». Principales lignes à fin novembre 2018 : Orange (4,6%), Elior Group (4,5%), Publicis Groupe (4,4%), Carrefour (4,3%), Fnac Darty (4%) et NRJ Group (3,9%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Alexandre Voisin et Michel Saugné, affiche toujours un retard sur l’indice CAC 40 dividendes nets réinvestis depuis le début de l’année, après deux mois d’été difficiles. « La part significative des liquidités au premier semestre, l’allocation sectorielle (absence de luxe et de pétrole et sous-pondération en aéronautique), et surtout des déceptions inhabituelles qui se sont cumulées (Nexans, Derichebourg, Fnac Darty, Altran, Sopra) ont pesé sur la performance du fonds depuis le début de l’année », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Parmi les principales transactions réalisées en octobre, on note les achats de Total, Sanofi et LVMH et les ventes de Renault, Vallourec et Rexel. Au 31 octobre 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Natixis (3,84%), Sanofi (3,63%), Korian (3,62%), Imerys (3,53%), Total (3,40%), Rémy Cointreau (3,40%) et Alstom (3,35%).

Les positions de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées, etc.). En octobre, « plusieurs de nos titres ont profité de publications trimestrielles rassurantes (Coface, Altran Technologies, Technicolor et Casino). En revanche, certains titres ont réagi négativement : DIA (nouveau profit warning et dégradation de la structure financière), Danieli (résultats décevants). Enfin, Vallourec a baissé  sensiblement en raison d’un recul marqué du prix du baril sur le mois d’octobre », expliquent les gérants dans leur reporting mensuel. « Peu de mouvements ont été réalisés au cours du mois d’octobre. On notera néanmoins le renforcement de notre position en Ipsos (valorisation excessivement basse). Nous avons soldé notre position en Hapag-Lloyd après un beau parcours et réduit notre exposition en Repsol et Vallourec ». Au 31 octobre 2018, les principales positions de Talence Situations Spéciales étaient les suivantes : Vallourec (5%), Coface (4,4%), Carrefour (4,1%), Axa (3,9%) et Danieli (3,7%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a été affecté en octobre par une forte volatilité des marchés. « Les mouvements à l’achat ont concerné aussi bien les positions récemment initiées en vue d’atteindre leur pondération cible (Spie, Altran) que les lignes déjà constituées mais dont la baisse nous semble excessive (Fnac Darty, Solocal) », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Du côté des ventes, notons Telecom Italia, cédée en raison de la multiplication des risques (gouvernance compliquée, concurrence accrue, impact négatif des prix payés pour les fréquences 5G sur la rentabilité). Casino, dossier attaqué par les vendeurs à découvert, a été allégé ». Principales lignes du portefeuille à fin octobre 2018 : Carrefour (4,6%), Elior Group (4,2%), Publicis Groupe (4,2%), Orange (4,1%), Fnac Darty (4,1%) et NRJ Group (4%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Alexandre Voisin et Michel Saugné, affiche toujours un retard sur l’indice CAC 40 dividendes nets réinvestis depuis le début de l’année, après deux mois d’été difficiles. Le fonds détient Eurocommercial Properties en portefeuille. « Au-delà d’un souci de diversification des positions, cette foncière nous apparaît comme une cible potentielle. La valorisation du titre est en effet attractive avec une décote de plus de 30% par rapport à son actif net réévalué. Par ailleurs, la fin du dispositif de « poison pill » à l’initiative du fondateur ouvre la voie d’une vente de plus en plus probable de la société par le fondateur Jeremy Lewis, notamment pour une question d’âge », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Nous avons par ailleurs renforcé Maire Tecnimont (ingénierie pétrochimique) initié le mois précédent et Spie (services techniques aux entreprises) dont la valorisation est redevenue très attractive au regard de la résilience du modèle d’entreprise ». Au 28 septembre 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Imerys (4,21%), Renault (4,02%), Arkema (3,81%), Natixis (3,70%) et Vallourec (3,51%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En septembre, le fonds s’est renforcé sur Covestro et WPP. A l’inverse, il a vendu ses titres Rémy Cointreau et Sage Group et allégé ses positions sur Telecom Italia, Generali et Unicredit. Au 28 septembre 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Meggitt (4,4%), Stora Enso (4,3%), Aéroports de Paris (4%), Philips (3,8%) et Thyssenkrupp (3,7%).

Les positions de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées, etc.). En septembre, le fonds s’est avancé de 0,57% contre une baisse de 0,23% pour son indice de référence. « Deux sociétés ont fait leur entrée : Ipsos qui dispose […] de bons fondamentaux, de multiples de valorisation raisonnables et d’un environnement spéculatif grandissant (nombreuses rumeurs sur des transactions potentielles dans le secteur) », comme l’expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Ainsi qu’Altran, qui a perdu près de 40% (annonce de la découverte de commandes fictives chez Aricent et publication semestrielle décevante). Malgré ce newsflow court terme défavorable, nous considérons que la décote affichée avec ses principaux concurrents est devenue très excessive et constitue un bon point d’entrée ». Au 30 septembre 2018, les principales positions de Talence Situations Spéciales étaient les suivantes : Vallourec (6,6%), Danieli (4,1%), Repsol (3,9%), Axa (3,8%) et Credito Valtellinese (3,8%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, s’est avancé de 0,63% en septembre. « Au cours du mois, nous avons intégré Altran en portefeuille, renforcé Fnac Darty jugeant la baisse du titre excessive alors que notre thèse d’investissement reste intacte et poursuivi la constitution de Spie », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « La position en Korian a été allégée sur ses cours objectifs, le groupe ayant publié des résultats semestriels supérieurs aux attentes et révisé à la hausse ses objectifs financiers pour 2018. Total fait également l’objet de prises de bénéfices ». Principales lignes du portefeuille à fin septembre 2018 : Elior Group (4,2%), Carrefour (4,2%), Publicis Groupe (4%), NRJ Group (4%) et Saint-Gobain (3,9%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En août, le fonds a pris position sur WPP et s’est renforcé notamment sur Covestro et Stora Enso. A l’inverse, il a vendu ses titres Intercontinental Hotels et allégé ses positions sur Bouygues et Burberry. Au 31 août 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Meggitt (4,2%), Stora Enso (4,2%), Aéroports de Paris (3,9%), Qiagen (3,9%) et Bouygues (3,9%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En août, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Alexandre Voisin et Michel Saugné, a cédé 3,7%. Parmi les principales opérations du mois, on note des achats sur le groupe d’ingénierie italien Maire Tecnimont, spécialisé dans le domaine de la chimie et la pétrochimie (« potentiel de revalorisation de 20% ») et Ipsos (« l’annonce fin juillet de l’acquisition de branches d’activités de GfK renforce ses positions concurrentielles »). A l’inverse, Tocqueville Odyssée a pris des profits sur Peugeot (« compte tenu des niveaux de valorisation qui pourraient être sensibles à tout risque de déception sur l’intégration d’Opel »). Au 31 août 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Thales (4,44%), Renault (4,10%), Arkema (3,98%), Natixis (3,74%), Imerys (3,69%), Alstom (3,54%) et Atos (3,36%).

Les positions de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées…). En août, le fonds a reculé de 3,8% contre une baisse de 2,6% de son indice de référence. « Cette sous-performance s’explique par la baisse appuyée de certains titres tels que Vallourec (malgré des résultats très encourageants), Casino (inquiétudes concernant les liquidités et l’endettement du groupe), Credito Valtellinese (le secteur bancaire italien souffrant de la situation politique), Ingenico (sur des rumeurs de lancement de systèmes de paiement concurrents) et Haulotte », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « A l’inverse, on notera le rebond de Coface (le titre ayant baissé excessivement après la publication des semestriels), Gamesa (qui remporte quelques appels d’offre), AirFrance-KLM, Hapag-Lloyd et DIA (changement de PDG et spéculation autour du capital) ». Au 31 août 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Vallourec (6,5%), Danieli (4,1%), Repsol (3,8%), Coface (3,8%), et Axa (3,6%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a cédé 4,4% en août. « Trois dossiers ont particulièrement impacté la performance du fonds. Casino a lourdement chuté après la publication de plusieurs notes d’analyse négatives et Ingenico a reculé en raison de craintes d’une concurrence d’Amazon dans le paiement mobile et sur la viabilité de son modèle économique. Telecom Italia, dont le niveau de dette est assez élevé, réagit à la hausse des taux italiens. En revanche, Tarkett fait figure d’exception et progresse sensiblement », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Parmi les mouvements opérés ce mois-ci, notons la sortie d’EDF du portefeuille, le renforcement de Tarkett suite à l’annonce de l’acquisition d’une société américaine dans le segment de la moquette, relutive sur la marge opérationnelle dès 2018, et l’initiation de Spie ». Principales lignes du portefeuille à fin août 2018 : Total (4,5%), Publicis Groupe (4,3%), NRJ Group (4,3%), Elior Group (4,2%) et Orange (3,9%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « L’activité M&A reste soutenue, avec par exemple les acquisitions de Syntel par Atos, de GAES (leader de l’aide auditive en Espagne) par Amplifon ou d’un fabricant canadien de pneus hors route par Michelin », notent les gérants dans leur rapport mensuel. « Covestro a été entré en portefeuille. En effet, depuis la sortie quasi totale de Bayer de son actionnariat, le groupe constitue une cible dans un secteur de la chimie en consolidation. La faiblesse de la valorisation liée aux inquiétudes sur les prix des polyuréthanes et des polycarbonates, ainsi que la solidité du bilan, constituent une opportunité pour un éventuel acquéreur. Nous avons par ailleurs vendu Croda International, prenant des bénéfices suite à la performance récente du titre ». Au 31 juillet 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (4,7%), Meggitt (4,4%), Aéroports de Paris (3,9%), ThyssenKrupp (3,9%) et Philips Elect. (3,6%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En juillet, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a cédé 0,81%. « Tocqueville Odyssée a connu un lot de déceptions inhabituel, parmi lesquelles un impondérable avec Altran (découverte de malversations dans sa filiale américaine fraîchement acquise) et des publications durement sanctionnées par le marché avec Coface et Sopra Steria notamment », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Parmi les principales opérations, on note des prises de profits sur Gemalto , Puma et Alstom. Au 31 juillet 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Renault (3,84%), Thales (3,79%), Peugeot (3,69%), Natixis (3,69%), Imerys (3,65%), Arkema (3,64%) et Vallourec (3,45%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a repris 2,6% en juillet. « Plusieurs belles progressions sont à remarquer : Elior (+ 13,3%) retrouve de l’intérêt après avoir atteint une valorisation historiquement basse, Carrefour (+ 10,7%) surprend positivement sur les économies de coûts réalisées et rassure quant au déroulement du plan de transformation et Vallourec (+ 8,7%) est porté par une conjoncture positive », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. « Du côté des replis, notons Ingenico (- 7,8%) qui a publié des comptes en dessous des attentes, mais table sur un retournement sur le reste de l’année et Publicis (- 7,3%) dont la croissance organique des revenus a déçu en raison d’éléments conjoncturels. Confiants dans la capacité du groupe à normaliser sa croissance nous l’avons renforcé. La ligne en Fnac Darty a été complétée et deux nouvelles positions ont été initiées : Tarkett et Guerbet. Plusieurs allègements ont été opérés : EDF et Nokia (prises de profits) ainsi que Vilmorin (crainte de déception sur les objectifs annuels) ». Principales lignes du portefeuille à fin juillet 2018 : Total (4,5%), Elior Group (4,2%), Solocal (4,1%), Publicis Groupe (4,1%) et NRJ Group (3,9%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « L’activité est restée fournie sur le front des transformations d’entreprise avec Novartis qui annonce la scission de sa filiale ophtalmologique Alcon, le fonds d’investissement américain Advent International qui rachète Zentiva, l’activité générique européenne de Sanofi, ou encore les précisions sur les cessions d’actifs de l’Etat français dans Aéroports de Paris, FDJ et Engie », notent les gérants dans leur rapport mensuel. « Sur le mois, nous avons pris quelques bénéfices sur Burberry, suite à l’excellente performance du titre depuis le début de l’année, et avons augmenté le poids de Tullow Oil en portefeuille pour renforcer le secteur de l’énergie ». Au 29 juin 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (4,7%), Stora Enso (4,1%), Aéroports de Paris (4%), Meggitt (3,9%) et ThyssenKrupp (3,6%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En juin, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a cédé 3,4%. Parmi les principales transactions, on note les achats d’Iliad et Spie et les ventes de Société Générale, Nexans et Innogy. Au 29 juin 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Alstom (3,66%), Arkema (2,96%), Gemalto (2,96%), Imerys (2,92%), Thales (2,86%), Faurecia (2,84%) et Sopra (2,83%).

Les arbitrages de Talence Situations Spéciales. Ce fonds, co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, est positionné sur la thématique des situations spéciales (restructurations, opérations de fusions/acquisitions, valeurs stressées…). En juin, « nous avons profité de la volatilité des marchés pour nous renforcer sur certains titres tels que Axa, Carrefour, Elior et Tom Tailor. A l’inverse, nous avons soldé Safilo, considérant que la dégradation de la structure financière devenait préoccupante, expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Par ailleurs, nous avons diminué les pondérations de certaines de nos positions telles que Applus, Hapag-Lloyd, Ingenico, Latécoère et Salvatore Ferragamo ». Au 29 juin 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Vallourec (6,6%), Coface (4,4%), Danieli (4%), Repsol (3,8%) et Sonae (3,7%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a cédé 3,31% en juin. « L’absence de cohésion en Europe sur nombre de sujets fait renaître les craintes sur la pérennité de la zone et fragilise sévèrement le secteur financier, renforcé au sein du portefeuille à 9,1%, expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Les tensions persistantes entre les États-Unis et la Chine perturbent encore les secteurs concernés par la guerre commerciale latente ; la position en Renault est ainsi complétée. Toujours dans la tourmente qui sévit au Brésil, Carrefour et Casino marquent un nouveau repli. Fnac Darty est initié dans le fonds, tandis que Nexans et Elior Group se voient sanctionnés pour leur actualité ». Principales lignes du portefeuille à fin juin 2018 : Saint-Gobain (4,3%), Total (4,3%), Nokia (4,1%), Solocal (4,1%), Esso (4%) et Orange (4%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP actions avec une thématique « opérations financières » (restructurations, rachats de minoritaires, sociétés opéables, etc.), géré par Chicuong Dang, s’est avancé de 0,27% en mai. « Sur le front des arbitrages, nous avons allégé la position en Telenet étant donné la dégradation de la visibilité lié aux changements réglementaires en Belgique. Galp, Hermès et Rotork ont été allégés pour motif de valorisation suite à leur beau parcours. Enfin, la position dans le cimentier Heidelberg a été soldé en raison des résultats T1 décevants et une volonté de limiter notre exposition aux émergents dans le contexte actuel », explique le gérant dans son rapport mensuel. « Ces ventes ont financé les renforcements dans Continental, Deutsche Post avec la volonté de renforcer l’Allemagne. Nous avons aussi initié une position dans le conglomérat ThyssenKrupp suite à l’entrée d’Elliott ». Principales lignes à fin mai 2018 : Beiersdorf (4,63%), Smith & Nephew (4,28%), Novartis (3,74%), Galp Energia (3,74%) et Accor (3,67%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En mai, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a cédé 1,96%. « La volatilité est revenue sur les marchés boursiers européens, au mois de mai, en raison des évènements politiques en Italie et de leurs impacts sur les marchés de taux et de devises. Les tensions commerciales entre les Etats-Unis et le reste du monde n’ont pas aidé. La disparité des variations sectorielles et par taille de capitalisations boursières est aussi à souligner et a encore pesé sur la performance du fonds, expliquent les gérants dans leur rapport. Cela nous a conduits à alléger certaines positions (Esso, Partouche, Pierre et Vacances, Manitou, Haulotte, Coface, Catana…) au profit de valeurs plus grosses et au momentum plus favorable ». Parmi les principales transactions, on note les achats d’Iliad et de Spie. Au 31 mai 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Faurecia (3,61%), Alstom (3,54%), Fnac Darty (3,29%), Imerys (2,89%) et Arkema (2,86%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « La volatilité s’est fortement accrue sur les marchés en mai, portée par le retour du risque politique en zone euro […] Par ailleurs, la thématique de guerre commerciale refait surface », notent les gérants dans leur rapport mensuel. En mai, « le fonds a augmenté sur le mois la part de cash du portefeuille, prenant des bénéfices sur ADP, Smiths Group et Philips, allégeant Rémy Cointreau et Burberry pour des raisons de valorisation et réduisant la position sur United Utilities compte tenu d’un scénario M&A moins probable ». Au 31 mai 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (4,9%), Stora Enso (4,2%), Meggitt (3,8%), ThyssenKrupp (3,8%) et Aéroports de Paris (3,6%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a cédé 3,47% en mai. « La crise politique italienne et les différentes menaces en provenance des Etats-Unis renversent la tendance favorable des marchés, expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. A cela s’ajoutent des publications de résultats en demi-teinte qui ont pesé sur la performance mensuelle du fonds, à l’image de celle d’Elior Group. Nous défendons la position en la renforçant. Total et Vallourec sont écrêtés sur leurs récents plus hauts, ainsi que Vivendi avant la divulgation de ses chiffres trimestriels ». Principales lignes du portefeuille à fin mai 2018 : Saint-Gobain (4,3%), Total (4,2%), Esso (4,1%), Nokia (3,9%), Orange (3,9%), Elior Group (3,9%) et Solocal (3,8%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP actions avec une thématique « opérations financières » (restructurations, rachats de minoritaires, sociétés opéables, etc.), géré par Chicuong Dang, a gagné 3,43% au mois d’avril. « Plusieurs sociétés nous ont agréablement surpris. Kering [renforcé en mars] continue de surprendre et battre les estimations les plus optimistes grâce à Gucci. Il ne semble pas y avoir d’inflexion sur l’opérationnel, nous conservons la position. A l’inverse, L’Oréal a publié un excellent chiffre d’affaires mais nous allégeons pour des raisons de valorisation, lui préférant Beiersdorf », explique le gérant dans son rapport mensuel.

« Malheureusement, cette saison de publication a encore été entachée par des déceptions à l’image de Telenet (télécom), Novartis ou encore Reckitt Benckiser. Seule la ligne en Reckitt a été soldée car la division Santé n’est plus le moteur de performance alors que le contexte lui était pourtant favorable (épidémies de grippe notamment) ». Enfin, « l’anomalie de valorisation que nous soulignions chez Shire a enfin été remarquée par le géant japonais Takeda. […] Etant donné la complexité de l’opération, nous avons écrêté la position au cours du mois ». Principales lignes à fin avril 2018 : Beiersdorf (4,39%), Smith & Nephew (4,34%), Galp Energia (4,09%), Novartis (3,75%) et Accor (3,65%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Les effets de surprise économiques visibles depuis plusieurs trimestres se sont épuisés, sans pour autant basculer dans une dégradation des conditions économiques globales : les indicateurs d’activité cessent de s’améliorer tout en restant sur des niveaux élevés », notent les gérants dans leur rapport mensuel. En avril, le fonds n’a pas pris de nouvelles positions, mais a soldé ses titres GKN et a allégé ses positions sur Nokia, Stora Enso, Bouygues Telecom Italia et Aéroports de Paris. Au 30 avril 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5%), Aéroports de Paris (4%), Stora Enso (3,8%), Philips (3,7%) et Generali (3,6%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En avril, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 2,28%. Parmi les principales transactions réalisées, on note les achats de Catana et Korian et les ventes de Pierre & Vacances, Altran Technologies (DPS) et Burelle. Au 30 avril 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,31%), Faurecia (3,26%), Alstom (3,18%), Coface (2,93%), Arkema (2,87%) et Renault (2,82%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a terminé le mois d’avril avec un gain de 4,1%. Le fonds a procédé à « des interventions sur Elior Group, Saint-Gobain et Solocal en vue de compléter les positions, précisent les gérants dans leur rapport mensuel. Total est allégé en amont de ses résultats trimestriels, en raison de sa forte pondération dans le fonds et de la prime historique de sa valorisation. La position en Vilmorin est également réduite ». Principales lignes du portefeuille à fin avril 2018 : Total (4,5%), Vallourec (4,4%), Saint-Gobain (4,2%), Carrefour (4%), Orange (4%), Nexans (3,9%) et Esso (3,9%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP actions avec une thématique « opérations financières » (restructurations, rachats de minoritaires, sociétés opéables, etc.), géré par Chicuong Dang, colle peu ou prou à son indice de référence depuis le début d’année. « En termes de mouvements, l’opérateur des maisons de retraite Korian rejoint le portefeuille. Korian présente une décote de valorisation très importante par rapport à Orpea, laquelle aura vocation à se réduire à mesure que Korian améliorera son niveau de croissance organique et niveau de profitabilité. Faute d’amélioration, le groupe pourrait attiser la convoitise de fonds, attirés par un secteur affichant de solides fondamentaux », explique le gérant dans son rapport mensuel. « Nous avons aussi acheté l’équipementier automobile Continental dans la perspective d’une restructuration stratégique importante conduisant à une scission en trois activités distinctes du groupe, cristallisant ainsi la valeur des actifs que sa valorisation actuelle ne reflète pas. Outre ADP, nous avons aussi allégé la position en Merck, Deutsche Telekom et vendu Maersk et Suez ». Principales lignes à fin mars 2018 : Beiersdorf (4,38%), Smith & Nephew (4,34%), Galp Energia (4,01%), Novartis (3,91%) et Shire (3,88%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Au sein du portefeuille, notons plus particulièrement que le fonds activiste Elliott Management a pris une participation dans Telecom Italia poussant pour le spin-off du réseau fixe ainsi que pour une refonte de la gouvernance, notent les gérants dans leur rapport mensuel. La nouvelle offre non sollicitée de Melrose sur GKN, bien que rejetée immédiatement par ce dernier, a été acceptée par une majorité des actionnaires de l’équipementier industriel britannique. Akzo Nobel a quant à lui annoncé la cession de sa division de chimie de spécialité pour 10 milliards d’euros. Nous en profitons pour alléger la position, mais le nouveau profil de « pure player » dans les peintures et les enduits nous paraît continuer de justifier une revalorisation ». Les positions en Croda International et en Koninklijke DSM sont également allégées. Au 29 mars 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5,1%), Aéroports de Paris (4%), Stora Enso (3,8%), Thyssenkrupp (3,6%) et Unicredit (3,5%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les trois premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, accuse un repli de 2,89%, équivalent à celui du CAC 40, après un gain de 16,34% en 2017. Parmi les principales transactions réalisées en mars, on note les achats de Korian, STMicroelectronics et Faurecia et les ventes de Puma, Coface et Siemens Healthineers. Au 29 mars 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,34%), Faurecia (3,25%), Renault (3,19%), Alstom (3,18%) et Arkema (2,89%).

Talence 2018 est devenu Talence Situations Spéciales, à compter du 26 mars 2018. Ce fonds (code ISIN: FR0012951853), co-géré par Régis Lefort et Jean-François Arnaud, gérants senior avec chacun plus de 25 ans d’expérience sur les marchés financiers, investit dans des sociétés de la Zone Euro, de toutes tailles de capitalisation et sans biais sectoriel. Son champ d’investissement est celui des « situations spéciales ». « Par cette appellation, explique Talence Gestion, nous désignons un univers varié comprenant les sociétés :

• Engagées dans un processus de restructuration au sens large (industrielle, managériale, financière, actionnariale);
• Potentiellement impliquées dans des opérations de fusion/acquisition soit comme cible soit comme consolidateur de marché ;
• Ayant subies dans un contexte de marché « stressé » une baisse de leurs cours de bourse considérée comme très excessive ».

L’objectif de gestion du fonds est de battre son indice de référence soit l’Euro Stoxx Net Return (constitué d’environ 300 valeurs de la Zone Euro).

« La thématique des situations spéciales est attractive d’un point de vue conjoncturel, mais également plus structurelle, ajoute Talence Gestion. Sur les prochains mois, elle permet de jouer pleinement la reprise économique en Zone Euro notamment via des sociétés en restructuration qui sont souvent celles qui auront le plus fort levier sur leurs résultats.

A plus long terme, les fusions/acquisitions ou les restructurations ont un caractère intemporel, un ralentissement économique pouvant accélérer les opérations « défensives » (rachat d’un concurrent en difficulté, fusion pour générer des synergies de coûts quand la croissance ralentit, cession des activités les moins rentables, etc.) ».

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a maintenu son avance sur le CAC 40 depuis le 1^er janvier. « Renault a fait l’objet de prise de profits à la suite de rumeurs de fusion avec Nissan, ainsi que Dassault Aviation sur ses plus hauts niveaux. Korian est allégé après son récent rebond. Le semencier Vilmorin, évoluant dans un secteur en recomposition, est renforcé après le décrochage exagéré […]. Engie […] a souffert au plan boursier bien que le consensus des estimations soit resté stable, ce qui a permis de repondérer la ligne », expliquent les gérants du fonds dans leur rapport. Par ailleurs, la position en Nexans est complétée et Ingenico et Casino font leur entrée. Principales lignes du portefeuille à fin mars 2018 : Total (5,1%), Vilmorin (4,2%), Carrefour (4,1%), NRJ Group (4%), Vallourec (3,9%) et Nexans (3,9%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP actions avec une thématique « opérations financières » (restructurations, rachats de minoritaires, sociétés opéables, etc.), géré par Chicuong Dang, affiche un léger retard par rapport à son indice en ce début d’année. « En terme de mouvements, nous avons réalloué une bonne partie du cash lors de la mini correction des marchés observée en début de mois. La poche cyclique a été renforcée pour apporter plus d’équilibre à la structure du portefeuille. Ainsi, des nouvelles positions ont été initiées en CNH (biens d’équipements), Deutsche Post (Services), Natixis (financière) et Valeo (auto), explique le gérant dans son rapport mensuel. A l’opposé, nous avons allégé la poche défensive via les ventes de L’Oréal, Vodafone et Suez. En fin de mois, la poche liquidité représentait 5% de l’actif ». Principales lignes à fin février 2018 : Beiersdorf (4,49%), Smith & Nephew (4,01%), Novartis (3,95%), Galp Energia (3,76%) et Accor (3,64%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Les publications de résultats du T4 sont solides et démontrent une reprise plus forte de la croissance sur 2018, les révisions en hausse étant significatives. L’accélération de la croissance organique est particulièrement visible pour les cycliques, la technologie ou des secteurs comme les hôtels et médias qui sont récompensés. Les secteurs plus défensifs et sensibles à une hausse des taux sont en revanche pénalisés », observent les gérants dans leur rapport mensuel. En février, le fonds s’est renforcé sur Daimler et s’est allégé sur Bouygues, Nokia, ThyssenKrupp, Akzo Nobel et Aéroports de Paris. Au 28 février 2018, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5%), Akzo Nobel (4,2%), Aéroports de Paris (3,6%), Thyssenkrupp (3,6%) et Stora Enso (3,6%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les deux premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, limite son retrait à 0,8%, après un gain de 16,34% en 2017. Parmi les principales transactions réalisées en février, on note les achats de STMicroelectronics, TF1 et Vallourec et les ventes de Faurecia, Imerys et Balta. Au 28 février 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,53%), Alstom (3,01%), Faurecia (3,01%), Arkema (2,93%), Renault (2,89%) et Coface (2,89%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 1% depuis le mois de janvier 2018. « Les initiatives de gestion à l’achat ont porté sur Korian, qui signe une année 2017 conforme aux objectifs mais qui est pénalisé par l’annonce d’une détérioration de la marge opérationnelle en France pour l’année en cours. Nous avons également renforcé Vallourec, dont les comptes se révèlent supérieurs aux attentes mais qui ne communique pas de perspectives chiffrées pour 2018, et Saint-Gobain qui annonce une nouvelle amélioration de sa performance opérationnelle cette année », comme le précisent les gérants dans leur rapport de gestion. « Parmi les allègements, mentionnons Solocal, réduit après une envolée saluant la divulgation du plan tant attendu, ainsi qu’Accor qui a dépassé les attentes en termes de résultats ». Principales lignes du portefeuille à fin février 2018 : Total (5,2%), Carrefour (4,6%), Korian (4,3%), Renault (4,3%), Axa (4,1%), Saint-Gobain (4,1%) et NRJ Group (4,1%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP dont la thématique d’investissement s’ouvre à toutes les situations spéciales, géré par Chicuong Dang et Xavier Afresne, a gagné 2,3% en janvier 2018. « Parmi les achats, nous avons procédé à des renforcements opportunistes comme Tarkett […] et Maison du monde en fin de période. Le fonds a également initié deux nouvelles positions : Altran et Thales », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Et d’ajouter : « La pression baissière sur les marchés en fin de mois ouvre des opportunités d’investissements. Nous restons néanmoins vigilants et continuerons d’investir dans des sociétés capables de compenser l’impact devises, la remontée du pétrole et des taux longs ». Principales lignes à fin janvier 2018 : Valeo (4,97%), Michelin (4,94%), Teleperformance (4,34%), Axa (4,14%) et Sanofi (4,04%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « L’activité de fusions & acquisitions, et plus généralement de transformation des entreprises reste soutenue : offres successives de Sanofi sur Bioverativ puis sur Ablynx, spin-off Kering/Puma et Altice Europe/Etats-Unis, offre de Barcelo sur le groupe espagnol NH Hotel, annonce d’un plan de transformation ambitieux par le nouveau PDG de Carrefour Alexandre Bompard, etc, expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. Nous avons allégé nos positions sur GKN, Rémy Cointreau, Intercontinental Hotels, Croda et Sage Group, et vendu Metro, petite ligne en portefeuille. Nous avons introduit Daimler, candidat potentiel à une séparation de ses actifs en deux entités cotées séparément, et avons renforcé Commerzbank, Standard Chartered et Tullow Oil ». Au 31 janvier 2018, les principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5,2%), Thyssenkrupp (4%), Akzo Nobel (3,8%), Aéroports de Paris (3,5%) et Unicredit (3,4%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En janvier, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 1,96%, après un gain de 16,34% en 2017. Parmi les principales transactions réalisées le mois dernier, on note les achats d’Ipsos, Coface et Showroomprivé et les ventes de Zodiac Aerospace, Euler Hermes et Rémy Cointreau. Au 31 janvier 2018, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,55%), Faurecia (3,46%), Imerys (3,13%), Alstom (3,02%), Natixis (2,92%) et Nexans (2,82%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, termine le mois de janvier 2018 sur une hausse de 2,5%, grâce à la bonne tenue des valeurs financières (Natixis, Crédit Agricole, Axa), ainsi que de la vive reprise de Solocal et Vallourec. « Korian, qui poursuit ses efforts de restructuration, est renforcé, précise le rapport de gestion. Il en va de même pour Publicis, dont la filiale Sapient est sélectionnée par Carrefour pour accélérer sa transformation digitale et qui annonce par ailleurs un partenariat avec Microsoft pour la création d’une plateforme d’intelligence artificielle. Elior est initié, tandis que Sequana est soldé sur reprise boursière ». Principales lignes du portefeuille à fin janvier 2018 : Total (5,1%), Carrefour (4,6%), Vilmorin & Cie (4,5%), Renault (4,2%), Axa (4,2%), NRJ Group (4,1%) et Nexans (4%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Les nombreuses journées investisseurs organisées par les entreprises au cours du mois de décembre témoignent pour la plupart d’entre elles d’un discours nettement plus offensif et volontariste sur les perspectives de croissance, avec à la clé de nouveaux investissements, alors que les dernières années ont été marquées par des mesures de restructuration », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel.

En corollaire, « les opérations de fusions & acquisitions se multiplient : offre d’Atos puis contre-offre de Thales sur Gemalto, acquisition par Unibail d’un portefeuille de centres commerciaux aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, etc. Nous avons allégé nos positions sur Burberry, ADP, Croda, Sage Group et Rémy Cointreau, et avons introduit Société Générale et Commerzbank, augmentant l’exposition au secteur bancaire à hauteur d’environ 10% de l’actif du fonds ». Au 29 décembre 2017, les principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5,1%), Thyssenkrupp (3,9%), Akzo Nobel (3,8%), Meggitt (3,5%) et Aéroports de Paris (3,4%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En 2017, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 16,34%, à comparer à une avance de 11,69% pour son indice de référence. Parmi les principales transactions réalisées en décembre, on note les achats de Gemalto, Thales et Renault et les ventes de SES Imagotag, Derichebourg et Technicolor. Au 29 décembre 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,91%), Faurecia (3,42%), Alstom (2,89%), Nexans (2,88%), Imerys (2,78%), Arkema (2,66%) et Gemalto (2,64%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, termine l’année 2017 sur une hausse de 12,4%, devant le CAC 40 dividendes réinvestis (+11,7%). Parmi les sociétés ayant soutenu la performance en décembre, « soulignons Gemalto (+55,1%) qui a fait l’objet d’une offre publique d’achat, Vilmorin (+13,4%) qui regagne du terrain après avoir été lourdement sanctionnée lors de sa publication trimestrielle le mois dernier et Vallourec (+10,9%) qui poursuit son plan de transformation et annonce la vente d’actifs non-stratégiques », comme le précise le rapport de gestion. « Du côté des replis, notons Solocal (-8,3%), Nexans (-7,3%), qui se trouve pénalisé par les changements de recommandation de certains bureaux d’analyse suite à sa « Journée investisseurs », et Nokia (-7,6%), toujours impacté par le scepticisme des investisseurs. Ces trois valeurs sont renforcées ». Principales lignes du portefeuille à fin décembre 2017 : Total (5,2%), Vilmorin & Cie (4,7%), Carrefour (4,5%), Nexans (4,3%) et Vallourec (4,2%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les onze premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 15,22%, à comparer à une avance de 12,79% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en novembre, on note les achats de Renault, Gemalto et Arkema et les ventes de Balta, Marie Brizard Wine & Spirits et Derichebourg. S’agissant de Renault, le reclassement de la participation de l’Etat (4,7%), réalisée en novembre, « pourrait bien n’être qu’une première étape sur le chemin qui pourrait aboutir à une restructuration beaucoup plus large de la structure capitalistique (fusionRenault-Nissan) du constructeur automobile », estiment les gérants du fonds. Ajoutant : « Une telle opération serait susceptible de générer quelques synergies,  mais probablement aussi  d’annuler tout ou partie des participations croisées (Renault détient 43,7% de Nissan qui détient 15% de Renault), ce qui conduirait à une relution des BPA ». Au 30 novembre 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Fnac Darty (3,77%), Faurecia (3,53%), Nexans (3,25%), Alstom (3,03%), Imerys (2,86%) et Arkema (2,82%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 11,45% sur les onze premiers mois de 2017. En novembre, « Les dernières positions initiées sont complétées (Orange, Publicis et Solocal Group) ainsi que Nexans, soutenu par la nette accélération de son activité et la présentation prochaine d’un nouveau plan stratégique », précise le rapport de gestion. En revanche, « Les lignes Axa, EDF et Renault sont écrêtées sur rebonds ». Principales lignes du portefeuille à fin novembre 2017 : Total (5,4%), Carrefour (4,4%), Vilmorin & Cie (4,3%), Renault (4,3%) et Nexans (4,3%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En octobre, « nous avons renforcé Unicredit sur fond d’une économie italienne qui connaît enfin une embellie. Le début de normalisation de politique monétaire de la BCE devrait profiter aux banques », expliquent les gérants dans leur rapport mensuel. A l’inverse, « Nous avons allégé nos positions sur Philips Electronic, Akzo Nobel, Wartsila Corporation, Aéroports de Paris et Rémy Cointreau ». Au 31 octobre 2017, les principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5,3%), Aéroports de Paris (4,2%), Akzo Nobel (4%), Burberry (3,7%) et Meggitt (3,5%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 29% de l’actif, la France 20,3%, les Pays-Bas 11,8%, l’Italie 11,3% et l’Allemagne 10%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les dix premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 18,10%, à comparer à une avance de 15,48% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en octobre, on note les achats de Direct Energie, Assystem et Groupe Fnac et les ventes de Derichebourg, Latécoère et Bilendi

« Direct Energie dispose de contrats d’approvisionnement qui contribueront à soutenir ses résultats dans les trimestres à venir, tandis que ses capacités de production propres constituent un actif précieux, explique le rapport de gestion. Surtout si un des nouveaux entrants décidait de jeter son dévolu sur une société toujours largement contrôlée par ses fondateurs ». Quant à Altran, « sa valorisation reste abordable », « à 10 fois EV/Ebitda 2018 ». Au 31 octobre 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Faurecia (3,31%), Nexans (3,20%), Groupe Fnac (3,10%), Alstom (2,93%), Derichebourg (2,66%) et Imerys (2,65%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 13,9% sur les dix premiers mois de l’année 2017. « Trois nouvelles positions intègrent le fonds au cours du mois », comme le précise le rapport de gestion : Orange (« le rendement est proche de 5 % et la croissance du résultat par action retrouve une trajectoire dynamique qui devrait se refléter dans le cours »), Publicis (« Arthur Sadoun, récemment coopté à la tête de l’entreprise, entend mettre en œuvre un nouveau plan d’actions qui vise à renouer avec la croissance et améliorer la rentabilité ») et Gemalto (« le troisième trimestre est rassurant quant à l’atteinte des objectifs 2017 et pourrait marquer un point d’inflexion. Un plan stratégique sera présenté au printemps 2018 »). Principales lignes du portefeuille à fin octobre 2017 : Total (5,4%), Axa (5,3%), Renault (4,9%), EDF (4,6%) et Vilmorin & Cie (4,4%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En septembre, « nous avons introduit Unicredit et Generali afin de renforcer l’exposition, faible jusqu’à présent, du fonds aux valeurs financières et à l’Italie qui connaît enfin une embellie de son économie, comme l’indique le rapport de gestion. Les perspectives d’un début de normalisation de politique monétaire de la BCE se traduisent d’ores et déjà par une remontée graduelle des taux 10 ans. Ce mouvement devrait profiter aux banques et aux assureurs. Nous avons allégé Metro Wholesale & Food ». Au 30 septembre 2017, les principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5,2%), Akzo Nobel (4,7%), Aéroports de Paris (4,4%), Philips (4,2%) et ThyssenKrupp (3,7%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 28,8% de l’actif, la France 20,6%, les Pays-Bas 13,1%, l’Italie 11,6% et l’Allemagne 9,8%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les neuf premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 17,02%, à comparer à une avance de 11,8% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en septembre, on note les achats d’Assystem, Rexel et Tarkett et les ventes d’Aurubis, Alstom et Agfa-Gevaert. Au 30 septembre 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Faurecia (3,27%), Alstom (3,19%), Derichebourg (3,11%), Groupe Fnac (3,10%) et Nexans (2,9%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 15,09% sur les neuf premiers mois de l’année 2017, à comparer à une avance de 11,8% pour l’indice CAC 40. « Le contexte de reprise des cours du pétrole a dynamisé Esso et Vallourec, qui consolide son bilan et dont la position a été renforcée, indique le rapport de gestion. La perspective de remontée progressive des taux d’intérêt a soutenu le secteur financier. Seul Crédit Agricole a été allégé suite aux rumeurs de pertes liées à des opérations spéculatives sur les taux. GL Events sort progressivement du portefeuille, matérialisant une plus-value de près de 80%. Carrefour toujours malmené, est renforcé après les annonces de constitution de la nouvelle équipe de direction ». Par ailleurs, après un beau parcours, Alstom et Bouygues sont allégées. Principales lignes du portefeuille à fin septembre 2017 : Axa (5,2%), Total (5%), Veolia Environnement (4,8%), Renault (4,8%), Esso (4,4%) et NRJ Group (4,3%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les huit premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 10,2%, à comparer à une avance de 6,6% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en août, on note les achats de Nexans, Société Générale et Indra Sistemas et les ventes de Derichebourg. Au 31 août 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Derichebourg (3,23%), Alstom (3,02%), Groupe Fnac (2,96%), Faurecia (2,96%), Imerys (2,86%) et Nexans (2,84%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 9,2% sur les huit premiers mois de l’année 2017, à comparer à une avance de 6,58% pour l’indice CAC 40. « L’escalade des tensions entre la Corée du Nord et les Etats-Unis ainsi que la hausse de l’euro ont fragilisé les marchés tandis que les publications semestrielles se sont révélées solides et rassurantes sans que l’on observe, toutefois, de réel rehaussement du consensus sur les bénéfices annuels », indique le rapport de gestion. « Korian, SoLocal Group et EDF enregistrent un rebond boursier après les sanctions du mois dernier. Esso et Vilmorin font l’objet de prises de profit ». Principales lignes du portefeuille à fin août 2017 : Axa (5,2%), Veolia Environnement (5,1%), EDF (4,8%), Total (4,7%) et NRJ Group (4,5%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Les publications (pléthoriques) des résultats 2017 ont laissé une impression mitigée, les bonnes publications ne permettant pas de fortes performances des titres dans la plupart des cas, tandis que les publications décevantes, voire en ligne, étaient fortement pénalisées, précise le rapport de gestion. Au cours du mois, nous avons renforcé Carrefour et Ericsson ». Au 31 juillet 2017, les principales lignes du fonds étaient les suivantes : Bouygues (4,8%), Aéroports de Paris (4,7%), Akzo Nobel (4,6%), Philips (3,9%) et ThyssenKrupp (3,8%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 28,4% de l’actif, la France 20,7%, les Pays-Bas 12,8% et l’Allemagne 11%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur les sept premiers mois de l’année, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 11,9%, à comparer à une avance de 6,75% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en juillet, on note les achats de Gemalto, Direct Energie et Europcar et les ventes de Havas, Imperial Brands et Gemalto. Au 31 juillet 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Derichebourg (3,33%), Groupe Fnac (3,25%), Alstom (3,14%), Faurecia (2,92%), Imerys (2,91%) et Natixis (2,83%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche un gain de 10,2% sur les sept premiers mois de l’année 2017, à comparer à une avance de 6,75% pour l’indice CAC 40. « Récoltant les fruits des efforts engagés dans le cadre de plans de restructuration ou de transformation, la majorité des titres du portefeuille atteint et dépasse les objectifs fixés, voire les relève à moyen terme, précise le rapport de gestion. Le fonds termine le mois à – 1,7 %, sans arbitrage significatif ». Principaux contributeurs à la performance : en positif, Telecom Italia, Axa et Vilmorin & Cie ; en négatif, Solocal, Sequana, EDF. Principales lignes du portefeuille à fin juillet 2017 : Axa (5,3%), Veolia Environnement (4,9%), Esso (4,8%), Carrefour (4,7%) et Total (4,6%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En juin, « nous entrons Carrefour en portefeuille : l’arrivée d’un nouveau CEO est le prélude à une nouvelle stratégie qui devrait notamment permettre au groupe de revoir son positionnement sur le marché français des hypermarchés. Les IPO de la filiale brésilienne et de la foncière Carmila sont par ailleurs un moyen de mieux valoriser ces actifs », comme le précise le rapport de gestion. Par ailleurs, « nous entrons Ericsson : le groupe accélère sa restructuration suite à un recul de la demande sur ses marchés finaux. Une nouvelle stratégie devrait être définie sous l’impulsion d’actionnaires activistes, en accord avec les actionnaires historiques ». A fin juin 2017, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (4,8%), Aéroports de Paris (4,6%), Akzo Nobel (4,6%), ThyssenKrupp (3,7%) et Philips (3,7%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 28,4% de l’actif du fonds, la France 20,2%, les Pays-Bas 12,3% et l’Allemagne 11,2%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Sur le 1^er semestre, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 12,09%, à comparer à une avance de 7,27% pour l’indice CAC 40. Parmi les principales transactions réalisées en juin, on note les achats de Balta, Gemalto et Latécoère et les ventes de Nexity, Atos et Bolloré. Au 30 juin 2017, les principales positions du fonds étaient les suivantes : Derichebourg (3,38%), Alstom (3,20%), Imerys (2,92%), Groupe Fnac (2,90%), Faurecia (2,89%) et Nexans (2,73%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, affiche une performance de 11,9% au 1^er semestre 2017, à comparer à une avance de 7,3% pour l’indice CAC 40. « Toujours dans une dynamique de rotation de ses actifs vers des valeurs en retournement, Montségur Opportunités intègre SoLocal Group, Vallourec et Nexans », comme le précise le rapport de gestion. « Suite à un début d’année solide, Renault, Total et Axa sont renforcés, tandis que la position Engie est diminuée de moitié dans la perspective de la baisse des tarifs de gaz. Antalis, filiale de Sequana, est soldée peu après son introduction en Bourse ». Principales lignes du portefeuille à fin juin 2017 : Axa (5%), EDF (5%), Esso (4,9%), Carrefour (4,8%) et Veolia Environnement (4,7%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En mai, le fonds n’a pas pris de nouvelle position, s’est renforcé sur Stora Enso, Tullow Oil, Qiagen et Salvatore Ferragamo, et a soldé sa position sur Adidas. « Notre objectif de cours est atteint et la cession des marques de golf marque la dernière étape du repositionnement du groupe », comme le précise le rapport de gestion. A fin mai 2017, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (4,8%), Aéroports de Paris (4,8%), Akzo Nobel (4,3%), Meggitt (4,3%) et Burberry (3,7%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 33,9% de l’actif du fonds, la France 17,2%, les Pays-Bas 12,2% et l’Allemagne 11%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En mai, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 3%, portant son avance à 12,1% sur les cinq premiers mois de l’année. Parmi les principales transactions réalisées, on note les achats de Haulotte, Europcar et Indra Sistemas et les ventes de Société Générale, Atos et Faurecia. Au 31 mai 2017, ses principales positions étaient les suivantes : Alstom (3,63%), Imerys (3,10%), Faurecia (3,05%), Derichebourg (2,82%), Nexans (2,78%), Natixis (2,74%) et Vallourec (2,68%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, enregistre au mois de mai un rattrapage significatif (+6,2% contre +1,5% pour l’indice CAC 40) qui porte sa performance annuelle à 13%. Comme le précise le rapport de gestion, les positions en fortes plus-values « sont cédées en totalité (STMicroelectronics, Ipsos) ou réduites (Nokia, Dassault Aviation, Crédit Agricole, Natixis) ». Et ce, « au profit de titres affichant un retard notable (Carrefour, Renault, Total, Bic, Nexans, qui fait son retour dans le fonds, et Solocal nouvellement initiée) ». Principales lignes du portefeuille à fin mai 2017 : Carrefour (5%), Veolia Environnement (4,9%), Esso (4,4%), NRJ Group (4,3%) et Accor (4,2%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. En avril, le fonds, qui a gagné 11,86% depuis le 1^er janvier, a pris une nouvelle position sur Stora Enso, s’est renforcé sur Dialog Semiconductor et n’a ni allégé, ni soldé de positions, comme le précise le rapport de gestion. Au 28 avril 2017, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5%), Akzo Nobel (4,8%), Aéroports de Paris (4,4%), Meggitt (4,2%) et ITV (4,2%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 34,7% de l’actif du fonds, la France 17,5%, les Pays-Bas 12,6% et l’Allemagne 11,8%.

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. En avril, ce fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, a progressé de 1,7%, portant son avance à 8,86% sur les quatre premiers mois de l’année.  Parmi les principales transactions réalisées, on note les achats d’Indra Sistemas, Alstom et Akzo Nobel et les ventes d’Alès Groupe, Société Générale et Ipsos. Au 28 avril 2017, ses principales positions étaient les suivantes : Alstom (3,90%), Faurecia (3,40%), Société Générale (3,26%), Natixis (3,18%), Nexans (3,11%),  Atos (3%) et Imerys (3%).

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement,  a gagné 6,37% sur les quatre premiers mois de l’année. « Compte tenu des performances enregistrées sur la période récente et des incertitudes qui persistent en vue du second tour, le compartiment « petites valeurs » représenté par le fonds Quadrige, et recelant 60 % de plus-value, a été allégé, indique le rapport de gestion. Il en est de même pour Dassault Aviation à nouveau proche de ses plus hauts, Engie qui vient d’opérer un beau redressement, Accor, BNP Paribas, Crédit Agricole et Natixis. Deux nouvelles positions sont initiées en Bic et Total ». Principales lignes du portefeuille à fin avril 2017 : Nokia (4,8%), Veolia Environnement (4,6%), Accor (4,4%), Dassault Aviation (4,4%) et NRJ Group (4,4%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP dont la thématique d’investissement s’ouvre à toutes les situations spéciales, géré par Chicuong Dang, a gagné 8,6% au 1^er trimestre 2017. En mars, deux nouvelles sociétés ont rejoint le fonds : le groupe chimique suisse Clariant et Nets, spécialiste danois dans le domaine des paiements. « Clariant nous semble bien positionné pour profiter de la reprise macro après un gros effort de restructuration. De plus, la reprise des investissements devrait favoriser le retour à meilleure fortune de deux divisions clés (catalyse et pétrole). Enfin, le titre répond aussi à nos thématiques de restructuration stratégique (possible sortie de la division Plastic & Coating) et de cibles d’OPA (tentative avortée de rapprochement avec Hunstman en fin d’année 2016) », explique le gérant dans son rapport.

Nets, de son côté, « a vu ses multiples de valorisation se contracter fortement depuis son IPO en septembre dernier et affiche désormais une valorisation (très) attractive en comparaison de ses pairs comme Worldpay […]. A défaut d’une revalorisation du titre dans un avenir proche, Nets pourrait faire l’objet d’une approche par un concurrent, cherchant à pénétrer le marché scandinave (Worldline avait fait une tentative auprès de Nets il y a trois ans) ». Principales lignes à fin mars 2017 : Beiersdorf (4,33%), Unilever (4,19%), Shire (4,19%), Smith & Nephew (3,89%) et Vodafone (3,72%).

Les choix de portefeuille de Tocqueville Odyssée. Malgré la contre-performance de l’action Zodiac en mars, la performance du fonds spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, géré par Didier Roman et Alexandre Voisin, reste supérieure à celle de son indice de comparaison (6,99% sur 1 an glissant contre 5,51%). Parmi les principales transactions réalisées, on note les achats de Coface, Alstom et Mersen. Pour Alstom, au-delà de ses atouts (carnet de commandes, potentiel d’amélioration de la rentabilité, probables entrées de cash significatives, « on ne peut pas ne pas évoquer aussi l’intérêt spéculatif du dossier, avec des marques d’intérêt supposées de Bombardier ou de Siemens, comme l’indique le rapport de gestion. La situation devrait s’éclaircir vers la fin de l’année, lorsque Bouygues reprendra le contrôle de la totalité de sa participation ». Au 31 mars, ses principales positions étaient les suivantes : Société Générale (3,41%), Alstom (3,38%), Faurecia (3,37%), Vallourec (3,16%), Atos (3,08%), Imerys (3%) et Nexans (2,95%).

Les arbitrages d’Edmond de Rothschild Fund Europe Synergy A. Ce fonds, géré par Philippe Lecoq et Olivier Huet, vise à générer une surperformance régulière sur un cycle économique complet par une sélection de valeurs potentiellement cibles d’OPA/OPE et de valeurs en restructuration. « Au cours du mois de mars, nous avons renforcé Qiagen et Dialog Semiconductor, et allégé Telecom Italia ou encore Atos », comme le précise le rapport de gestion. Au 31 mars 2017, ses principales lignes étaient les suivantes : Bouygues (5%), Akzo Nobel (4,7%), Aéroports de Paris (4,3%), ITV (4,2%) et Meggitt (4,1%). Les valeurs du Royaume-Uni représentaient 34,3% de l’actif du fonds, la France 17,2%, les Pays-Bas 12,5% et l’Allemagne 12,2%.

Les arbitrages de Montségur Opportunités. Ce fonds géré par Alain Crouzat, Agnès Coste et Andreea Condurache, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a gagné 5,31% en mars. « L’actualité reste dominée par la mise en place des mesures Trump et le déclenchement de la procédure officielle du « Brexit », indique le rapport de gestion. CGG, très affaibli au plan financier et n’anticipant pas d’embellie à court terme, est cédé. Air France, après son beau parcours, mais toujours aux prises avec des négociations syndicales difficiles, sort également du portefeuille. GL Events, en hausse de plus de 20% depuis le 1^er janvier, est allégé. Carrefour, Renault et Korian sont renforcés ». Principales lignes du portefeuille à fin mars 2017 : Engie (4,9%), Accor (4,8%), Dassault Aviation (4,7%), Nokia (4,7%), Veolia Environnement (4,7%) et NRJ Group (4,4%).

Les choix de portefeuille de Richelieu Spécial. Ce FCP dont la thématique d’investissement s’ouvre à toutes les situations spéciales, géré par Chicuong Dang, affiche une hausse de 4,65% depuis le début de l’année. En février, « nous avons soldé la position en Peugeot […] et réduit de moitié de notre position en Kering le jour des résultats, comme le précise le rapport de gestion. Nous sommes actionnaires de longue date de Kering et avons pleinement bénéficié du redressement de Gucci. A ce stade, nous préférons prendre quelques bénéfices en raison d’une valorisation moins attrayante ». Par ailleurs, « trois nouvelles lignes ont été introduites en portefeuille. Il s’agit de British American Tobacco, Publicis et Société Générale. Ces trois valeurs répondent à nos thématiques d’inflexion opérationnelle, optimisation du bilan et restructuration stratégique ». Principales lignes au 28 février : Shire (4,43%), Beiersdorf (4,26%), Unilever (4,07%), Smith & Nephew (3,94%) et ING Groep (3,86%).