Les choix de portefeuille du fonds Odyssée de Tocqueville Finance. Géré par Didier Roman et Daniel Fighiera, ce FCP, spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, a acquis en mars dernier des actions Darty, Ipsos et Faurecia et vendu Eramet, Saint-Gobain, RTL Group, Lafuma et Cegid Group. Au 31 mars 2013, les principales lignes de son portefeuille (valorisé 87,9 millions d’euros) étaient les suivantes : Euler Hermes (3,4%), Bull (3,39%), Imerys (3,38%), Thales (3,23%), Natixis (3,03%), Derichebourg (2,93%), Maurel & Prom (2,79%). Altran (2,68%), Ansaldo STS (2,64%) et Havas (2,64%).
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Odyssée
Les choix de portefeuille du fonds Odyssée de Tocqueville Finance. Géré par Didier Roman et Daniel Fighiera, ce FCP, spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, a acquis en mars dernier des actions Darty, Ipsos et Faurecia et vendu Eramet, Saint-Gobain, RTL Group, Lafuma et Cegid Group. Au 31 mars 2013, les principales lignes de son portefeuille (valorisé 87,9 millions d’euros) étaient les suivantes : Euler Hermes (3,4%), Bull (3,39%), Imerys (3,38%), Thales (3,23%), Natixis (3,03%), Derichebourg (2,93%), Maurel & Prom (2,79%). Altran (2,68%), Ansaldo STS (2,64%) et Havas (2,64%).
Klépierre
L’AFG tique sur des résolutions de Klépierre. Dans la perspective de l’assemblée générale qui se tiendra le 11 avril prochain, l’Association française de la gestion financière a analysé notamment la résolution 8 (sans être une consigne de vote). A ses yeux, mentionner que « l’autorisation de rachat par la société de ses propres actions dans la limite de 10% du capital peut être utilisée en période de pré-offre publique va dans le sens d’une meilleure transparence ». Cependant, ajoute-t-elle, cette résolution peut constituer une mesure de défense contre les OPA (« pilule empoisonnée ») qui contrevient à ses recommandations sur le gouvernement d’entreprise.
Montségur
Les arbitrages de Montségur Opportunités. En mars, le fond géré par Alain Crouzat et Grégory Moore, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, a « allégé des valeurs qui se sont bien comportées comme Dynaction, SQLI, Lagardère, Boursorama et Capgemini, pour renforcer Société Générale et Areva. Derichebourg est soldé sur 3,4 euros au profit d’ArcelorMittal autour de 11 euros ». Les cinq principales lignes du fonds (à fin mars), qui affiche un actif net de 21 millions d’euros, sont désormais les suivantes : Veolia Environnement (5,82% de l’actif), Bull (5,78%), Dynaction (5,17%), Carrefour (5,06%) et Société Générale (4,07%).
KBL
Les arbitrages de KBL Richelieu Spécial. En février, « en dehors de Virgin Media, nous avons cédé le solde de nos Arkema, et avons allégé nos positions en Ansaldo STS, Jazztel, PPR, Nutreco, Weir, Outotec, Svenska Cellulosa ou encore SabMiller », précisent Nathalie Martin-Pelras et Jeremy Gaudichon, qui gèrent ce fonds avec une conviction « situations spéciales ». « Nous avons par ailleurs renforcé nos lignes en ING, Puma et Ingenico et réintégré l’assureur britannique RSA », profitant de la baisse provoquée par l’annonce d’une réduction de son dividende. KBL Richelieu Spécial s’adjuge 5,66 % depuis le début de l’année, contre 3,25 % pour le Stoxx Europe 50 total return. Ses cinq principales lignes à fin février : Shire (3,6% de l’actif net), Stada Arzneimittel (3,3%), Société Générale (2,9%), Ansaldo (2,6%) et ING Groep (2,3%).
SFL
Quel potentiel pour la Société Foncière Lyonnaise ? La société de Bourse Invest Securities vise un cours de 41,60 euros en cas d’OPA sur cette foncière de bureaux, tout en étant « neutre » sur le titre. Soit un potentiel de 10,9% au cours actuel de 37,50 euros. Cet objectif fait ressortir une décote de 5% sur l’actif net et correspond à une rentabilité sur fonds propres de 6%. SFL est contrôlée à 53,5% par le groupe espagnol Immobiliaria Colonial, lui-même détenu par ses banques créancières. Selon Invest Securities, l’identité des actionnaires et le marasme immobilier en Espagne plaident en faveur d’une scission de Colonial avec, à la clé, une vente de SFL.
Montségur Opportunités
Les arbitrages de Montségur Opportunités. Après la publication de résultats 2012, le fond géré par Alain Crouzat et Grégory Moore, spécialisé dans les valeurs susceptibles d’opérations ou en retournement, « maintient un niveau d’investissement maximum ». En février, Veolia Environnement (4,45 %), Schneider, Dynaction et Groupe Crit ont été vendus. Les liquidités ont été réallouées en Bouygues, Bourbon, Société Générale, Areva et Lafarge. Les cinq principales lignes du fonds (à fin février 2013) sont désormais les suivantes : Bull (5,85% de l’actif), Veolia Environnement (5,37%), Dynaction (4,68%), Carrefour (4,66%) et Alstom (3,92%).
Club Méditerranée
L’AFG tique sur une résolution du Club Méditerranée. Dans la perspective de l’assemblée générale qui se tiendra le 7 mars prochain, l’Association française de la gestion financière a analysé la résolution 16 (sans être une consigne de vote). A ses yeux, cette délégation de compétence à l’effet d’augmenter le capital sans DPS [droit préférentiel de souscription] à hauteur de 15% du capital par placement privé n’a pas de justification et est donc contraire à son code de gouvernement d’entreprise.
Odyssée
Les choix de portefeuille du fonds Odyssée de Tocqueville Finance. Géré par Didier Roman et Thibault Moureu, ce FCP, spécialisé dans les valeurs susceptibles de faire l’objet d’une opération financière, a acquis en janvier dernier des actions Groupe Eurotunnel, CNP Assurances, Thales et Veolia Environnement et vendu Technip, Rexel, Burelle et Altran. Au 31 janvier 2013, les principales lignes de son portefeuille (94,5 millions d’euros) étaient les suivantes : Société Générale (3,45%), Bull (3,41%), Natixis (3,31%), Derichebourg (3,22%), Euler Hermes (3,13%), Imerys (3,04%), Arkema (2,99%), CGG (2,76%), RTL Group (2,63%) et Maurel & Prom (2,59%).
CamGestion
p style= »text-align: justify; »>« La problématique des valeurs stressées reste le principal contributeur à la performance » : c’est l’opinion des gérants du fonds CamGestion Situations Spéciales, qui a progressé de 3,4% en janvier. A ce titre, la répartition du portefeuille ressort à 62,9% pour les valeurs stressées (valeurs ayant subi un choc de marché mais dont le modèle et la valeur intrinsèque ne sont pas remis en question) et 35,5% pour les opérations capitalistiques. En janvier, « nous avons renforcé nos positions en Aperam et Maurel et Prom […] nous avons pris nos bénéfices sur ARM, Banco Popular Español, MAN et Ipsos et écrêté les lignes Michelin et NH Hoteles. Nos convictions fortes pour les semaines à venir sont : Allianz, BNPP, Axa, Vivendi et Alstom ».
Montpensier
« La robotisation des usines est une tendance lourde », assure Montpensier Finance dans sa dernière lettre, parue aujourd’hui. Ajoutant : « Tous les investisseurs ont bien compris que Foxconn l’assembleur chinois de l’iPhone d’Apple était en train de réduire ses effectifs pour les remplacer par des robots… ». Parmi les pays qui en fabriquent, le Japon compte nombre de sociétés performantes, comme « Fanuc (usines automatisées avec des robots), Keyence Corp (sensors en fibre optique, cellules photoélectriques…), Aida Engineering (presses pour la déformation des métaux), Amada Co (travail du métal), Omron Corp (automatismes industriels), Yushin Precision Equipment (robots industriels) ». A surveiller.
Lutétia
Lutétia Patrimoine optimiste sur l’activité de fusions &acquisitions. Celle-ci « est fortement repartie en Amérique du Nord avec un nombre d’opérations qui ne cesse de progresser », observe le gérant du fonds, dont l’objectif est de tirer parti des écarts entre le prix de l’offre proposé et les cours de la société cible. « A l’inverse, l’Europe accuse un réel retard mais va – ce n’est qu’une question de temps – nécessairement repartir. L’activité des fusions-acquisitions étant par nature cyclique, le rebond qui s’engage devrait donc ouvrir une période favorable aux stratégies de merger arbitrage qui, depuis deux ans, présentent des performances modestes ».
KBL3
Les arbitrages de KBL Richelieu Spécial. En janvier, ce fonds avec une thématique « opérations financières », géré par Nathalie Martin-Pelras et Jeremy Gaudichon, a allégé sa ligne en Roche, après la bonne performance de 2012. Il a initié une position sur Actelion, « dont l’expertise dans l’hypertension pulmonaire en fait une cible naturelle ». Dans les équipementiers pétroliers, précisent les deux gérants, « nous avons renforcé notre position en Weir, initié une position sur Hunting, alors que nous réduisons notre ligne en Vallourec ». Ajoutant : « Les progressions d’Abertis et d’Arkema nous ont incités à les alléger. Enfin, nous sommes revenus sur Faurecia, estimant une cession de Peugeot possible en 2013 ».
Bourbon
Montségur Opportunités s’intéresse à Bourbon. Le fonds, qui privilégie les valeurs susceptibles d’opérations financières ou en situation de recovery, a désormais 20 000 titres en portefeuille, soit 2,05 % de l’actif à fin janvier. Aux yeux des gérants, Alain Crouzat et Grégory Moore, Bourbon est un acteur incontournable de l’industrie pétrolière. Surtout, « Les prévisions de résultats sont en croissance, portées par l’amélioration des tarifs journaliers et un taux d’utilisation de la flotte stabilisé à un niveau élevé ». Et l’impact de ce redressement « sera largement visible au niveau de l’opérationnel, mais aussi de l’endettement, qui reste important à ce jour ».
Echiquier
p style= »text-align: justify; »>La Financière de l’Echiquier va acquérir Acropole Asset Management. Les deux présidents fondateurs de ces sociétés de gestion indépendantes, Didier Le Menestrel et Jacques Joakimides, ont conclu un accord en vue de rapprocher leurs activités. L’encours cumulé représentera près de 6 milliards d’euros avec un effectif total de 95 collaborateurs. A l’issue du rapprochement, sous réserve du feu vert de l’AMF, la Financière de l’Echiquier renforcera son expertise sur les obligations convertibles, le crédit et la volatilité, tout en confortant sa présence auprès des institutionnels. Pour mémoire, le fonds Echiquier Quator, qui investissait une partie de son actif dans des valeurs opéables, a été absorbé, le 31 décembre 2012, par Echiquier Value.
CCR Valeurs
Les valeurs opéables préférées d’Eric Bleines. Interrogé par LeRevenu.com, le gérant du fonds actions européennes CCR Valeur (CCR Asset Management, filiale du groupe UBS) dévoile le nom des sociétés qui pourraient faire l’objet d’une OPA. A commencer par « Atos, dont on peut penser que l’activité de paiements en ligne, insuffisamment valorisée, pourrait être cédée aux actionnaires, cette année ». De même, « Maurel & Prom, Faurecia et Gemalto font aussi figure de cibles ». Du côté des valeurs étrangères, « le groupe d’exploration et production pétrolière Soco Plc suscite de fréquentes rumeurs de rachat », observe Eric Bleines. Sans oublier « Darty Plc et Tate & Lyle qui devraient faire partie des groupes changeant de contrôle ».
Montségur
« Les valeurs cycliques value devraient bénéficier d’un retournement en 2013 ». C’est en substance le sentiment des gérants du fonds Montségur Opportunités, Alain Crouzat et Grégory Moore, qui privilégient les valeurs susceptibles d’opérations financières ou en situation de recovery. En début d’année, les principales positions se concentrent sur Alstom, Bouygues, Saint-Gobain, Carrefour, Veolia Environnement, Vallourec, ainsi que sur les banques représentées par Société Générale, Boursorama, Crédit Agricole et Natixis. Voici les dix principales lignes du fonds (au 31 décembre 2012) : Bull (6,63 % de l’actif), Dynaction (4,89 %), Carrefour (4,7 %), Veolia Environnement (4,45 %), Alstom (4,25 %), Société Générale (3,86 %), Schneider Electric (3,73 %), Crédit Agricole (3,70 %), NRJ Group (3,69 %) et Vallourec (3,65 %).
KBL
KBL Richelieu Spécial a terminé l’année 2012 sur un gain de 13,02 %. Ce fonds avec une thématique « opérations financières », géré par Nathalie Martin-Pelras et par Jeremy Gaudichon, a profité en décembre du fort rebond des Bains de Mer de Monaco et de Bull, ainsi que des rumeurs sur une éventuelle offre sur le laboratoire générique Stada Arzneimittel. « La déception sur le forage en Guyane Française nous a poussé à vendre notre position en Tullow Oil, avant de la réintégrer au portefeuille à un prix 9 % inférieur », expliquent les gérants. « Nous avons initié une position en Ophir Energy, société d’exploration production présente en Afrique » et « constitué une ligne en Ingénico, spécialiste des terminaux de paiement, qui a déjà par le passé fait l’objet d’approches ». Voici les dix principales lignes du fonds (au 31 décembre 2012) : Ansaldo (3,3 % de l’actif), Shire (3 %), Société Générale (2,9 %), Parmalat (2,8 %), Stada Arzneimittel (2,8 %), Imperial Tobacco (2,3 %), BG Group (2,1 %), Accor (2,1 %), Xstrata (2 %) et Roche Holding (2 %).
lutétia
« Le volume des fusions/acquisitions devrait continuer d’augmenter lors des prochains trimestres aux Etats-Unis », estime le gérant du fonds Lutétia Patrimoine, dont l’objectif est de tirer parti des écarts entre le prix de l’offre proposé et les cours de la société cible. « L’écartement du spectre du « fiscal cliff » apporte, selon lui, davantage de visibilité sur le secteur privé, même si les problématiques relatives à la dette publique sont loin d’être résolues de part et d’autre de l’Atlantique ». Ajoutant : « nous sommes beaucoup plus optimistes que nous l’avons été au cours des 18 derniers mois, où la prudence restait de mise. Nous nous attendons à une bonne performance du merger arbitrage en 2013 ».
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