Casino a finalisé la cession des murs de 31 hypermarchés et supermarchés

Casino a finalisé la cession des murs de 31 hypermarchés et supermarchés à des sociétés affiliées à Apollo Global Management. Faisant suite à la signature en avril 2019 des accords, le groupe de distribution annonce avoir finalisé l’opération de cession portant sur les murs de 12 Géant Casino et 19 magasins à enseignes Monoprix et Casino Supermarchés, valorisés à 465 millions d’euros net vendeur.

A cette occasion, Casino a perçu 327 millions d’euros pour le transfert de 30 actifs, 14 millions d’euros complémentaires devant être perçus d’ici 12 mois au transfert effectif d’un actif, qui a été décalé pour des raisons techniques ; un autre actif avait finalement été exclu du périmètre initial pour être cédé à un tiers d’ici fin 2019, aux mêmes conditions.

Le Groupe Casino reste associé à la création de valeur de cette opération via une participation dans la société constituée par des fonds gérés par Apollo. Dans ce cadre et en fonction de la performance de la société, le Groupe Casino pourra percevoir dans les prochaines années jusqu’à 140 millions d’euros complémentaires.

DMS Group contrôle 80% du capital d’Hybrigenics

DMS Group contrôle 80% du capital d’Hybrigenics qui détient 100% de DMS Biotech. Le conseil d’administration d’Hybrigenics a constaté la levée de l’ensemble des conditions suspensives et a donc entériné la finalisation de l’apport partiel d’actif du pôle DMS Biotech à Hybrigenics. Ce projet d’apport partiel d’actif avait déjà fait l’objet d’une approbation des actionnaires réunis en assemblée générale mixte. En outre, DMS Group avait obtenu, en date du 8 octobre 2019, une dérogation de l’AMF à l’obligation de déposer une offre publique visant les actions de la société Hybrigenics.

Ainsi, l’apport de la branche d’activité DMS Biotech est rémunéré par l’attribution à DMS Group de 187.015.792 actions nouvelles de 0,01 € de valeur nominale, entièrement libérées, à créer par Hybrigenics. Ces actions nouvelles seront assimilées aux actions Hybrigenics anciennes et admises aux négociations sur Euronext Growth à Paris le 17 octobre 2019, sur la même ligne de cotation que les actions existantes.

Le capital social d’Hybrigenics est désormais constitué de 233.769.740 actions. A l’issue de l’opération, DMS Group détient 80% du capital et des droits de vote d’Hybrigenics, qui sera consolidé par intégration globale à compter du 1er juillet 2019 dans les comptes consolidés du groupe. Le flottant est constitué du solde du capital social et représente donc 20% du capital et des droits de vote d’Hybrigenics.

Argan réalise l’acquisition de la SCI Cargo

Argan réalise l’acquisition de la SCI Cargo détenant 22 plateformes logistiques Premium auprès de Carrefour et d’investisseurs institutionnels, au prix de 898 millions d’euros. A l’issue d’un apport en nature représentant la somme de 279 millions d’euros, Crédit Agricoles Assurances devient actionnaire d’Argan à hauteur de 16,77%, Carrefour à hauteur de 5,21% et Primonial Capimmo à hauteur de 3,19%. La famille Le Lan détient désormais 40,03% et le flottant représente 34,80%.

Argan va refinancer un crédit relais de 645 millions d’euros par des prêts hypothécaires dont les accords des comités de crédit des banques concernées sont obtenus. A la suite de la réalisation de l’apport, le pacte d’actionnaires conclu entre la famille Le Lan, Crédit Agricoles Assurances et CRFP 8 est entré en vigueur (voir l’avis AMF n° 219C1208 en date du 18 juillet 2019).

Wendel signe un accord en vue d’acquérir Crisis Prevention Institute

Wendel signe un accord en vue d’acquérir Crisis Prevention Institute (CPI). La société d’investissement annonce la signature d’un accord portant sur l’acquisition auprès de FFL Partners de CPI pour une valeur d’entreprise de 910 millions de dollars. Dans le cadre de cette transaction, Wendel investira jusqu’à environ 590 millions de dollars en fonds propres aux côtés du management de CPI et détiendra environ 98% du capital. Sous réserve du respect des conditions habituelles et de l’obtention des autorisations réglementaires, la finalisation de cette opération devrait intervenir au quatrième trimestre 2019 ou au premier trimestre 2020.

Crisis Prevention Institute, dont le siège est à Milwaukee, dans le Wisconsin, est le leader américain des services de formations en gestion des comportements et de prévention de crises. Depuis une quarantaine d’années, CPI fournit des programmes de formation à la prévention et à la gestion des crises, aidant des professionnels à répondre aux comportements hostiles, anxiogènes et violents de manière efficace et sécurisante. Les programmes de formation de la société ont prouvé leur efficacité dans la réduction de la fréquence et des impacts des incidents survenant sur les lieux de travail, renforçant ainsi le niveau de confiance de ces professionnels, créant un environnement plus sécurisant pour l’ensemble des personnes concernées, et aidant ses clients à se conformer avec leurs obligations réglementaires.

Sur les douze derniers mois à fin août 2019, CPI a réalisé un chiffre d’affaires de 86 millions de dollars et un Ebitda ajusté de 39 millions. La société génère sur la durée un ratio de conversion de free cash-flow supérieur à 90%. Depuis 2008, la société affiche un taux de croissance annuel moyen de son chiffre d’affaires de l’ordre de 13%, presque exclusivement organique.

M2i désigne un expert indépendant dans le cadre de l’OPE de Prologue

M2i désigne un expert indépendant dans le cadre de l’OPE de Prologue. A la suite de l’ouverture d’une période de pré-offre le 11 septembre 2019, le conseil d’administration de M2i s’est réuni ce jour et a décidé de désigner le cabinet Associés en Finance, représenté par M. Philippe Leroy, en qualité d’expert indépendant, qui sera chargé de rédiger un rapport sur les conditions financières du projet d’offre publique d’échange. L’expert indépendant est chargé d’établir ce rapport dans la mesure où Prologue détient indirectement le contrôle de M2i au sens du Code de commerce et l’OPE envisagée serait suivie d’une fusion par absorption d’O2i dans Prologue, laquelle en constituerait une opération connexe.

Compte tenu de la complexité de l’opération projetée, le conseil d’administration a décidé de procéder à la désignation de cet expert indépendant sans attendre le dépôt formel du projet d’offre par Prologue auprès de l’AMF. Le rapport de l’expert indépendant et l’avis motivé du conseil d’administration figureront dans le projet de note en réponse établi par M2i, qui sera soumis à l’examen de l’AMF en vue de l’obtention d’une déclaration de conformité conformément à la réglementation.

Faurecia : projet d’acquisition des 50% restants de la co-entreprise SAS

Faurecia : projet d’acquisition des 50% restants de la co-entreprise SAS. Faurecia annonce aujourd’hui la signature d’un protocole d’accord avec Continental en vue d’acquérir les 50 % restants de sa co-entreprise SAS. Cette co-entreprise, créée en 1996, s’est imposée comme un acteur majeur de l’assemblage et la logistique de modules complexes pour l’intérieur des véhicules. Elle emploie 4 490 collaborateurs répartis sur 19 sites en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Son chiffre d’affaires devrait connaître une forte croissance en 2019 et atteindre environ 700 millions d’euros (IFRS15).

Ce projet permettrait à Faurecia d’étendre son offre en matière d’intégration de systèmes à l’ensemble des modules de l’intérieur, ainsi qu’à ses nouvelles lignes de produits telles que les écrans, l’électronique, les capteurs et le confort thermique. Grâce à l’apport des compétences de SAS en matière d’intégration de systèmes et de gestion de la complexité, ce projet permettrait également à Faurecia de développer son réseau d’usines juste-à-temps.

Ce projet serait immédiatement relutif pour Faurecia en termes de marge opérationnelle, de résultat net et de rentabilité des capitaux investis. La performance financière serait consolidée au sein de l’activité Interiors. Des synergies pourraient être obtenues dans les domaines des méthodes industrielles, de la logistique et de l’optimisation de l’empreinte industrielle, ainsi que dans les domaines des achats et des frais généraux et administratifs. Avec un carnet de commandes affichant un fort potentiel de croissance, le chiffre d’affaires devrait dépasser 1 milliard d’euros d’ici 2024 (soit un taux de croissance annuel moyen d’environ 9 %). La croissance pourrait être accélérée grâce à une diversification régionale et à un élargissement du portefeuille clients, notamment en Chine.

Faurecia procèderait à l’acquisition auprès de Continental des 50% restants la coentreprise SAS pour un montant de 225 millions d’euros (hors trésorerie). Avant signature de tout accord définitif, le projet fera l’objet d’une information consultation des instances représentatives du personnel et sera soumis à l’obtention des autorisations réglementaires requises. La réalisation de la transaction pourrait intervenir au début l’année 2020.

Renault met un terme au mandat de son directeur général

Renault met un terme au mandat de son directeur général. Le conseil d’administration de Renault s’est réuni ce jour afin de se prononcer sur la gouvernance du groupe. Lors de cette réunion, le conseil d’administration a décidé de mettre un terme aux mandats de Directeur général de Renault SA et de Président de Renault s.a.s. de M. Thierry Bolloré avec effet immédiat. Le conseil d’administration a décidé de nommer, avec effet immédiat, Mme Clotilde Delbos en qualité de directeur général de Renault SA pour une période intérimaire, le temps de mener un processus de désignation d’un nouveau directeur général. Il a donné un avis favorable à la désignation de MM. Olivier Murguet et José-Vicente de los Mozos, en qualité de directeurs généraux adjoints afin d’assister Mme Clotilde Delbos dans ses fonctions. M. Jean-Dominique Senard assumera, par ailleurs, la présidence de Renault s.a.s. durant cette même période intérimaire.

LDLC entre en négociations exclusives

LDLC entre en négociations exclusives avec la société Rue du Commerce en vue d’acquérir le fonds de commerce « Top Achat », dont l’activité est la vente en ligne, la maintenance et le service après-vente de produits informatiques et high-tech. Créée en 1999, le site TopAchat.com, « l’épicier du geek », est un acteur du e-commerce, spécialisé dans la distribution de produits informatique et high-tech. Cette opération viendrait conforter la position de leader-expert du Groupe LDLC dans la distribution online de produits informatique et high-tech. Cette acquisition serait réalisée intégralement en numéraire sur les fonds propres du Groupe. La finalisation de cette opération, soumise à la consultation des représentants du personnel et à la signature d’un accord définitif sous condition, si requise, de l’autorisation de l’autorité de la concurrence, est envisagée au plus tard fin mars 2020.

Lagardère réclame en justice 84 millions d’euros au fonds activiste Amber Capital

Lagardère réclame en justice 84 millions d’euros au fonds activiste Amber Capital. Les sociétés Lagardère SCA et Lagardère Capital & Management réclament en justice près de 84 millions d’euros au fonds activiste Amber Capital « en réparation des préjudices causés par une campagne de déstabilisation caractérisée par une multitude d’abus de minorité, de dénigrements et de harcèlements ».

« Lagardère SCA fait face, depuis l’entrée à son capital en 2016 du fonds activiste Amber Capital, à une virulente agression illustrée par des abus systématiques de Amber Capital de ses droits d’actionnaires au détriment de la démocratie actionnariale, l’introduction de plusieurs procédures judiciaires dévoyées et l’orchestration d’une campagne de dénigrement récurrente, notamment par voie de presse, ciblant le Groupe, ses gérants commandités et son conseil de surveillance », explique le groupe dans un communiqué.

« La permanence de l’agression et les méthodes mises en œuvre par Amber Capital ont conduit à affecter la capacité d’attractivité de Lagardère SCA auprès du marché et des actionnaires, avec pour conséquence une baisse significative de son cours de bourse ». Les préjudices de Lagardère SCA et de Lagardère Capital & Management sont évalués, pour l’heure, à un montant global de près de 84 millions d’euros sur la base du rapport établi par un cabinet d’experts inscrit auprès de la Cour d’Appel de Paris.

Lagardère SCA et Lagardère Capital & Management ont donc décidé d’engager une action judiciaire à l’encontre d’Amber Capital devant le Tribunal de commerce de Paris visant à faire sanctionner ces agissements et à obtenir la juste réparation de leurs préjudices.


Casino a signé un accord avec LDC

Casino a signé un accord avec LDC en vue de la cession du site de fabrication de Luché Tradition Volailles. Ce site de fabrication a été acquis par le groupe Casino en 2015, qui a investi depuis dans un plan de modernisation important pour développer des gammes de produits sans traitement antibiotique et issus d’une nouvelle filière bio. Le site est implanté à Luché-Pringé, près du Mans et compte 131 salariés.

Cette opération permettra aux deux groupes d’unir leurs moyens pour consolider la filière volaille française de qualité, respectant les meilleures exigences en matière de bien-être animal et permettant d’innover avec des produits et des emballages plus respectueux de l’environnement., explique Casino. Ce rapprochement permettra également au site de Luché Tradition Volailles de bénéficier de l’expertise industrielle d’un des leaders français de la volaille et de sa volonté stratégique de développement sur les segments de marché les plus dynamiques de la GMS et de la Restauration.

L’opération, une fois finalisée, prévoit la poursuite de l’intégralité des contrats de travail des collaborateurs du site de Luché Tradition Volaille. La finalisation de la transaction devrait intervenir dans les prochaines semaines, après consultation des instances représentatives du personnel de Luché Tradition Volailles notamment.

Bourbon Corporation : dépôt d’une offre de reprise

Bourbon Corporation : dépôt d’une offre de reprise. Dans le cadre de la procédure de redressement judiciaire ouverte depuis le 7 août 2019 par le Tribunal de commerce de Marseille au bénéfice de Bourbon Corporation et de sa filiale Bourbon Maritime, les administrateurs judiciaires ont été saisis d’une offre de reprise. Cette offre de reprise faite par une société détenue par un groupe de banques françaises, porte sur les actifs et les activités de Bourbon Corporation. Comme d’autres offres de reprise ou de continuation pourraient être reçues par les administrateurs judiciaires, Bourbon Corporation a demandé à Euronext Paris de procéder à la suspension de la cotation de ses actions à compter de ce jour et jusqu’à la fin de l’analyse des différentes options par le Tribunal de Commerce.

Fortum va prendre le contrôle d’Uniper

Fortum va prendre le contrôle d’Uniper. Le groupe finlandais de services aux collectivités a conclu aujourd’hui des accords portant sur l’acquisition des actions de son concurrent allemand détenues par des fonds gérés par Elliott Management et par Knight Vinke Energy Advisors, ce qui représente un total supérieur à 20,5%. Fortum paiera 2,3 milliards d’euros pour ces participations, ce qui correspond à 29,93 euros par action. À la clôture des transactions, la part de Fortum dans Uniper augmentera à plus de 70,5% et l’investissement total dans Uniper à 6,2 milliards d’euros, ce qui représente un prix moyen d’acquisition de 23,97 euros par action. La clôture de la transaction est sujette aux autorisations réglementaires usuelles en Russie et aux États-Unis et est attendue d’ici la fin du premier trimestre 2020. Aucune autre autorisation de la Commission européenne n’est requise. En 2018, Fortum avait déjà reçu de Bruxelles l’autorisation inconditionnelle.

Cafom projette de céder Habitat

Cafom projette de céder Habitat. Le conseil d’administration du Groupe Cafom, acteur majeur de l’équipement de la maison en Europe et en Outre-Mer, a décidé, lors de sa séance du 30 septembre 2019, d’engager un processus de cession de sa filiale Habitat avec l’objectif de parvenir à une transaction dans les prochains mois.

Le Groupe Cafom est propriétaire de la marque Habitat qui exploite 36 magasins en propre (27 en France métropolitaine, 1 à Monaco, 5 en Espagne et 3 en Suisse) et 39 en franchise à travers le monde. Le chiffre d’affaires retraité du pôle Habitat s’est inscrit en progression de près de 2% au 1er semestre 2019, à 56,3 M€, pour un Ebitda de -0,7 M€ contre -1,3 M€ un an plus tôt. Sur la même période, le Groupe Cafom a réalisé un chiffre d’affaires de 212,5 M€ et un Ebitda de 9,2 M€.

Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une volonté de recentrage du Groupe sur l’exploitation de franchises en Outre-Mer (But, Darty et Habitat à ce jour) et de sites e-commerce (Vente-unique.com et DirectLowCost.com), tout en cherchant les meilleures opportunités pour soutenir le développement d’Habitat à long terme.

Cafom informera le marché de toute évolution significative de l’opération envisagée dans le respect des obligations réglementaires.

Saint-Gobain annonce la cession de K par K en France

Saint-Gobain annonce la cession de K par K en France. Saint-Gobain a finalisé la cession à deux de ses dirigeants de l’entreprise K par K, spécialisée principalement dans la vente à domicile de menuiseries et de fenêtres sur mesure sur le marché français. Cette activité, unique au sein de Saint-Gobain, présentait des synergies limitées avec le reste du Groupe. K par K a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 130 millions d’euros en 2018 et emploie près de 1 000 salariés.

Cette opération marque la poursuite de la stratégie d’optimisation du portefeuille de Saint-Gobain dans le cadre de la nouvelle organisation, au-delà de l’objectif de plus de 3 milliards d’euros de cessions en chiffre d’affaires d’ores et déjà atteint, pour accroître son profil de croissance et de rentabilité. Les cessions réalisées ou signées à ce jour représentent un chiffre d’affaires supérieur à 3,1 milliards d’euros.

Avis aux anciens actionnaires de Quotium Technologies

Avis aux anciens actionnaires de Quotium Technologies. Portzamparc a été chargé, dans le cadre de la procédure de retrait obligatoire, de centraliser les opérations d’indemnisation des anciens actionnaires. Dans ce cadre, elle a versé aux intermédiaires teneurs de comptes la totalité des indemnités revenant à leurs clients qui n’ont pas apporté leurs actions à l’OPR-RO initiée par la société Technologies SAS, sur la base d’un montant de 11,30 € par action Quotium Technologies.

Total annonce la finalisation de l’acquisition de la participation de 26,5%

Total annonce la finalisation de l’acquisition de la participation de 26,5% (opérateur) que détenait Anadarko dans le projet Mozambique LNG, pour un montant de 3,9 milliards de dollars. Cette acquisition intervient après l’accord conclu le 3 mai 2019 avec Occidental en vue d’acquérir les actifs d’Anadarko en Afrique (Mozambique, Algérie, Ghana et Afrique du Sud) et la signature de l’accord définitif d’achat et de vente le 3 août 2019. Cette première transaction fait suite à la réception des approbations requises par les autorités compétentes et les partenaires.

Rallye, Foncière Euris, Finatis et Euris ont rencontré

Rallye, Foncière Euris, Finatis et Euris ont rencontré, à leur initiative et dans une démarche constructive, leurs partenaires bancaires le 25 septembre 2019 afin de leur présenter les principes de leurs projets de plans de sauvegarde élaborés avec le concours des administrateurs judiciaires. Les principes prévus par les projets de plans de sauvegarde sont les suivants :

  • remboursement de l’intégralité des passifs admis sur une période de dix ans ;
  • échéancier de remboursement respectant un minimum de 5% de chaque dette concernée par le plan de la troisième à la neuvième année du plan et un maximum de 65% la dixième année du plan ;
  • maintien de la structure des sûretés en place ; et
  • consultation individuelle des créanciers. A défaut d’avis favorable de certains créanciers, le Tribunal de commerce a la faculté d’imposer des délais de paiement sous réserve de respecter les échéances minimums légales à compter de la troisième annuité du plan.

En termes de calendrier, les sociétés annoncent leur intention de solliciter l’extension de la période d’observation de 6 mois avec l’objectif d’obtenir une homologation des plans par le Tribunal au plus tard à la fin du premier trimestre 2020. Les sociétés communiqueront conformément à la réglementation en vigueur sur le contenu détaillé de leurs projets de plans de sauvegarde une fois ceux-ci arrêtés par leurs organes de gouvernance compétents.

Orchestra-Prémaman : ouverture d’une procédure de sauvegarde

Orchestra-Prémaman : ouverture d’une procédure de sauvegarde. La société spécialisée dans le prêt-à-porter pour enfant annonce avoir demandé et obtenu, par jugement du 24 septembre 2019, l’ouverture d’une procédure de sauvegarde à son bénéfice pour une période initiale de 6 mois. Le Tribunal de Commerce spécialisé de Montpellier a également décidé ce jour l’ouverture d’une procédure de sauvegarde au profit de Yeled Invest, actionnaire majoritaire de la société Orchestra-Prémaman.

La période d’observation, initialement fixée à 6 mois, pourra être prorogée jusqu’à une durée maximale de 18 mois. Pendant cette période, Orchestra-Prémaman préparera un plan de sauvegarde et l’exploitation se poursuivra normalement. Dans ce contexte, le conseil d’administration d’Orchestra Prémaman a décidé de réunir les fonctions de directeur général et de président du conseil d’administration, et de nommer le 22 septembre 2019 M. Pierre Mestre en qualité de directeur général, en remplacement de M. Stefan Janiszewski, qui occupait ce poste par intérim après la révocation de M. Thomas Hamelle le 25 mars 2019 pour raisons de santé.

Des informations seront régulièrement communiquées au marché sur l’évolution de la procédure. Orchestra-Prémaman a demandé à Euronext Paris la reprise de la cotation de son titre à l’ouverture de la Bourse à Paris, le 25 septembre 2019.

Officiis Properties : TwentyTwo Credit I (TTC1) a apporté ses obligations convertibles

Officiis Properties : TwentyTwo Credit I (TTC1) a apporté ses obligations convertibles à l’OPR initiée par REOF Holding, au prix unitaire de 2,05 €, représentant un montant global de 27.720.833,90 €. Ce même jour, Officiis Properties a été notifiée du transfert hors marché de 5.765.375 actions au profit de REOF Holding. Compte tenu d’une part du franchissement du seuil de 90% par REOF Holding avant la date de clôture de l’OPR fixée au 27 septembre 2019, d’autre part de l’absence de faits susceptibles de remettre en cause, à très court terme cette continuité d’exploitation, REOF Holding a précisé qu’elle ne convertirait pas les OC dont elle est désormais propriétaire avant la date de clôture de l’offre.

Thomas Cook entre en liquidation judiciaire

Thomas Cook entre en liquidation judiciaire. « Malgré des efforts considérables, les discussions n’ont pas abouti à un accord entre les parties prenantes de la société et les nouveaux apporteurs de capitaux proposés, explique le voyagiste britannique dans un communiqué. Le conseil d’administration de la société a donc conclu qu’elle n’avait pas d’autre choix que de prendre des mesures pour entrer en liquidation judiciaire avec effet immédiat ». Une demande a été introduite en ce sens devant la Haute Cour et un mandat a été donné pour désigner le séquestre officiel.

Casino confirme être entré en discussions

Casino confirme être entré en discussions avec Aldi France concernant l’acquisition de Leader Price. Le groupe Casino confirme avoir reçu une marque d’intérêt de la part d’Aldi France portant sur l’acquisition de Leader Price en France métropolitaine. A la suite de cette marque d’intérêt, le Groupe Casino et Aldi France sont entrés en discussions en vue d’aboutir à la remise d’une offre ferme par Aldi France. Une fois connus et pour autant qu’ils soient acceptés par le groupe, les paramètres de l’offre seront communiqués au marché. Le groupe Casino entend mener ces discussions dans le meilleur intérêt de Leader Price et de ses salariés, comme de ses partenaires. Les instances représentatives du personnel de Leader Price seront informées et consultées dès qu’un projet suffisamment avancé pourra leur être présenté, conformément aux obligations légales en la matière.

Eurazeo Capital finalise l’acquisition d’Elemica

Eurazeo Capital finalise l’acquisition d’Elemica, un réseau d’approvisionnement numérique en mode Cloud. L’investissement d’Eurazeo s’inscrit dans une stratégie de développement de nouvelles solutions pour les clients d’Elemica et d’élargissement de l’offre vers de nouvelles industries ainsi que d’accélération de la croissance à l’international. Fondée en 2000 par un groupe de grandes sociétés industrielles de dimensions mondiales, Elemica offre des solutions SaaS qui permettent à ses clients de se connecter, d’automatiser leurs échanges commerciaux et d’avoir une visibilité complète des flux au sein de leur chaîne d’approvisionnement. L’entreprise compte aujourd’hui plus de 450 clients à travers le monde, dont 39 des 100 plus grandes entreprises de l’industrie chimique mondiale. Plus de 500 milliards de dollars de marchandises sont achetées, vendues et transportées chaque année via la plateforme d’Elemica. La valeur d’entreprise d’Elemica s’élève à environ 390 millions de dollars, dont environ 240 millions en fonds propres investis par Eurazeo et ses affiliés, représentant 95% du capital. Cette transaction est le sixième investissement d’Eurazeo Capital IV et le septième investissement d’Eurazeo en Amérique du Nord. A date, Eurazeo a investi plus d’un milliard de dollars en capital en Amérique du Nord.

Ymagis conclut un accord pour céder sa filiale Eclair Cinéma

Ymagis conclut un accord pour céder sa filiale Eclair Cinéma à la société L’Image Retrouvée dans le cadre d’un plan de continuation. Ymagis, spécialiste des technologies numériques pour l’industrie du cinéma, annonce avoir signé le lundi 16 septembre 2019 une lettre d’intention engageante avec L’Image Retrouvée SAS, filiale de la société italienne L’Immagine Ritrovata, en vue de mener à bien un plan de continuation sur sa filiale Eclair Cinéma SAS, actuellement en redressement judiciaire.

Au terme de cet accord, L’Image Retrouvée acquerra les titres de la société Eclair Cinéma ainsi que les comptes courants détenus par Ymagis sur la société, sous réserve de l’homologation par le Tribunal de commerce de Nanterre d’un plan de continuation d’Eclair Cinéma SAS.

Eclair Cinéma SAS a été placée en redressement judiciaire en novembre 2018 et a fait l’objet d’une lourde restructuration, mise en œuvre au début de l’année 2019. La société s’est depuis concentrée sur les activités de restauration, dont elle est le leader en France, avec à son actif plus de 750 œuvres cinématographiques restaurées. Au premier semestre 2019, l’activité représentait un chiffre d’affaires de 2,32 M€.

Grâce à cette opération, le Groupe Ymagis assure l’avenir de ses activités restauration en l’adossant à un acteur international de référence pour la restauration du patrimoine cinématographique mondial. L’Image Retrouvée est une société de droit français détenue par L’Immagine Ritrovata et par Simest, société du groupe Cassa depositi e prestiti qui, depuis 1991, accompagne la croissance des entreprises italiennes par l’internationalisation de leurs activités.

L’opération de cession permet d’assurer la continuité des services d’Eclair Cinéma auprès de l’ensemble de ses clients, notamment à travers la reprise d’une grande majorité des effectifs, la signature d’un accord de licence pour l’utilisation de la marque Eclair, et d’un accord commercial concernant d’autres activités d’Eclair.

Aurea : la cotation reprend mardi 17 septembre 2019

Aurea : la cotation reprend mardi 17 septembre 2019. Le spécialiste de la régénération des déchets envisageait la reprise devant un tribunal de commerce d’une société active dans le secteur des métaux avec un jugement prévu le 17 septembre 2019. Aurea a décidé de se désister et a demandé à Euronext Paris de procéder à la reprise de cotation de son titre à compter du mardi 17 septembre 2019.

L’AMF lance une consultation publique

L’AMF lance une consultation publique sur les conditions de mise en œuvre du retrait obligatoire et l’expertise indépendante dans le cadre des offres publiques. Dans le contexte de la loi PACTE, dont les dispositions ont conduit à un abaissement du seuil de mise en œuvre du retrait obligatoire, l’AMF a constitué un groupe de travail réunissant les différentes parties prenantes, en charge d’améliorer la réglementation applicable au retrait obligatoire et à l’expertise indépendante.

Les travaux de réflexion de ce groupe, présidé par Thierry Philipponnat et Patrick Suet, membres du Collège de l’AMF, ont abouti à la remise d’un rapport comportant 18 propositions visant à renforcer la protection des actionnaires minoritaires et mieux garantir l’indépendance et la transparence de l’expertise indépendante.

Dans ce cadre, les principales modifications réglementaires suivantes sont envisagées :

  • positionner l’organe social compétent de la société visée au centre du processus des offres publiques en renforçant les conditions d’indépendance qui doivent présider à la désignation et au suivi des travaux de l’expert, ainsi que le contenu de son avis motivé ;
  • soumettre à l’accord de l’AMF le nom de l’expert indépendant envisagé lorsque la société visée par l’offre n’a pas désigné en son sein un comité ad hoc, composé majoritairement d’administrateurs indépendants ;
  • imposer un délai minimum de 15 jours de négociation entre le dépôt de la note d’information et la note en réponse en cas d’offre publique simplifiée, permettant à l’expert indépendant et à l’organe social compétent de la société visée de prendre connaissance des éventuelles observations provenant des actionnaires minoritaires ;
  • respecter ou, le cas échéant, justifier tout prix d’offre inférieur à certaines références de valorisation, telles que l’actif net comptable, les moyennes de cours de bourse et les opérations significatives récentes intervenues sur le capital de la société ;
  • renforcer la transparence du processus de désignation de l’expert indépendant et le contenu de sa lettre de mission qui devra être annexée au rapport ;
  • justifier l’attestation d’équité en conclusion du rapport d’expertise, au regard du contexte et du fondement réglementaire de la mission de l’expert indépendant ;
  • allonger le délai minimum d’intervention de l’expert indépendant à 20 jours de négociation à compter de la réception des principaux documents nécessaires à l’élaboration de sa mission et permettre à celui-ci de ne pas remettre d’attestation d’équité lorsqu’il considère ne pas avoir eu un délai suffisant pour élaborer son rapport ;
  • prévoir dans le rapport d’expertise indépendante un chapitre dédié à l’analyse et l’appréciation des observations écrites d’actionnaires reçues par l’expert, précisant, le cas échéant, les raisons pour lesquelles il a, ou non, tenu compte des observations transmises ;
  • prévoir la possibilité pour l’AMF de demander à la société visée de désigner un nouvel expert indépendant, dont l’identité aura préalablement été soumise à son accord, lorsqu’elle constate que le rapport d’expertise initial contient des insuffisances significatives ;
  • améliorer l’information et la transparence s’agissant de la rémunération de l’expert indépendant et la revue de la qualité de ses travaux.

Ces propositions ont vocation à donner lieu à des modifications de la réglementation AMF dont le contenu est soumis aujourd’hui à une consultation publique. Les contributions doivent être retournées au plus tard le 15 octobre 2019 à l’adresse suivante : directiondelacommunication@amf-france.org.

Pour consulter le rapport de l’AMF (38 pages)

 

Bey Médias, éditeur de l’Opinion rachète l’Agefi

Bey Médias, éditeur de l’Opinion rachète l’Agefi, groupe de presse spécialisé dans l’information à destination des professionnels de la finance. « Cette acquisition traduit la mise en œuvre du plan stratégique de Bey Médias pour constituer un groupe de taille significative (25 millions d’euros de chiffre d’affaires, 150 salariés dont près de 90 cartes de presse), cohérent, composé de médias complémentaires, et rentable », explique la société dirigée par Nicolas Beytout, ancien président des Echos.

Le Groupe Bolloré a conclu un accord

Le Groupe Bolloré a conclu un accord avec Amundi Private Equity Funds (Amundi PEF), Bpifrance et Socadif Capital Investissement pour céder sa participation de 55% dans Wifirst, fournisseur d’accès Internet spécialisé dans la technologie Wi‐Fi. Détenu et accompagné par le Groupe Bolloré depuis 2006, Wifirst a réalisé une croissance moyenne de plus de 30% par an sur les dix dernières années. Elle est devenue la première plateforme Wi‐Fi très haut débit, qui opère 600 000 emplacements de connexion intuitifs, sécurisés et performants. Pour le Groupe Bolloré, la cession de la participation dans Wifirst génèrera en trésorerie environ 115 millions d’euros et une plus‐value consolidée d’environ 85 millions d’euros.

Scor Investment Partners finalise l’acquisition de Coriolis Capital

Scor Investment Partners finalise l’acquisition de Coriolis Capital. La société de gestion de portefeuille du groupe Scor a finalisé l’acquisition de 100% du capital de Coriolis Capital Limited. Scor Investment Partners a obtenu l’ensemble des approbations réglementaires nécessaires auprès des autorités concernées, notamment la Financial Conduct Authority (FCA) au Royaume-Uni. Cette acquisition, qui a été annoncée le 23 mai 2019, permet à Scor d’accélérer son développement dans le domaine des ILS (Insurance-Linked Securities), comme le prévoit son plan stratégique « Quantum Leap ».

Groupe Flo désigne le cabinet Finexsi en tant qu’expert indépendant

Groupe Flo désigne le cabinet Finexsi en tant qu’expert indépendant. Dans le cadre de l’annonce par Groupe Bertrand de son intention de déposer un projet d’OPA simplifiée, le conseil d’administration de Groupe Flo, réuni le 9 septembre, a constitué un comité ad hoc composé de Mme Dominique Esnault, Mme Christine de Gouvion Saint-Cyr et Mme Bénédicte Hautefort, administrateurs indépendants, afin qu’il examine les termes et conditions de l’opération qui pourrait être lancée et supervise les travaux de l’expert indépendant en veillant au bon déroulement de sa mission.

Sur proposition du comité ad hoc, le conseil d’administration a également choisi de désigner le cabinet Finexsi, représenté par MM. Olivier Péronnet et Lucas Robin, en qualité d’expert indépendant chargé d’établir un rapport sur les conditions financières du projet d’offre et, le cas échéant, du retrait obligatoire, conformément à l’article 261-1, I et II du règlement général de l’Autorité des marchés financiers.

Comme prévu par la règlementation, le conseil d’administration se réunira à nouveau pour émettre un avis motivé sur le projet d’offre après avoir pris connaissance du rapport de l’expert indépendant.

Dans l’hypothèse où Groupe Bertrand déposerait le projet d’OPA simplifiée, le rapport de l’expert indépendant et l’avis motivé du conseil d’administration de Groupe Flo figureront dans le projet de note en réponse de Groupe Flo qui sera déposé auprès de l’AMF.

L’AMF met en garde contre la technique de la bouilloire

L’AMF met en garde contre la technique de la bouilloire. L’Autorité des marchés financiers met en garde le public contre cette pratique frauduleuse visant à solliciter des investisseurs afin d’inciter à l’achat de produits financiers sur la base d’argumentaires sans rapport avec la valeur réelle de ces actifs et faisant miroiter des potentiels de hausse de cours très importants.

La « boiler room », ou technique de la bouilloire, est une pratique dans laquelle une entité ne bénéficiant d’aucune autorisation se présente comme une société de courtage ou une société de gestion d’actifs et approche les investisseurs – sans y être invitée et souvent par téléphone pour leur vanter le potentiel d’un actif dans lequel elle détient des intérêts. En utilisant des tactiques agressives de vente et en promettant des rendements élevés, l’objectif des manipulateurs est d’inciter à investir dans l’actif concerné pour leur permettre de céder leurs titres à un cours élevé.

Ce type de fraude, qui existe depuis de nombreuses années, peut porter sur des sociétés cotées sur différents marchés européens et peut viser les investisseurs particuliers dans toute l’Europe. L’AMF dispose d’indices conduisant à suspecter que des recommandations d’achat suspectes sont actuellement émises sur des actions cotées sur Euronext Access, à savoir : Media Lab (IT0005324105) ; Arthur Maury (FR0013268067) ; Design your Home (SE0007045380) ; Gour Medical (FR0013371507) ; Parx plastics (NL0012650535) ; Italy Innovazioni (IT0005336521). L’AMF dispose d’éléments indiquant que ces recommandations d’achat pourraient se baser sur des informations fausses ou trompeuses et/ou dissimulent des conflits d’intérêts existants. Certains agissements pourraient constituer des infractions pénales.

En préambule de l’analyse de la problématique de cette fraude, il convient de rappeler que les titres en cause concernent en grande majorité des sociétés cotées au double fixing, cotation qui s’applique aux titres les moins liquides. Ainsi, contrairement à la cotation en continu où la confrontation des ordres de bourse et la fixation du prix se font instantanément tout au long de la séance, le double fixing signifie qu’il n’y a que deux cotations par jour, le matin et l’après-midi respectivement à 11h30 et 16h30. Entre ces deux cotations, le carnet d’ordres se remplit des ordres d’achat et de vente sans qu’il n’y ait de cotation qui génère instantanément un prix.

L’AMF appelle les épargnants à la plus grande vigilance en les invitant à :

  • vérifier que l’intermédiaire financier qui propose ou conseille des investissements financiers est bien enregistré et/ou autorisé à exercer dans la juridiction dans laquelle la société prétend exercer ;
  • ne pas donner suite aux sollicitations d’entités non enregistrées ou autorisées et de ne pas les relayer auprès de tiers ;
  • déposer plainte auprès du tribunal de grande instance du lieu de l’éventuelle infraction et fournir aux autorités judiciaires compétentes toutes les informations possibles (références des transferts d’argent, contacts identifiés, adresses, mails ou courriels, Skype, etc.) ;
  • appliquer les règles de prudence indiquées ci-dessous et conserver les preuves de vos échanges (enregistrement de conversations téléphoniques, captures d’écran, etc.) si toutefois vous décidiez d’investir.

Altran fait le point sur l’opération proposée par Capgemini

Altran fait le point sur l’opération proposée par Capgemini, à l’occasion de la publication des résultats du 1er semestre 2019. Le 24 juin 2019, les deux sociétés ont conclu un accord de négociations exclusives par lequel Capgemini propose d’acquérir Altran, via une OPA amicale au prix de 14 € par action. L’accord a été approuvé à l’unanimité par les deux conseils d’administration. Le 11 août 2019, Capgemini et Altran ont signé un accord qui fixe les termes et conditions du projet d’acquisition d’Altran par Capgemini dans le cadre de cette offre amicale. Le dépôt de l’OPA est soumis au respect de certaines conditions suspensives usuelles, notamment en matière d’autorisations réglementaires (notamment CFIUS aux Etats-Unis et les autorisations des autorités de contrôle des concentrations). L’OPA sera soumise à un seuil d’acceptation fixé à 50,10% du capital et des droits de vote d’Altran, sur une base totalement diluée. « L’opération est en bonne voie », conclut Altran.

Casino : Vesa Equity Investment détient 4,63% du capital

Casino : Vesa Equity Investment détient 4,63% du capital. Vesa Equity Investment est un véhicule d’investissement détenu par MM. Daniel Křetínský, actionnaire de contrôle (53%) et Patrik Tkáč (47%). Ce sont des investisseurs de long terme y compris dans le secteur de la distribution en Europe, avec une participation de 17,52% dans le groupe Metro AG et des options pour accroître cette dernière jusqu’à 29,9% ou jusqu’à 32,71%, ainsi qu’une participation de 40% dans Mall Group, un acteur majeur d’e-commerce en Europe centrale et orientale dont le chiffre d’affaires dépasse 630 millions d’euros. « Casino, Guichard-Perrachon a su investir dans la modernisation de son modèle. Nous apportons ainsi notre soutien au management du groupe Casino et adhérons pleinement à sa vision stratégique à long terme », a déclaré M. Křetínský.

Vivendi déplore l’adoption d’une résolution

Vivendi déplore l’adoption d’une résolution relative au projet de fusion de Mediaset dans Media For Europe lors de l’assemblée générale extraordinaire de Mediaset qui s’est tenue aujourd’hui. « Cette résolution a été adoptée grâce au vote décisif de Fininvest, un vote pris à l’encontre de tous les droits fondamentaux des actionnaires minoritaires, et grâce à l’interdiction illégale faite à Simon Fiduciaria de voter, explique Vivendi dans un communiqué. Cette interdiction a été décidée par le Conseil d’administration de Mediaset, en s’appuyant sur une interprétation du droit italien des médias contraire au traité de l’Union européenne ».

« La fusion elle-même entraînerait la suppression totale et immédiate des droits des actionnaires minoritaires, sans leur payer de prime, ajoute Vivendi. La gouvernance proposée aujourd’hui aux actionnaires n’existe pas aux Pays-Bas, pays dans lequel Media For Europe devrait être établi. La fusion n’est pas créatrice de valeur pour les actionnaires. A travers ses multiples décisions illégales, Mediaset a placé la société dans une situation préjudiciable de grave incertitude juridique ».

Toutes les décisions prises par Mediaset seront minutieusement examinées. Vivendi utilisera tous les recours juridiques à sa disposition dans toutes les juridictions concernées, tant au niveau national qu’européen, pour contester le projet Media For Europe.

Vivendi déplore la décision prise par Mediaset

Vivendi déplore la décision prise par Mediaset de refuser le droit de vote à Simon Fiduciaria. « L’assemblée générale extraordinaire de Mediaset, qui se tient aujourd’hui, est illégale, le conseil d’administration de Mediaset ayant empêché Simon Fiduciaria de voter, en s’appuyant sur une interprétation du droit italien des médias contraire au traité de l’Union européenne », explique Vivendi dans un communiqué. « Mediaset ne tient compte ni des droits les plus élémentaires des actionnaires ni des principes de gouvernance d’entreprise, son seul objectif étant de favoriser Fininvest sans même reconnaître une prime aux actionnaires minoritaires ». Vivendi utilisera tous les recours juridiques possibles dans tous les pays et toutes les juridictions concernés pour contester la légalité du projet de nouvelle entité.

Le PDG du groupe Hybrigenics, Rémi Delansorne, s’adresse aux actionnaires

Le PDG du groupe Hybrigenics, Rémi Delansorne, s’adresse aux actionnaires, afin de les convaincre d’aller voter en faveur du rapprochement avec DMS, « une alternative permettant d’éviter la liquidation ». « Ce vendredi 6 septembre est convoquée l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires d’Hybrigenics appelés à se prononcer sur le projet de rapprochement avec DMS, explique-t-il. Il s’agit d’une opération d’apport à Hybrigenics de DMS Biotech, le pôle d’activités de DMS Group qui porte sa stratégie de diversification dans le domaine des biotechnologies, en particulier dans la recherche et le développement de la médecine régénératrice basés sur l’injection de cellules souches adipeuses, par exemple pour le traitement de l’arthrose. DMS Biotech génère déjà du chiffre d’affaires en commercialisant des dispositifs de lipofilling (technique chirurgicale d’autogreffe utilisant le tissu adipeux) en chirurgie plastique et reconstructive. En échange de cet apport, DMS Group deviendrait actionnaire à 80% d’Hybrigenics ». Et d’ajouter : « L’évaluation par le commissaire à la scission et aux apports désigné par le Tribunal de Commerce a conclu à l’équité de l’opération et un traité d’apport a été signé. Le projet est désormais soumis à l’approbation des actionnaires respectifs d’Hybrigenics et de DMS Group à l’occasion d’assemblées générales extraordinaires, pour lesquelles le quorum de 25% des votes est indispensable en première convocation ».

B*capital fusionne avec sa filiale Portzamparc Société de Bourse

B*capital fusionne avec sa filiale Portzamparc Société de Bourse. La nouvelle société, Portzamparc, vise à accompagner les clients privés, les sociétés de gestion et les PME-ETI qui souhaitent investir ou se financer en Bourse. Depuis 150 ans, Portzamparc accompagne des clients privés, des entreprises et des sociétés de gestion sur les marchés financiers. B*capital, filiale de BNP Paribas, est le résultat du rapprochement en 1987 de plusieurs sociétés de Bourse (du Bouzet, Saintoin-Roulet, Brac de la Perrière, puis Courcoux Bouvet). Elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des investisseurs privés sur les marchés financiers, avec notamment ces dernières années l’application de la finance comportementale à la gestion de portefeuille.

En 2009, B*capital a pris une participation majoritaire dans le capital de Portzamparc Société de Bourse. Aujourd’hui, les deux entreprises se rassemblent sous une marque unique Portzamparc avec un logo qui montre l’appartenance au groupe BNP Paribas. Portzamparc se positionne désormais comme un acteur de référence en France de l’accompagnement des clients privés et des PME-ETI qui investissent ou se financent en Bourse et des institutionnels qui gèrent des actifs Mid & Small caps.

Portzamparc compte désormais 180 experts de la Bourse, présents dans quatre grandes villes françaises – Nantes, Paris, Lyon et Marseille – pour accompagner ses clients au quotidien. Les clients privés bénéficient également des services digitaux de B*capital et Portzamparc : un site internet et une application de passage d’ordres de Bourse, l’accès à une plateforme de trading en temps réel et l’application B*Fi, première application mobile dédiée à la finance comportementale.

Vivendi se réjouit de la décision prise par le Tribunal de Milan

Vivendi se réjouit de la décision prise par le Tribunal de Milan qui reconnaît son droit à prendre part et à voter en tant qu’actionnaire (à hauteur de 9,99 % des droits de vote compte tenu du transfert du reste de ses titres à Simon Fiduciara) à l’assemblée générale extraordinaire de Mediaset le 4 septembre 2019. A cette assemblée, Vivendi confirme qu’il a l’intention de voter contre le projet de fusion de Mediaset au sein de Media for Europe NV (MFE), ceci après avoir évalué les droits dont les actionnaires minoritaires, en particulier Vivendi, seraient indûment privés dans le cadre des statuts proposés pour MFE.  

Cerenis Therapeutics devient Abionyx Pharma

Cerenis Therapeutics devient Abionyx Pharma. Suite à l’assemblée générale mixte du 21 juin 2019, les actionnaires de société biotech ont adopté la proposition de nouvelle dénomination sociale, qui est désormais Abionyx Pharma. A compter du 29 août 2019, le libellé, le code ISIN et le mnémonique de l’action cotée sur Euronext Paris seront les suivants : Abionyx Pharma (en remplacement de Cerenis Therapeutics), code ISIN : FR0012616852 (inchangé), code mnémonique : ABNX (en remplacement de CEREN).

Casino prend acte de la recommandation positive du comité d’audit

Casino prend acte de la recommandation positive du comité d’audit et des risques d’Éxito sur la proposition de Casino d’acquérir la participation indirecte de 50% d’Éxito dans Segisor et de la décision du conseil d’administration d’Éxito de convoquer une assemblée extraordinaire des actionnaires. Celle-ci aura lieu le 12 septembre 2019 au siège d’Éxito situé dans la ville d’Envigado, en Colombie. Les opérations du projet de simplification demeurent soumises à certaines autorisations dont elles doivent faire l’objet de la part des organes de gouvernance concernés.

Total signe plusieurs accords permettant à Qatar Petroleum

Total signe plusieurs accords permettant à Qatar Petroleum d’acquérir une partie de ses participations en Namibie, au Guyana et au Kenya. A la clôture de ces transactions, qui restent soumises à l’approbation des autorités compétentes, Qatar Petroleum deviendra partenaire de Total dans chacun des pays suivants :

  • Namibie
    Total cèdera à Qatar Petroleum une participation de 30% dans le bloc 2913B et conservera une participation de 40%. Total cèdera également à Qatar Petroleum 28,33% dans le bloc 2912 et conservera 37,78%. Ces deux blocs sont situés en eaux profondes, dans le bassin Orange au large de la Namibie. Un premier puits d’exploration est prévu l’année prochaine sur le bloc 2913B.
  • Guyana
    Qatar Petroleum aura 40% de la société détenant les participations existantes de Total sur le bloc Orinduik (25%) et Kanuku (25%), Total conservant 60% de cette société. Ces permis sont situés dans le bassin prolifique du large du Guyana et sont adjacents au bloc Stabroek. Après la découverte de Jethro réalisée sur le permis d’Orinduik ce mois-ci, un second puits d’exploration (Joe-1) est actuellement en cours sur ce même bloc. Il sera suivi d’un troisième (Carapa-1) plus tard dans l’année sur le permis de Kanuku.
  • Kenya
    Total transfèrera, conjointement avec ENI, une participation combinée de 25% dans les blocs L11A, L11B et L12 à Qatar Petroleum, réduisant sa participation propre de 45% à 33,75%. Ces trois permis sont situés en eaux profondes, au large du Kenya, et un puits d’exploration est prévu sur le bloc L11B en 2020.

En 2013, Qatar Petroleum est devenu actionnaire de Total E&P Congo, détenant 15% de son capital. En 2018, Total a cédé une participation de 25% dans le permis 11B/12B qu’il opère en Afrique du Sud, sur lequel la découverte de Brulpadda a eu lieu récemment.

Thyssenkrupp porte plainte contre Bruxelles

Thyssenkrupp porte plainte contre Bruxelles. Le groupe industriel allemand dépose une plainte auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne contre la décision de la Commission européenne d’interdire la création d’une entreprise commune dans le domaine de l’acier plat européen avec Tata Steel. La Commission avait justifié sa décision en affirmant qu’une entreprise commune entre Thyssenkrupp et Tata Steel restreindrait la concurrence en Europe sur certains types d’acier à un point tel que l’on pouvait s’attendre à des augmentations de prix pour les clients et les consommateurs. La Commission a estimé que les recours proposés par les parties étaient insuffisants.

Thyssenkrupp ne partage pas ces préoccupations. La Commission a procédé à une « définition de marché restrictive » et « n’a pas suffisamment tenu compte de l’importance structurelle des importations en Europe, du pouvoir d’achat côté acheteur et des substitutions possibles par des matériaux d’emballage et des méthodes de galvanisation alternatifs », explique le groupe. Sans oublier les engagements présentés qui « auraient été suffisants pour éliminer les problèmes de concurrence ».

« La consolidation de l’industrie sidérurgique européenne est toujours juste et nécessaire, comme le montre la situation critique du marché pour les fabricants d’acier, a déclaré Donatus Kaufmann, membre du conseil d’administration de Thyssenkrupp. Les surcapacités et la forte pression des importations asiatiques créent un environnement dans lequel le projet d’entreprise commune avec Tata Steel n’aurait pas nui à la concurrence. Nous regrettons la décision de la Commission européenne et la considérons comme fausse et erronée. C’est pourquoi nous déposons une plainte ».

Casino valide de nouveaux arbitrages d’actifs

Casino valide de nouveaux arbitrages d’actifs, en France, pour 2 milliards d’euros. Dans le cadre de la préparation de son plan stratégique 2022, le conseil d’administration a confirmé, pour la France, l’ensemble des orientations suivantes : accentuation du positionnement unique du Groupe sur les formats (l’e-commerce, le premium et la proximité) et géographies porteurs ; accélération sur les nouveaux métiers à forte croissance (énergie, data et publicité, data centers) ; en matière financière, priorité à la génération de cash-flows récurrents. Ces orientations stratégiques, qui accentuent les axes prioritaires du plan 2019-2021, permettront à Casino de capitaliser sur ses positions de leadership, et de poursuivre la croissance de ses résultats dans un marché français en profonde transformation, explique le groupe de distribution.

Dans ce cadre, et au vu de l’avance constatée sur la première phase du plan de cession (2,5 milliards d’euros à réaliser d’ici le 1ertrimestre 2020, dont 2,1 milliards signés à ce jour), la revue détaillée des actifs en France a été achevée. Le conseil d’administration a validé l’arbitrage des actifs dont la cession serait source de création de valeur. Il en résulte l’identification de nouvelles cessions d’actifs pour un montant cible de 2 milliards, cette deuxième phase du plan de cession étant à réaliser d’ici la fin du 1ertrimestre 2021.

Ce processus parachève la transformation du modèle commercial entamée depuis plusieurs années. Le Groupe disposera ainsi, en France, d’un ensemble d’activités adaptées aux nouveaux besoins des consommateurs et bénéficiant de synergies accentuées par la cohérence de leur positionnement.

La BCE ferme le site internet compromis du BIRD

La BCE ferme le site internet compromis du BIRD. La Banque centrale européenne a annoncé jeudi que des tiers non autorisés avaient violé les mesures de sécurité protégeant le site internet de son dictionnaire sur le reporting intégré des banques (Banks’ Integrated Reporting Dictionary – BIRD), qui est hébergé par un prestataire extérieur. Les données de contact (mais pas les mots de passe) de 481 abonnés à la newsletter du BIRD ont probablement été récupérées. Les informations concernées sont les adresses électroniques, les noms et l’intitulé des fonctions des abonnés. La BCE contacte les personnes dont les données ont pu être touchées. Les pirates ont réussi à injecter des programmes malveillants dans le serveur externe, pour faciliter les activités d’hameçonnage (phishing). Le site externe du BIRD a été fermé jusqu’à nouvel ordre. Ni les systèmes internes ni les données sensibles de marché de la BCE n’ont été affectés.

Le site internet du BIRD permet au secteur bancaire d’obtenir des informations détaillées sur la façon de produire des rapports statistiques et prudentiels. Il est physiquement séparé de tout autre système interne ou externe de la BCE. Le piratage a été constaté lors de travaux de maintenance réguliers. L’infraction a été signalé au contrôleur européen de la protection des données. La BCE prend les mesures nécessaires afin de garantir que le site puisse de nouveau fonctionner en toute sécurité.

Broadcom acquiert l’activité de sécurité d’entreprise de Symantec

Broadcom acquiert l’activité de sécurité d’entreprise de Symantec. Après avoir échoué à acquérir Qualcomm, le fabricant américain de semi-conducteurs continue ses emplettes et a signé un accord en vue d’acquérir la division cybersécurité dédiée aux entreprises de Symantec pour un montant de 10,7 milliards de dollars. Broadcom estime que cette opération devrait générer plus de 2 milliards de dollars de revenus durables et environ 1,3 milliard d’Ebitda pro forma, synergies comprises. La transaction, qui devrait être conclue au cours du premier trimestre de l’exercice financier de Broadcom 2020, est soumise à l’approbation des autorités réglementaires des États-Unis, de l’Union européenne et du Japon et à d’autres conditions de clôture habituelles.

Europlasma : Zigi Capital devient l’actionnaire de référence

Europlasma : Zigi Capital devient l’actionnaire de référence. Cette société a souscrit à 46.478.821 actions nouvelles dans le cadre d’une augmentation de capital d’un montant de 4.647.882,10 € réalisée par voie de compensation avec une créance acquise par Zigi Capital auprès de certains créanciers obligataires d’Europlasma. Cette augmentation de capital s’inscrit dans le cadre du plan de redressement par voie de continuation des sociétés du Groupe validé par le Tribunal de commerce de Mont-de-Marsan par décision du 2 août dernier. A l’issue de cette augmentation de capital, Zigi Capital détient ainsi 83.662.046 actions, représentant environ 20% du capital social d’Europlasma. Zigi Capital devient ainsi l’actionnaire de référence d’Europlasma.

Bourbon : ouverture d’une procédure de redressement judiciaire

Bourbon : ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. A la demande de Bourbon Corporation et de Bourbon Maritime, le Tribunal a décidé l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire en date du 7 août pour la société holding Bourbon Corporation et sa sous-holding Bourbon Maritime.

Bourbon Corporation avait demandé l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire du fait des appels en garantie de la société chinoise ICBC Leasing représentant un montant de plus de 800 millions de dollars.

Alors que Bourbon Maritime faisait l’objet d’une procédure de conciliation, la société a demandé l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire du fait de l’accélération par certains prêteurs français du remboursement de leurs créances représentant un montant de 720 millions d’euros augmenté des intérêts contractuels.

La procédure de redressement judiciaire ne concerne que les sociétés holding Bourbon Corporation et Bourbon Maritime et non les sociétés opérationnelles, qui peuvent poursuivre leur fonctionnement normalement et continuer de répondre aux besoins des clients.

L’objectif de Bourbon Corporation et de Bourbon Maritime est de préserver au mieux les activités opérationnelles du groupe afin de pouvoir participer activement à la reprise qui s’amorce d’un marché en profonde mutation. C’est ainsi que Bourbon poursuit la transformation radicale de son modèle d’affaires, en déployant le plan d’action stratégique #Bourboninmotion.

Dans le cadre du redressement judiciaire, Bourbon s’attachera particulièrement à l’issue positive des négociations avec ses partenaires financiers afin de pouvoir évoluer dans un contexte stabilisé qui résulterait d’une restructuration financière équitable pour tous et dans l’intérêt de la société et de ses salariés.

Pour rappel, la procédure de redressement judiciaire est une procédure collective qui gèle le passif existant à l’ouverture de la procédure pendant la période d’observation qui peut durer jusqu’à 18 mois. Cette procédure a pour objectif de permettre au débiteur de présenter un plan de continuation de ses activités par le réaménagement de son endettement – qui peut être étalé sur une période maximale de 10 ans – et d’assurer son redressement.

Europcar Mobility Group acquiert Fox Rent A Car

Europcar Mobility Group acquiert Fox Rent A Car. En ligne avec SHIFT 2023, Europcar Mobility Group, leader de la location de véhicules en Europe avec une part de marché de 27%, annonce ce jour avoir signé un accord avec les 3 fondateurs de Fox Rent A Car, un des plus importants acteurs indépendants de location de véhicules aux Etats-Unis, pour acquérir 100% de son capital.

Cette acquisition stratégique, qui sera la dernière du programme de M&A transformationnel du Groupe débuté il y a 3 ans, marque une étape clé dans la mise en œuvre de SHIFT 2023, sa feuille de route visant à atteindre 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 15 millions de clients actifs à horizon 2023.

Fox Rent A Car opère un réseau de 21 stations corporate et de plus de 100 en franchise. L’entreprise est présente dans 15 des 25 plus grands aéroports américains, avec un positionnement « qualité au meilleur prix » attractif et une flotte d’environ 18.000 véhicules. Elle connaît une forte dynamique de croissance organique (6,4% de croissance moyenne du chiffre d’affaires entre 2013 et 2018). En 2018, Fox Rent A Car a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 280 millions de dollars.

Europcar Mobility Group anticipe que l’impact de cette transaction soit neutre sur le bénéfice par action en 2020 et relutif dès 2021. Le financement de l’acquisition sera réalisé en cash ainsi qu’en actions auto-détenues. Son impact global sur le levier d’endettement corporate du groupe sera inférieur à 0,3 fois en fin d’année 2019. La transaction est soumise aux conditions suspensives usuelles, avec un closing qui devrait avoir lieu dans le courant du quatrième trimestre 2019.

Vivendi et Tencent entrent en négociations préliminaires

Vivendi et Tencent entrent en négociations préliminaires pour un investissement stratégique de 10% du capital d’Universal Music Group (UMG) à une valeur d’entreprise de 30 milliards d’euros pour 100% d’UMG sur une base totalement diluée. Tencent disposerait en outre d’une option d’achat d’un an pour acquérir une participation supplémentaire de 10% au même prix et dans les mêmes conditions.

Vivendi et Tencent étudient également en parallèle différents domaines de coopération commerciale à caractère stratégique. Dans ce contexte, Vivendi est très intéressé par la possibilité d’une coopération renforcée qui permettra à UMG de bénéficier des opportunités de croissance qu’offrent la numérisation et l’ouverture de nouveaux marchés. Avec Tencent, Vivendi « espère renforcer la promotion des artistes d’UMG avec lesquels le plus beau des catalogues d’enregistrements et de chansons jamais réalisé a été constitué ». Vivendi souhaite également rechercher et promouvoir de nouveaux talents sur de nouveaux marchés. Vivendi est convaincu que ce nouveau partenariat stratégique serait créateur de valeur à la fois pour Tencent et UMG.

Cette opération est soumise à une due diligence d’UMG et à la finalisation de la documentation juridique. Vivendi poursuit par ailleurs le processus de cession d’une participation minoritaire supplémentaire d’UMG à d’autres partenaires potentiels.

Claranova : le regroupement d’actions prend effet ce jeudi 1eraoût

Claranova : le regroupement d’actions prend effet ce jeudi 1eraoût. Cet acteur global de l’Internet et du mobile annonce aujourd’hui la finalisation de l’opération de regroupement de ses actions par échange de 1 action nouvelle contre 10 actions existantes, approuvée par les actionnaires réunis en assemblée générale extraordinaire le 11 juin 2019, et sa prise d’effet à compter de ce jour.

Les actions anciennes Claranova (code ISIN : FR0004026714) ont été radiées du marché Euronext après la clôture du marché le 31 juillet 2019 et ont été remplacées par les actions Claranova nouvelles (code ISIN : FR0013426004) le 1eraoût 2019. Le code mnémonique (CLA) reste inchangé.

La valeur nominale de l’action Claranova a été augmentée proportionnellement à la parité de regroupement en passant de 0,10 € à 1 €. Le capital social s’élevant à 39.442.878 € est désormais divisé en 39 442 878 actions ordinaires de 1 € de valeur nominale chacune, incluant 2.421.251 actions auto-détenues. Le nombre d’actions ordinaires sous-jacentes aux obligations remboursables en numéraire et/ou en actions nouvelles ou existantes (ORNANE) a été ajusté en conséquence1.

Les titres Claranova restent éligibles au dispositif PEA-PME régi par le décret d’application n° 2014-283 en date du 4 mars 2014 et au Service de Règlement Différé Long Seulement (SRD Long Only). Il est précisé qu’à compter de ce jour les actions nouvelles qui n’ont pas pu être attribuées individuellement et qui correspondent à des droits formant rompus seront vendues automatiquement par bloc sur le marché par les intermédiaires financiers. Ils tiendront le produit de la vente à disposition de leurs clients actionnaires dans un délai de 30 jours.

Fashion Bel Air : belle plus-value sur l’exercice

Fashion Bel Air : belle plus-value sur l’exercice. L’entreprise spécialisée dans la création de prêt-à-porter fémininannonce qu’au terme d’une procédure d’éviction initiée par le bailleur des locaux de la boutique située 26 avenue des Champs-Elysées, 75008 Paris, et suite à un rapport d’expertise judiciaire, elle a perçu une indemnité d’éviction. Cette indemnité représente une plus-value brute de 5,5 millions d’euros qui se traduira dans les comptes de l’exercice en cours dont la clôture est au 31 mars 2020. D’autres arbitrages de boutiques dans le réseau sont en cours de réalisation et devraient générer des plus-values de cession sur l’exercice, est-il précisé.

Fnac Darty finalise l’acquisition de Nature & Découvertes

Fnac Darty finalise l’acquisition de Nature & Découvertes, leader de la distribution omnicanale de produits naturels et de bien-être, conformément aux termes communiqués le 16 avril 2019, après avoir obtenu les autorisations nécessaires de la part des autorités compétentes. Le groupe rachète ainsi 100% des titres en circulation.

Créé en 1990, Nature & Découvertes propose une offre de produits unique avec notamment un réseau de 97 magasins en Europe et un site internet enregistrant plus de 17 millions de visiteurs par an. Grâce à cette acquisition, Fnac Darty poursuit la diversification de son offre produits en intégrant une marque forte, dont l’adhésion aux valeurs de curiosité, de découverte et de bien-être vient renforcer et enrichir son positionnement stratégique, et dont l’ADN est complémentaire aux enseignes du groupe.

Des premiers shop-in-shops ouvriront en France dès le 2e semestre 2019 au sein de magasins Fnac pour valoriser la puissance de la marque, et l’expansion de l’enseigne en Péninsule Ibérique devrait être déployée rapidement. L’activité de Nature & Découvertes devrait être consolidée dans les comptes de Fnac Darty à partir du 1er août

Reworld Media annonce l’acquisition définitive de Mondadori France

Reworld Media annonce l’acquisition définitive de Mondadori France, après avoir obtenu les accords nécessaires et réuni les conditions prévues aux termes du protocole d’accord communiqués le 19 avril 2019. Ce rapprochement donne naissance à l’un des principaux acteurs européens des médias et au 1er groupe de presse magazine français avec plus de 50 marques média sur des thématiques phares (femme, auto/sport, décoration, nature, sciences/loisirs, info divertissement) dans l’édition magazine et digitale, plus de 1 100 collaborateurs répartis dans 11 pays et un chiffre d’affaires annuel global de 483 M€ et un Ebitda de 37,2 millions d’euros.

Le nouvel ensemble associe par ailleurs des compétences complémentaires, génératrices d’un fort potentiel sur un marché des médias en pleine évolution. Reworld Media apporte son savoir-faire dans la digitalisation, la création de nouveaux revenus et le développement des audiences à l’instar de ce que le groupe a réalisé depuis plusieurs années, et Mondadori France apporte la puissance de ses marques média, ses compétences éditoriales ainsi que sa forte expertise des activités magazine.

Arkema annonce le projet d’acquisition de Lambson

Arkema annonce le projet d’acquisition de Lambson, société spécialisée dans les photoinitiateurs pour la photoréticulation, technologie répondant aux exigences de marchés de pointe tels que l’électronique, l’impression 3D, les encres, les composites et les revêtements haute performance. Ces solutions complèteront l’offre de Sartomer, leader mondial des résines photoréticulables, et permettront d’accélérer son développement sur ce marché en forte croissance. Cette opération contribuera à renforcer encore la part des spécialités dans le portefeuille d’Arkema, en ligne avec son ambition long terme. Cette société, historiquement basée en Grande-Bretagne, réalise un chiffre d’affaires d’environ 45 millions d’euros. Le closing de l’opération est attendu au quatrième trimestre 2019, sous réserve de l’approbation des autorités de la concurrence des pays concernés.

Reworld Media annonce une offre d’achat en vue de l’acquisition de Sports.fr et Football.fr

Reworld Media annonce une offre d’achat en vue de l’acquisition de Sports.fr et Football.fr auprès du groupe Lagardère. Edités par Newsweb, agence digitale de Lagardère Active, Sports.fr et Football.fr sont des médias référents dans leurs domaines. Ils affichent au global 40 millions de pages vues par mois sur leurs sites et applications mobiles (source Google Analytics), et regroupent une communauté de près de 4 millions de fans sur les réseaux sociaux.

L’acquisition de ces sites renforcerait significativement la présence du Groupe Reworld Media dans le « sport », secteur dans lequel le Groupe Reworld Media est déjà très présent via l’édition des marques « Auto Moto », « F1i », « Football365 », « Mercato365 », « sport365 », « Rugby 365 » et « DZFoot ». Si cette opération se réalisait, le Groupe Reworld Media détiendrait la plus large offre média sur la thématique sport dans le digital derrière « l’Equipe », et regrouperait près de 6 millions de fans de sports sur ses réseaux sociaux.

Les instances représentatives du personnel compétentes au sein de la société Newsweb seront préalablement informées et consultées. Cette offre d’acquisition s’inscrit deux mois après l’acquisition de DZFoot, 1er site francophone sur l’actualité du football algérien. Via cette succession d’acquisitions dans le sport en quelques mois, Reworld Media entend offrir aux annonceurs des univers éditoriaux de qualité, qui touchent une audience affinitaire et des plus puissantes dans le domaine du sport.

Eurazeo PME signe un accord avec le Groupe Bertrand en vue de la cession de Léon de Bruxelles

Eurazeo PME signe un accord avec le Groupe Bertrand en vue de la cession de Léon de Bruxelles. Le pôle d’investissement d’Eurazeo, spécialisé dans les entreprises de taille intermédiaire, annonce avoir reçu du Groupe Bertrand une offre ferme d’achat portant sur la totalité de sa participation dans Léon de Bruxelles, et avoir consenti à cet acteur majeur de la restauration en France une exclusivité de négociation. La consultation des instances représentatives du personnel a été initiée et ce projet demeure soumis à l’avis des autorités de la concurrence. L’opération permettrait à Eurazeo PME de réaliser un produit de cession total de 24,1 millions d’euros, soit un multiple de 1,5 fois.

Avec Eurazeo PME comme actionnaire de référence depuis avril 2008, aux côtés de Céréa Partenaire et sous l’impulsion de Michel Morin puis de Laurent Gillard, le groupe a connu une transformation profonde. Le parc de restaurants a évolué de 44 à 82 restaurants, principalement en exploitation directe. Léon de Bruxelles a par ailleurs travaillé à la modernisation de sa marque et à l’adaptation de son offre à la demande des consommateurs par le biais de trois axes principaux : le développement de nouveaux concepts (Léon de B. et Fish’Tro), le travail sur la qualité et la fraîcheur de ses produits, et l’adaptation aux nouvelles tendances de consommation (click and collect, livraison à domicile). En 2018, Léon de Bruxelles a réalisé un chiffre d’affaires de 117 millions d’euros.

DMS Group convoque ses actionnaires

DMS Group convoque ses actionnaires à une assemblée générale mixte le 3 septembre 2019 en vue notamment d’approuver le projet de prise de contrôle d’Hybrigenics par voie d’apport partiel d’actif du pôle DMS Biotech. Le 20 juin 2019, Diagnostic Medical Systems Group avait fait un point d’étape. Les vérifications nécessaires et les analyses appropriées ont été effectuées et un commissaire à la scission et aux apports a été désigné par le Tribunal de commerce de Montpellier.

L’évaluation par le commissaire à la scission et aux apports a conclu à l’équité de l’opération et un traité d’apport a été signé. Ce projet d’apport partiel d’actif est donc désormais soumis à l’approbation des actionnaires respectifs d’Hybrigenics et de DMS Group lors d’assemblées générales extraordinaires.

En cas d’approbation des actionnaires, à l’issue de l’opération (émission d’actions nouvelles Hybrigenics en rémunération de l’apport de DMS Biotech), DMS Group détiendrait 80% du capital social d’Hybrigenics et les actionnaires d’Hybrigenics (avant l’opération) en possèderaient 20%.

Ce projet de rapprochement est conditionné notamment à l’obtention par DMS Group d’une dérogation de l’Autorité des marchés financiers (AMF) à l’obligation de déposer une offre publique sur les titres Hybrigenics. Sous réserve de l’obtention de cette dérogation, l’apport partiel d’actif devra être effectif avant le 31 décembre 2019.

En conséquence, les actionnaires de DMS sont convoqués en assemblée générale ordinaire et extraordinaire, le 3 septembre 2019 à 10 heures sur 1ère convocation (ou 16 septembre 2019 à 15 heures sur 2e convocation), au Parc Club du Millénaire – Bâtiment 11, 1 025 rue Henri Becquerel 34000 Montpellier.

Au cours de cette assemblée générale mixte, l’approbation des comptes annuels 2018 et l’approbation du projet de traité d’apport partiel d’actif par DMS Group à Hybrigenics de sa branche d’activité DMS Biotech seront notamment soumis au vote des actionnaires de DMS Group.

CNP Assurances fait un point d’étape

CNP Assurances fait un point d’étape. Le conseil d’administration de CNP Assurances, au cours de sa séance du 26 juillet 2019, a fait le point sur la mise en œuvre du projet d’évolution de son actionnariat porté par ses actionnaires publics dans la perspective de la création du grand pôle financier public, par rapprochement de la CDC et de La Poste, tel qu’annoncé le 30 août 2018 et dans lequel CNP Assurances s’inscrira en tant que filiale contrôlée par La Banque Postale.

Dans la ligne des conclusions de sa séance du 4 juin 2019, le conseil d’administration de CNP Assurances a approuvé les principes selon lesquels le directeur général établira d’ici la fin de l’année 2019 avec BPCE un avenant au partenariat commercial entre les deux groupes afin notamment de porter son échéance du 31 décembre 2022 au 31 décembre 2030 et de fixer la répartition en co-assurance des emprunteurs à 50-50 entre Natixis Assurances et CNP Assurances à compter du 1er janvier 2020.

Par ailleurs, suite à la dénonciation du pacte d’actionnaires actuellement en vigueur et dont l’échéance sera donc le 31 décembre 2019, La Banque Postale et BPCE ont fait connaître au conseil d’administration leur intention de conclure un nouveau pacte prenant effet avec le changement d’actionnariat par lequel La Banque Postale détiendra 62,13 % du capital de CNP Assurances.

En application de ce nouveau pacte, BPCE, qui sera au terme de cette évolution de l’actionnariat, détenteur de 16,11% du capital de CNP Assurances, maintiendrait sa représentation dans les instances de gouvernance de CNP Assurances tant au conseil d’administration que dans ses comités spécialisés.

Europlasma : la date du délibéré prorogée au 2 août 2019

Europlasma : la date du délibéré prorogée au 2 août 2019. Le Tribunal de commerce de Mont-de-Marsan a examiné le projet de plan de continuation présenté par la société Zigi Capital S.A. pour les sociétés du groupe Europlasma lors d’une audience qui s’est tenue mardi 16 juillet 2019. Par ordonnance rendue le 24 juillet 2019, le président du Tribunal a décidé de proroger la date du délibéré jusqu’au 2 août 2019 afin de permettre au mandataire judiciaire d’obtenir toutes les réponses sur le projet du plan de redressement de la part des créanciers.

Bourbon demande l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire

Bourbon demande l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire du fait des appels en garantie de la société chinoise ICBC Leasing. La procédure de redressement judiciaire ne concernera que la société holding Bourbon Corporation et non les sociétés opérationnelles, qui pourront poursuivre leur fonctionnement normalement et continuer de répondre aux besoins des clients. L’objectif de Bourbon est de préserver au mieux les activités opérationnelles du groupe afin de pouvoir participer activement à la reprise qui s’amorce d’un marché en profonde mutation. La cotation de l’ensemble des titres émis par Bourbon reprendra le 26 Juillet à l’ouverture du marché.

Pour rappel, la procédure de redressement judiciaire est une procédure collective qui gèle le passif existant à l’ouverture de la procédure pendant la période d’observation qui peut durer jusqu’à 18 mois. Cette procédure a pour objectif de permettre au débiteur de présenter un plan de continuation de ses activités par le réaménagement de son endettement – qui peut être étalé sur une période maximale de 10 ans – et d’assurer son redressement.

Primonial a finalisé l’acquisition des 60% des titres de La Financière de l’Echiquier

Primonial a finalisé l’acquisition des 60% des titres de La Financière de l’Echiquier, suite à l’obtention de la levée des conditions suspensives par l’Autorité des Marchés Financiers et l’approbation de l’Autorité de la Concurrence. Le groupe Primonial est désormais actionnaire à 100% de La Financière de l’Echiquier.

Biophytis annonce le retrait de son offre globale sur le Nasdaq

Biophytis annonce le retrait de son offre globale sur le Nasdaq. Cette société de biotechnologie spécialisée dans le développement de nouveaux traitements pour les maladies liées à l’âge annonce avoir demandé à la SEC de retirer sa déclaration d’enregistrement et qu’elle va reporter son intention de s’introduire sur le Nasdaq en raison de conditions de marché défavorables. La déclaration d’enregistrement n’a pas été validée par la SEC et aucun titre n’a été vendu dans le cadre de l’offre globale décrite. La société à l’intention d’envisager d’autres options financières.

Casino prend position sur le projet d’OPA de GPA sur Éxito

Casino prend position sur le projet d’OPA de GPA sur Éxito. Le 24 juillet 2019, dans le cadre d’un projet de simplification de la structure du Groupe Casino en Amérique Latine, le conseil d’administration de Casino a approuvé la décision d’apporter la participation de 55,3% détenue dans Éxito à l’offre publique d’achat de GPA ; et d’offrir à Éxito de lui acheter, immédiatement après le règlement-livraison de l’OPA de GPA, la participation qu’Éxito détient dans GPA au travers de la société française Segisor (elle-même détentrice de 99,9% des droits de vote et de 37,3% des intérêts économiques dans GPA), pour un prix déterminé à partir d’une valeur de 109 BRL par action GPA.

Ce prix représente une prime de 24% sur la moyenne pondérée par les volumes des cours de GPA sur les trois derniers mois précédant le 27 juin 2019, date à laquelle la possibilité qu’une OPA de GPA soit lancée a été publiquement annoncée. Ce même jour, Casino prend acte de la décision prise par le conseil d’administration de GPA de lancer, par l’intermédiaire d’une filiale détenue à 100%, une OPA en numéraire visant la totalité du capital d’Éxito pour un prix de 18.000 COP par action. Ce prix représente une prime de 26% sur la moyenne pondérée par les volumes des cours d’Éxito sur les trois derniers mois précédant le 27 juin 2019.

Le dépôt par GPA de son offre publique auprès de l’autorité boursière colombienne (SFC) interviendra après que, le cas échéant, Éxito aura approuvé, conformément à la législation en vigueur, les accords conférant à Casino un contrôle exclusif sur Segisor et lui permettant d’acheter la participation d’Éxito dans Segisor immédiatement après le règlement-livraison de l’offre publique.

Ce projet de simplification prévoit également l’admission des actions de GPA sur le compartiment B3 de la bourse du Novo Mercado, après conversion des actions de préférence (PN) en actions ordinaires (ON) à un ratio de 1 pour 1, ce qui mettra fin à l’existence de deux catégories d’actions GPA et donnera à GPA l’accès à une base élargie d’investisseurs internationaux.

Après la réalisation de l’offre publique de GPA et l’acquisition par Casino de la participation d’Éxito dans Segisor, Casino détiendrait 41,4% de GPA, laquelle deviendrait elle-même l’actionnaire de contrôle d’Éxito et de ses filiales en Uruguay et en Argentine. L’offre d’acquisition faite par Casino à Éxito sera soumise à l’examen du comité d’audit d’Éxito. Ces opérations restent soumises aux autorisations dont elles doivent faire l’objet de la part des différents organes de gouvernance concernés.

Worldline exerce son option d’achat pour détenir 100% d’equensWorldline

Worldline exerce son option d’achat pour détenir 100% d’equensWorldline. Le prix de l’option d’achat est de 1 070 millions d’euros pour les 36,4% du capital, correspondant à un multiple d’acquisition « valeur d’entreprise sur l’excédent brut opérationnel (EBO) 2019 estimé » significativement inférieur au multiple actuel de Worldline et devrait être relutive à deux chiffres sur le bénéfice net par action de Worldline dès 2020. Le prix sera payé intégralement en numéraire.

En amont de la finalisation de cette transaction, Worldline a d’ores et déjà sécurisé un crédit relais avec un ensemble de banques (BNP Paribas, J.P. Morgan et Natixis) pour la totalité du montant d’acquisition et prévoit de mettre en place un financement à long terme en faisant appel aux marchés financiers de dette, en fonction des conditions de marché. A la fin de 2019, le levier d’endettement devrait rester inférieur à 1,3 fois l’EBO estimée de 2019, bien en deçà de la politique d’endettement financier à moyen terme de Worldline de 2,5 fois.

Sur un plan opérationnel, l’acquisition des intérêts minoritaires d’equensWorldline devrait apporter plusieurs bénéfices pour Worldline sur les courts et moyens termes, incluant une simplification des processus internes et une agilité renforcée pour de nouvelles opérations de fusions-acquisitions, explique la société. De plus, cela permettrait d’optimiser davantage l’exécution des plans de synergies industrielles d’equensWorldline et de SIX Payment Services dans les services financiers, grâce à l’élimination des « frontières internes » du périmètre equensWorldline au sein de Worldline.

Cette transaction devrait se finaliser au cours du quatrième trimestre de 2019 ; elle est sujette au processus d’approbation des organisations sociales de Worldline SA et equensWorldline ainsi qu’à des autorisations réglementaires aux Pays-Bas. Worldline a été conseillée par Nomura dans cette transaction.

Bourbon suspendue de cotation

Bourbon suspendue de cotation. Le conseil d’administration de ce prestataire de services maritimes, réuni le 22 juillet, a pris acte de ce que certains créanciers de filiales du groupe ont adressé à ces dernières une demande de paiement de créances et/ou d’indemnités contractuelles. Bourbon étant garante d’une partie de ces sommes, soit environ 800 millions de dollars, elle examine les options disponibles et entend poursuivre les discussions avec ses créanciers avec pour objectif de prendre les mesures appropriées pour protéger ses intérêts et ceux de son personnel. Dans ces circonstances et dans l’attente d’un nouveau communiqué, le groupe a demandé la suspension de la cotation sur le compartiment B d’Euronext Paris.

Stentys : vers une dissolution anticipée

Stentys : vers une dissolution anticipée. Ce groupe français, spécialisé dans les technologies médicales pour la cardiologie interventionnelle, annonce l’échec d’un processus de recherche de partenaire stratégique. Dans ce contexte, le conseil d’administration estime que les conditions de viabilité ne sont pas réunies et qu’il ne dispose pas d’alternative permettant de maintenir de manière pérenne l’activité.

Le conseil d’administration souhaite donc proposer aux actionnaires de se prononcer sur la dissolution anticipée de la société pour permettre une liquidation de celle-ci dans les meilleures conditions possibles. La position de trésorerie au 30 juin 2019 s’élève à 8,1 millions d’euros. Cette trésorerie sera intégralement utilisée pour faire face aux passifs de Stentys qui n’anticipe pas de boni de liquidation à distribuer aux actionnaires.

Une assemblée générale extraordinaire sera prochainement convoquée à l’effet de statuer en septembre ou octobre prochain sur cette proposition. Dans ce cadre, la société envisage de solliciter auprès du tribunal de commerce compétent la désignation d’un mandataire ad hoc qui l’accompagnera dans le cadre des démarches à effectuer et qui veillera à la préservation des intérêts des différentes parties prenantes.

Les comptes de la société au 30 juin 2019 en valeur liquidative seront publiés au plus tard le 31 octobre 2019. Stentys a demandé la suspension de sa cotation sur Euronext Paris jusqu’à leur publication.

Casino a signé un accord avec GBH

Casino a signé un accord avec GBH en vue de la cession de sa filiale Vindémia, leader de la grande distribution dans l’Océan Indien, pour 219 millions d’euros. Fondée en 1972 à La Réunion et acquise progressivement par le groupe Casino entre 2001 et 2007, Vindémia est aujourd’hui le leader de la grande distribution dans l’Océan Indien (La Réunion, Madagascar, Mayotte, Maurice) et dispose d’un positionnement multi-formats (hypermarchés, supermarchés, cash and carry et proximité).

Groupe familial fondé en 1960, GBH s’est développé à partir des départements d’outre-mer, puis à l’international, d’abord sur des activités industrielles puis autour de deux métiers, la distribution automobile et la grande distribution. Avec cet accord, les activités de Vindémia vont se poursuivre et se développer au sein de la branche Grande Distribution de GBH.

La réalisation de cette cession interviendra après la consultation des instances représentatives du personnel et sous réserve de l’obtention de l’autorisation de l’Autorité de la concurrence. GBH s’est engagé dans l’accord de cession à céder des magasins à un tiers en anticipation des éventuelles préoccupations de l’Autorité de la concurrence.

Europlasma : Zigi Capital convertit ses Ocabsa

Europlasma : Zigi Capital convertit ses Ocabsa pour un montant de 2 millions d’euros. Pour rappel, la société Zigi Capital S.A. a souscrit 200 obligations convertibles en actions ordinaires d’Europlasma auxquelles étaient attachés 40.000.000 bons de souscription d’actions ordinaires Europlasma. Zigi Capital a, ce jour, converti la totalité des OCA et a ainsi souscrit à 20.000.000 actions nouvelles au titre de la conversion des OCA et 17.183.225 actions nouvelles complémentaires au titre du paiement de l’indemnité contractuelle. A l’issue de cette conversion, Zigi Capital détient ainsi 37.183.225 actions, représentant environ 10% du capital social d’Europlasma.

Cybergun : nouvelle convocation en assemblée générale, le 29 juillet 2019

Cybergun : nouvelle convocation en assemblée générale, le 29 juillet 2019. Cybergun a convoqué les porteurs d’obligations « CYBO » en Assemblée Générale le 16 juillet 2019 sur 1ère convocation afin de soumettre un projet de renégociation de sa dette obligataire à échéance octobre 2020. Faute d’atteinte du quorum, fixé par la Loi à 20% du nombre total d’obligations en circulation, l’assemblée générale n’a pu valablement délibérer. Pour autant, un débat constructif s’est instauré entre le management de la société et les porteurs présents et représentés, explique Cybergun. À l’initiative de certains obligataires présents, un remboursement partiel anticipé intégralement en actions a été discuté. Cette option pourrait permettre aux porteurs actuels d’obligations de bénéficier, le cas échéant, du potentiel de rebond de la valeur de l’action et éviterait à la société une sortie de cash afin de concentrer ses ressources financières sur son développement.

A la suite de cette assemblée, la direction générale s’est rapprochée de l’actionnaire de référence de la société, Restarted investment, à l’effet de recueillir sa position sur cette nouvelle proposition des obligataires. Dans ce cadre, Restarted investment a indiqué qu’un remboursement partiel anticipé, intégralement en actions Cybergun, à hauteur de 60% du montant nominal et sur la base d’une valeur de l’action à 0,16 €, contre un abandon du solde de la créance, lui semble raisonnable et acceptable.

Le conseil d’administration de Cybergun s’est réuni ce mercredi 17 juillet 2019 afin d’étudier cette alternative. Après délibération, le conseil d’administration s’est prononcé favorablement sur cette nouvelle proposition et souhaiterait que celle-ci soit étudiée dans le cadre de l’assemblée générale appelée à se réunir sur 2e convocation. Pour rappel, à ce jour, les coupons versés représentent près de 45% de la valeur nominale.

A titre informatif, en cas d’accord, les porteurs d’obligations auraient alors récupéré plus de 86% de la valeur nominale. Cette renégociation de la dette obligataire ferait économiser à Cybergun, en intérêts de la dette, 0,3 million d’euros de frais financiers en 2019 puis 0,7 million de frais financiers et 9 millions en remboursement du capital en 2020.

L’assemblée générale des porteurs est appelée à se prononcer en ce sens, sur deuxième convocation, le lundi 29 juillet 2019 à 15 heures, au siège social, 40, boulevard Henri Sellier, 92150 Suresnes. Sur deuxième convocation, aucun quorum minimal n’étant requis, l’assemblée pourra délibérer et entériner son choix.

Saint-Gobain est entré en négociations exclusives avec le Groupe Frans Bonhomme

Saint-Gobain est entré en négociations exclusives avec le Groupe Frans Bonhomme en vue de la cession de la société française Distribution de Matériaux pour les Travaux Publics (DMTP) pour une valeur d’entreprise de 70 millions d’euros. Spécialisée dans la distribution de produits essentiellement en béton destinés aux travaux publics, génie civil et infrastructure en France, la société DMTP dispose de 58 points de vente en France et a réalisé un chiffre d’affaires proche de 250 millions d’euros pour un résultat d’exploitation de près de 3 millions d’euros en 2018.

Sous réserve de l’achèvement de la procédure d’information et de consultation des instances représentatives du personnel concernées et de l’obtention de l’autorisation des autorités de la concurrence compétentes, ce projet pourrait être finalisé au cours du quatrième trimestre 2019 ou du premier trimestre 2020. Cette opération s’inscrit dans la stratégie d’optimisation du portefeuille de Saint-Gobain qui vise un objectif de cessions de plus de 3 milliards d’euros en chiffre d’affaires d’ici fin 2019. Les cessions réalisées ou signées à ce jour représentent d’ores et déjà un chiffre d’affaires supérieur à 2,8 milliards d’euros.

Latécoère nomme un expert indépendant

Latécoère nomme un expert indépendant. Ce partenaire des grands constructeurs aéronautiques internationaux annonce que son conseil d’administration a nommé Finexsi Expert & Conseil Financier en qualité d’expert indépendant pour émettre un avis sur le caractère équitable du projet de rachat de Searchlight Capital Partners, conformément aux articles 261-1 et suivants du règlement général de l’AMF.

Un comité ad hoc d’administrateurs indépendants a été nommé pour superviser la mission de l’expert indépendant. Un processus d’information-consultation des instances représentatives du personnel a déjà été engagé et sera mené en parallèle. Après émission d’un avis motivé du conseil d’administration, Searchlight a l’intention de lancer une offre publique d’achat volontaire en numéraire sur les titres de Latécoère, comme annoncé le 28 juin 2019, à un prix de 3,85 € par action.

Searchlight a l’intention de déposer l’OPA au troisième trimestre 2019. L’offre en numéraire restera soumise à l’approbation des autorités réglementaires et administratives, y compris la procédure américaine « CFIUS » et l’autorisation du ministère de l’Economie pour les investissements étrangers en France, ainsi qu’aux autorisations de contrôle des concentrations requises, en particulier en Allemagne.

Thomas Cook envisage une recapitalisation

Thomas Cook envisage une recapitalisation. Le voyagiste britannique est en discussions avancées avec son principal actionnaire, Fosun Tourism Group, et ses banques dans le cadre d’un projet de recapitalisation d’un montant de 750 millions de livres et de séparation des activités. En échange de cette injection d’argent frais, Fosun obtiendrait une participation majoritaire dans l’activité centrale de tour-opérateur et une participation minoritaire significative dans la compagnie aérienne. A la suite de cette opération qui s’accompagnerait d’une conversion en actions d’une grande partie de la dette, les actionnaires actuels, qui ne suivraient pas l’augmentation de capital, seraient dilués de manière substantielle. A la Bourse de Londres, l’action Thomas Cook dévisse de 38%, à 8,20 pence.

Argan annonce la signature d’un accord ferme avec Carrefour

Argan annonce la signature d’un accord ferme avec Carrefour et un groupe d’investisseurs institutionnels de premier plan, pour l’acquisition de la société « Cargo », sur la base d’une valorisation conventionnelle de ses actifs immobiliers de 900 millions d’euros hors droits. Cargo détient un patrimoine de 22 plateformes logistiques premium en France, d’un âge moyen de 5 ans, représentant une surface d’environ 1 100 000 m², loués à Carrefour sur la base de baux d’une durée moyenne résiduelle ferme d’environ 6 ans (au 30 juin 2019). La majeure partie de ces entrepôts a été développée par Carrefour récemment dans le cadre de la refonte de son réseau logistique en France au service de tous ses formats de magasins. Le dernier entrepôt devrait être achevé au cours du quatrième trimestre 2019.

L’opération sera réalisée au travers de l’acquisition par Argan de 100% du capital de la société SCI Cargo Property Assets auprès de Carrefour et des autres investisseurs pour un montant total de 898 millions d’euros. L’acquisition sera rémunérée par Argan en numéraire à hauteur de 619 millions d’euros et par l’émission de 5.588.994 actions nouvelles Argan au prix d’émission unitaire de 50 € en faveur de certains associés de la SCI Cargo, à savoir Crédit Agricole Assurances via sa filiale assurance vie, Carrefour et Primonial Capimmo, dans le cadre d’un apport en nature. Cet apport est soumis à l’approbation de l’assemblée générale des actionnaires d’Argan. Aux termes des accords conclus, le concert formé par la Famille Le Lan s’est engagé à voter en faveur de la réalisation de cet apport.

Argan a d’ores et déjà sécurisé le financement de la quote-part du prix d’acquisition devant être payé en numéraire à l’aide d’un crédit-relais bancaire d’un montant de 645 millions d’euros. A ce jour, Argan envisage de refinancer ce crédit via notamment des financements hypothécaires long terme. Avec cette opération, qui représente l’équivalent de 8 années de développement et une croissance de son patrimoine de 60%, Argan change de dimension avec un patrimoine qui passera de 1 740 000 m² (juin 2019) à 2 840 000 m², répartis sur 85 plateformes d’un âge moyen de 7 années.

A l’issue de l’apport en nature :

– Crédit Agricole Assurances, Carrefour et Primonial Capimmo détiendront respectivement 16,77%, 5,21% et 3,19% du capital et des droits de vote d’Argan,

– la Famille Le Lan détiendra de concert 40,03% du capital et des droits de vote d’Argan, et

– le flottant sera de 34,80% du capital et des droits de vote d’Argan.

Dans ce cadre, la Famille Le Lan, Crédit Agricole Assurances et Carrefour ont décidé de conclure un pacte d’actionnaires aux termes duquel elles n’entendent pas agir de concert. Ce pacte, qui entrera en vigueur sous la condition suspensive de la réalisation de l’Apport en Nature, a principalement pour objet de définir, une fois l’opération réalisée, la gouvernance d’Argan ainsi que les règles applicables aux transferts de titres détenus par les parties.

La réalisation de l’opération est soumise à la condition suspensive de l’approbation de l’apport en nature par l’assemblée générale des actionnaires, qu’Argan prévoit de convoquer pour le 15 octobre 2019. Un document E sera préparé par Argan, transmis à l’Autorité des marchés financiers et mis à disposition des actionnaires préalablement à la tenue de l’Assemblée Générale. J.P. Morgan a agi en tant que conseil d’Argan pour le financement de l’opération.

Total cède des actifs à Petrogas

Total cède des actifs à Petrogas. Total a signé un accord en vue de céder plusieurs actifs non stratégiques situés au Royaume-Uni à Petrogas NEO UK Ltd, la branche Exploration-Production du conglomérat omanais MB Holding. Petrogas s’est associé au fond d’investissement norvégien HitecVision.

Ces actifs, précédemment détenus par Maersk Oil, sont situés dans l’Est de la mer du Nord. Le montant global de cette transaction, dont la date effective est fixée au 1erjanvier 2019, s’élève à 635 millions de dollars. L’opération reste soumise à l’approbation des autorités et devrait être finalisée en décembre 2019.

Pour mémoire, suite à l’acquisition de Maersk Oil en 2018, Total est devenu le second opérateur en Mer du Nord qui représente l’une de ses zones clés où certains des projets majeurs du Groupe sont développés en ce moment.

Biophytis annonce le lancement de l’offre publique sur le Nasdaq

Biophytis annonce le lancement de l’offre publique sur le Nasdaq. Cette société de biotechnologie spécialisée dans les nouveaux traitements pour les maladies liées à l’âge a l’intention, sous réserve des conditions de marché, de vendre 13.125.000 actions nouvelles dans le cadre d’une offre globale via une offre d’American Depositary Shares (ADS), chacune représentant dix actions ordinaires, aux Etats-Unis et en dehors des Etats-Unis, et une offre simultanée d’actions ordinaires à des investisseurs qualifiés en Europe et dans des pays en dehors de l’Europe.

Le prix de souscription devrait se situer entre 7 $ et 9 $ par ADS, soit entre 0,62 € et 0,80 € par action ordinaire, soit sur la base d’un prix médian de 8 $ par ADS, une décote de 19% sur la base du prix de clôture de 0,88 € par action le 8 juillet 2019 au taux de change actuel. En conséquence, sur la base d’un prix médian de 8 $ par ADS, le montant de l’offre globale serait de 10.500.000 $ ou 9.362.461 €. Sous réserve de l’obtention de l’autorisation de la SEC, la période de passation des ordres dans le cadre de l’offre globale devrait s’achever le 19 juillet 2019, sauf clôture anticipée.

Orange a conclu l’acquisition de 100% de SecureLink

Orange a conclu l’acquisition de 100% de SecureLink, premier acteur indépendant de cybersécurité en Europe, auprès du fonds d’investissement Investcorp pour une valeur d’entreprise de 515 millions d’euros. Depuis la signature annoncée en mai 2019, Orange a obtenu les accords nécessaires des autorités pour réaliser cette acquisition. Cette nouvelle acquisition positionne Orange en leader du secteur en Europe, avec plus de 600 millions d’euros de chiffre d’affaires pro forma en 2018 et plus de 2 100 experts en cybersécurité.