Atos tente de séduire Steria. « Bien qu’Atos se présente comme un prétendant « amical », Steria affirme que la SSII ne vise qu’à « perturber les négociations exclusives » avec Sopra », explique le quotidien Les Echos. Ajoutant : « De toute façon, Atos ne peut mener d’OPA hostile dans la mesure où la commandite verrouille complètement le capital. Peut-être le groupe de Thierry Breton espère-t-il encore que certains chez Steria finiront par se laisser séduire d’ici à la fin juin par une offre en cash [22 euros par action, NDLR] plutôt que par un échange de titres ».
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