Martin Bouygues : « Nous sommes prêts à des contreparties ». Dans un entretien aux Echos, le président du groupe éponyme, revient sur sa décision de présenter une offre pour acquérir SFR. « Nous sommes aujourd’hui convaincus que l’autorité de la Concurrence, qui aura à se prononcer, peut à la fois autoriser cette opération et grâce à elle recréer une concurrence par les infrastructures normales sur le marché français. Evidemment en imposant des contreparties. Nous le comprenons ». Et s’agissant des différends avec Vincent Bolloré, Martin Bouygues affirme qu’ils « sont levés depuis longtemps ». « Notre projet a un intérêt industriel et capitalistique. La logique veut que nous travaillions main dans la main avec Vivendi ».
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