Club Med : faut-il avoir peur du « dragon » chinois ? « En l’état, le projet d’OPA, dont le processus d’instruction et de validation a tout juste commencé, garantit pour quatre ans au moins un actionnariat tricolore majoritaire », souligne le journaliste Christophe Palierse, dans une tribune des Echos. Néanmoins, « Dans l’hypothèse où le Club Med passerait purement et simplement sous contrôle chinois, on voit mal en quoi l’exploitation de clubs de vacances serait stratégique. Si le poids de la France dans son activité reste important, l’entreprise est déjà internationale par la large ventilation de sa clientèle et la répartition de son parc ».
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