« Coty s’est protégé contre les OPA ». Selon Les Echos, « les beautés affichées par le spécialiste des parfums de célébrités, de Beyoncé à Lady Gaga en passant par les Beckham, sont un peu empoisonnées par une « poison pill » de ses statuts du Delaware, comme l’explique lui-même son prospectus. Les actions A cédées au public pesant chacune 10 fois moins que les actions B en droits de vote, le holding majoritaire Joh. A. Benckiser GmbH garde 84,9 % des droits de vote – et même 97,7 % avec les deux fonds partenaires ». Conclusion du quotidien économique : « Même avec moins de 50 % du capital, il pourrait conserver le pouvoir ».
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