Eiffage, son PDG anticipe une hausse du résultat net en 2013. Aux commandes de la 3ème major française du BTP, Pierre Berger explique dans un entretien au Revenu, que « le retrait de la cote d’APRR va permettre de remplacer la dette bancaire d’Eiffarie par de la dette obligataire levée au niveau d’APRR », jugée moins onéreuse. Mais « la fusion entre les deux entités n’est pas nécessaire ». S’agissant de la stabilité de l’actionnariat d’Eiffage, celle-ci est qualifiée de « précieuse ». « A moyen terme, au fur et à mesure que nos résultats poursuivront leur redressement et que le cours remontera, il se pourrait que nos grands actionnaires institutionnels voient leur part se réduire. Le flottant devrait s’élargir, tandis que les salariés conserveront une part significative du capital ». Conseil de l’hebdo : acheter avec un objectif de 38 euros.
Les plus commentés