Les grandes manœuvres commencent autour d’Euronext. A l’issue de son mariage avec Nyse-Euronext, ICE a tranché : il séparera Euronext pour l’introduire en Bourse dans les premiers mois de l’année 2014. Dans cette perspective, « les autorités françaises se mobilisent pour constituer un noyau dur d’actionnaires capable de sécuriser le capital du nouvel Euronext », comme le précise Les Echos. Mais « les grandes banques françaises rechignent à investir dans l’opérateur ». « Si on arrive à 15-20%, cela sera déjà bien », confie un banquier au journal, soit un « ticket » compris entre 225 et 300 millions d’euros pour une valeur estimée d’Euronext à 1,5 milliard.
Les plus commentés