Havas n’est pas une cible à acheter. Dans un entretien au journal Les Echos, Yannick Bolloré, PDG du groupe de communication depuis janvier 2014, livre sa vision stratégique, neuf mois après l’annonce du projet de fusion entre Publicis et Omnicom. « Concrètement, Havas n’est pas à vendre et nous nous situons beaucoup plus dans une logique d’acheteur que de vendeur », explique-t-il, fort d’une ligne de crédit de plus de 1 milliard d’euros. Par ailleurs, loger Havas dans le groupe Vivendi « ne se pose pas. Et il n’y a aucun dossier à l’étude. Le principal lien entre Vivendi et Havas, c’est que sa filiale Canal + est l’un de nos principaux clients ».
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