Lu dans la presse

Le rachat d’AOL

Le rachat d’AOL n’enflamme pas Wall Street.  Verizon Communications « peut lâcher 4,4 milliards de dollars en cash (2 % de sa valeur boursière) sans émouvoir son action, mais il ne peut gaspiller ne serait-ce qu’une fraction de son cash-flow annuel, compte tenu de l’appétit de dividende de ses investisseurs », analyse Les Echos dans un crible. « A ce stade, ce deal permet donc à AOL d’afficher une performance dans la moyenne des « midcaps » américaines depuis son retour à la cote en 2009, mais pas de faire oublier le plus calamiteux de tous les temps, le mariage avec Time Warner ».

 

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