Le rythme des OPA va-t-il s’accélérer en France ? Philippe Lecoq, coresponsable de la gestion actions européennes chez Edmond de Rothschild AM, en est convaincu. Dans la dernière édition du Revenu, il précise : « Quand l’inflation est faible, les entreprises ont du mal à passer des hausses de prix. Elles ont donc intérêt à réduire la concurrence, ce qui est d’autant plus facile en empruntant à des taux d’intérêt aussi bas ». En outre, « On ne constate pas encore d’excès de fin de cycle, car en Europe ce mouvement de concentration n’a démarré qu’il y a dix-huit mois ».
Les plus commentés