Legrand : son capital ouvert « le condamne à l’excellence ». Sa valeur boursière « en fait une proie qui, aux yeux d’Exane, pourrait intéresser… General Electric ! Son aura d’étoile boursière est heureusement dissuasive pour tout raider coté, tant qu’aucun nuage ne vient l’assombrir », analyse Les Echos dans un Crible. « Mais la configuration de son capital, où deux grandes gestions américaines (MFS et BlackRock) contrôlent au total environ 20% d’un tour de table où n’est pas assise la Caisse des Dépôts, ne se prêterait guère à une réédition de la « méthode Alstom » ».
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