En période de croissance faible, les sociétés préfèrent les fusions-acquisitions à l’investissement. « Les sociétés veulent éviter de créer des surcapacités, explique Fabrice Theveneau, directeur de la recherche actions et crédit à la Société Générale, dans un entretien au journal Les Echos. Elles vont donc chercher des compétences et des innovations à l’extérieur. Par exemple, les groupes pharmaceutiques préfèrent racheter ou sceller des partenariats avec des laboratoires innovants plutôt que de dépenser beaucoup en R&D. Cette tendance témoigne d’un changement d’état d’esprit des entreprises, qui se concentrent sur l’amélioration de leur rentabilité ».
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