Orange doit payer cash pour l’espagnol Jazztel. Cette acquisition n’est « pas si simple sur le plan financier », analyse Les Echos. « Les Espagnols voulaient du cash, mais le fleuron tricolore ne peut pas se permettre de dégrader ses paramètres d’endettement ni de trop diluer ses actionnaires, à commencer par l’Etat français. Orange offre donc une prime boursière rondelette de 34% en s’injectant une dose de dette hybride, considérée pour moitié comme du capital par les agences de notation ».
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