Les appétits s’aiguisent autour de l’Europe des télécoms. « Les géants des télécoms américains ont faim. Et les proies européennes leur paraissent plutôt appétissantes, avec leurs valorisations déprimées. C’est la conclusion à tirer des rumeurs d’acquisition qui ont abondé ces dernières semaines – même si, pour l’instant, tous ces plans sur la comète ont soit avorté, soit été démentis » (Vodafone, Nokia…), explique aujourd’hui Les Echos. Selon Aldo Mareuse, ex-directeur financier d’Orascom Telecom, actuellement associé fondateur de Accelero Capital : « Il y a beaucoup d’opportunités en Europe, car les valorisations sont moins élevées que dans les pays émergents et les opérateurs historiques, surendettés, ont intérêt à vendre leurs filiales dans les pays où ils ne sont que le numéro trois du marché ».
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