La présence accrue des actionnaires activistes. « Cette année en Belgique, une nouvelle mode est en train de naître : la destruction des « pilules empoisonnées », ces mécanismes mis en place par les entreprises qui souhaitaient se protéger contre une éventuelle offre de rachat hostile », explique Martine Maelschalck, rédactrice en chef du quotidien L’Echo, sur le site http://www.echo.be. « A chaque fois, les actionnaires majoritaires ont jeté l’éponge face aux demandes des activistes. Pourquoi si facilement ? Peut-être parce que le management n’a pas envie de se mettre à dos une frange de son actionnariat. Et peut-être aussi parce que les temps changent, et que les entreprises commencent à comprendre que l’on ne retient pas les actionnaires contre leur gré. Les seules entreprises opéables sont finalement celles qui intéressent des acquéreurs potentiels… et celles que leurs actionnaires sont prêts à lâcher ».
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