Après Gameloft, Ubisoft ? « Acquérir Gameloft sans mettre la main sur Ubisoft serait un « non-sens », souligne le courtier Bryan Garnier. Mais rajouter plus de 3 milliards d’euros (au cours actuel d’Ubisoft) au milliard déjà placé chez les deux éditeurs n’en aurait guère plus », explique Les Echos dans un crible. « L’opération reviendrait à les payer plus de 16 fois leur résultat opérationnel cumulé, soit un tiers de plus que le ratio de valorisation de l’ancienne filiale américaine de Vivendi, Activision, trois fois plus grosse en chiffre d’affaires et beaucoup plus rentable ».
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