Chaque année, pour différents motifs (faible liquidité, frais induits par la cotation, absence de perspectives d’appel au marché), des sociétés cotées sont poussées vers la sortie et avec elles des actionnaires minoritaires, avec souvent de belles primes à la clé. Pour mettre en œuvre ce retrait obligatoire à la faveur d’une offre publique de retrait (OPR), l’initiateur doit désormais disposer d’au moins 90% du capital ou des droits de vote de la société (contre 95% avant la promulgation de la loi Pacte du 22 mai 2019). Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire Le Revenu revient sur ce sujet et a sélectionné 17 sociétés potentiellement candidates.
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