Groupe Bruxelles Lambert et la question d’une éventuelle sortie de la cote. « Il n’y a pas vraiment de totem, mais GBL est assez gros, explique Ian Gallienne, chief executive officer du holding belge dans un grand entretien aux Echos. C’est 23 milliards d’euros d’actifs et 15,2 milliards de capitalisation boursière. Aujourd’hui, les familles détiennent 29% du capital et 48% des droits de vote. Pour retirer GBL de la Bourse, il faudrait donc financer 71% de 15,2 milliards, soit en s’endettant énormément, soit en faisant venir un partenaire extérieur. Si un jour l’opportunité est vraiment évidente, pourquoi pas, mais aujourd’hui, ce n’est clairement pas le cas ».
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