Le mariage Deutsche Börse et London Stock Exchange en question. « Bien malin […] qui peut dire si la Commission européenne fera capoter la fusion entre le London Stock Exchange et la Deutsche Börse », explique Les Echos dans sa rubrique Crible. Néanmoins, « il ne faudrait pas que ce volet concurrence dispense les grands argentiers mondiaux de se pencher très sérieusement sur le « deal », vu les implications systémiques des infrastructures de compensation. Même si les risques d’exécution et de gouvernance restent entiers, les synergies de coûts et de revenus observées dans le secteur – 15 % et 3 % respectivement selon Credit Suisse – sont trop alléchantes pour que des investisseurs institutionnels s’infligent à eux-mêmes tout le principe de précaution ».
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