Twitter : les actionnaires « auront du mal à retrouver leur mise de départ ». « Après Alphabet et Disney, le dernier oiseau de proie qui tournait autour du petit volatile, Salesforce.com, s’est envolé en jugeant que la dépouille ne valait pas les 20 milliards de dollars que les investisseurs s’étaient fixés comme ligne d’horizon pour une cession », analyse Les Echos dans un Crible. Pire, « les rumeurs de vente n’ont même pas réussi à propulser le titre jusqu’à son prix d’offre (26 dollars, soit 18 milliards au total). A moins de 12 milliards en Bourse aujourd’hui, Twitter ne vaut pas beaucoup plus que les 8 à 10 milliards qu’étaient disposés à offrir Google et Facebook il y a cinq ans, avant la cotation ».
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