Ces actions opéables qu’il ne faut pas forcément acheter. « S’il peut être judicieux d’être actionnaire de sociétés potentiellement opéables, cet argument ne peut pas être l’unique motif pour détenir en portefeuille une valeur, qui doit également être jugée au regard de la qualité de la stratégie menée par ses dirigeants et de son positionnement sur son marché, de la régularité de ces performances financières et du niveau de sa valorisation », explique le site Le Revenu.com. « Ainsi, une entreprise qui multiplie les déceptions voit, en général, son titre chuter, ce qui est susceptible d’attirer des prédateurs potentiels. Mais même en offrant une prime instantanée séduisante, ceux-ci peuvent proposer un montant qui peut être largement inférieur au prix de revient de nombreux actionnaires ». La rédaction du Revenu a identifié de nombreuses cibles potentielles d’OPA, de tailles très différentes et avec des probabilités et des horizons de réalisation très hétérogènes.
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